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Le ministre Fast fait la promotion du programme du gouvernement Harper en faveur du commerce dans son discours devant le Vancouver Board of Trade

L’accroissement du commerce profitera tant au Canada qu’à ses partenaires commerciaux, affirme le ministre

(Nº 322 - Le 28 octobre 2011 - 16 h HE) Le ministre du Commerce international et ministre de la porte d’entrée de l’Asie-Pacifique, l’honorable Ed Fast, a aujourd’hui réitéré, dans un discours prononcé devant le Vancouver Board of Trade, l’engagement du gouvernement Harper à l’égard de l’élargissement des relations commerciales du Canada dans les marchés prioritaires du monde entier. Le ministre Fast a également fait la promotion des avantages concurrentiels qu’offre le Canada grâce à la porte d’entrée de l’Asie-Pacifique, mentionnant que l’accroissement du commerce a pour effet de stimuler la prospérité, de renforcer la sécurité financière et de relever le niveau de vie dans les pays développés comme dans les pays en développement.

« Les avantages que procure le commerce à notre pays, tout comme aux pays qui sont nos partenaires commerciaux, sont clairs, a dit le ministre Fast. Pour les Canadiens, cela signifie de bons emplois, une prospérité accrue et des avantages pour le consommateur. Réciproquement, plusieurs de nos partenaires dont l’économie est en développement tirent parti des avantages commerciaux associés à une classe moyenne en pleine expansion et à un niveau de vie plus élevé, qui contribue à accroître sans cesse le nombre de personnes partout dans le monde qui se sortent de la pauvreté. Par ailleurs, nous sommes en mesure de partager avec ceux qui ont traversé une période difficile les meilleures pratiques pour améliorer les conditions sociales et la gouvernance et pour accroître le respect des droits de la personne et de la primauté du droit — des éléments qui vont de pair avec toute transition de la pauvreté à la prospérité. »

En plus de renforcer les relations économiques qu’entretient le Canada avec les États-Unis et les Amériques et de mener des négociations commerciales avec l’Union européenne, le plus important marché commun, investisseur et négociant du monde, le gouvernement Harper poursuit un programme pour resserrer les liens en matière de commerce et d’investissement du Canada avec les marchés asiatiques à forte croissance, lequel englobe :

  • des négociations avec la Chine, le deuxième partenaire commercial du Canada, en vue d’un accord sur la promotion et la protection des investissements étrangers;
  • la poursuite des négociations en vue d’un accord économique et commercial global avec l’Inde, un marché comptant 1,2 milliard de consommateurs;
  • la structuration du commerce et de l’investissement avec l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est, le septième partenaire commercial du Canada;
  • une étude conjointe sur la possibilité d’un accord de partenariat économique avec le Japon.

« Au Canada, un emploi sur cinq dépend du commerce. Il est donc essentiel d’élargir nos liens en matière de commerce et d’investissement dans le monde, particulièrement avec les marchés asiatiques à forte croissance, afin de créer des emplois, de protéger les emplois actuels et d’accroître la prospérité pour les travailleurs canadiens, a déclaré le ministre Fast. Que ce soit en Chine, au Japon ou dans le Sud-Est asiatique, la sécurité financière du Canada est tributaire de l’expansion et de la réussite continues des entreprises canadiennes dans cette région qui est un puissant moteur de la croissance mondiale. »

Dans son discours principal, le ministre Fast a aussi mis en relief les avantages concurrentiels que présente le Canada pour accéder aux marchés asiatiques en pleine expansion, grâce aux partenariats conclus par le gouvernement Harper et aux investissements stratégiques qu’il a faits dans l’Initiative de la Porte et du Corridor de l’Asie-Pacifique, un réseau de transport de classe mondiale qui établit des liaisons efficaces, fiables et rentables entre les marchés asiatiques et nord-américains.

« Ces investissements portent déjà leurs fruits, faisant du Canada la porte d’entrée par excellence entre l’Asie et l’Amérique du Nord, a ajouté le ministre Fast. Les ports de la côte ouest du Canada, comparés à n’importe quel autre port nord-américain, épargnent plus de deux jours de navigation vers les marchés asiatiques. Faciliter la circulation des biens, des services et des personnes aide les entreprises canadiennes à prendre de l’expansion et à réussir à l’étranger, ce qui stimule la création d’emplois et la prospérité au Canada. »

Entre 2006 et 2010, la part du marché canadien dans le trafic des conteneurs sur la côte ouest de l’Amérique du Nord a augmenté de presque 30 p. 100. En un an seulement (de 2009 à 2010), grâce à l’infrastructure de la porte d’entrée de l’Asie-Pacifique, la valeur des exportations canadiennes à destination de la Chine a crû de presque 19 p. 100 pour atteindre 13,2 milliards de dollars. Récemment, la revue industrielle américaine Wood Resource Quarterly a prédit que les exportations de bois d’œuvre canadien vers la Chine atteindraient une valeur record de 1,2 milliard de dollars américains en 2011.

La valeur des exportations de produits du bois de la Colombie-Britannique vers la Chine a connu de même une montée en flèche : les ventes ont plus que triplé, passant d’environ 179 millions de dollars en 2008 à 669 millions en 2010. De nombreuses scieries en Colombie-Britannique, notamment à Quesnel, à Vavenby et à Mackenzie, ont rouvert leurs portes pour répondre à l’accroissement de la demande chinoise de produits du bois de la Colombie-Britannique, ce qui a protégé et créé des emplois pour les travailleurs canadiens.

Le ministre Fast a conclu son discours en ciblant ceux qui veulent ériger des barrières contre le commerce et s’opposent au programme du Canada visant à créer des emplois grâce aux échanges commerciaux. Il a affirmé que seule une approche favorable à la libéralisation et à l’ouverture du commerce était en mesure d’améliorer la prospérité et de hausser le niveau de vie des Canadiens et des citoyens de nos pays partenaires.

« Les militants anti-commerce représentent une menace réelle et bien d’actualité, non seulement pour la prospérité du Canada dans une économie globale de plus en plus liée à des chaînes d’approvisionnement mondiales et à des zones internationales d’échanges commerciaux, mais aussi pour la prospérité future des populations des économies émergentes. Afin de protéger et de renforcer la sécurité financière des travailleurs canadiens, nous devons élaborer des politiques favorables au commerce, pragmatiques et réalistes, et nous détourner d’une idéologie anti-commerce dépassée et discréditée depuis longtemps. »

Pour plus de renseignements, prière de consulter Bâtir des relations commerciales avec l’Asie.

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Pour de plus amples renseignements, les représentants des médias sont priés de communiquer avec :

Rudy Husny
Attaché de presse
Cabinet de l’honorable Ed Fast
Ministre du Commerce international et ministre de la porte d’entrée de l’Asie-Pacifique
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