Cette page Web a été archivée dans le Web

L’information dont il est indiqué qu’elle est archivée est fournie à des fins de référence, de recherche ou de tenue de documents. Elle n’est pas assujettie aux normes Web du gouvernement du Canada et elle n’a pas été modifiée ou mise à jour depuis son archivage. Pour obtenir cette information dans un autre format, veuillez communiquer avec nous.

Le renforcement des échanges commerciaux entre le Canada et l’Union européenne favorisera la création d’emplois, la croissance et la prospérité à long terme pour les Canadiens

Un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’Union européenne bénéficiera aux travailleurs, aux entreprises et aux familles de toutes les régions du Canada, selon le ministre Fast

Le 27 avril 2012 - Le ministre du Commerce international et ministre de la porte d’entrée de l’Asie-Pacifique, l’honorable Ed Fast, a déclaré aujourd’hui devant l’Economic Club of Canada que la conclusion d’un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’Union européenne constituera la pierre angulaire du vaste plan de stimulation du commerce du gouvernement Harper et bénéficiera aux travailleurs canadiens d’un bout à l’autre du pays.

L’allocution principale du ministre Fast devant l’Economic Club of Canada donne le coup d’envoi officiel à 18 activités qui se dérouleront aujourd’hui à l’échelle du pays. Des ministres du gouvernement Harper, des secrétaires parlementaires et des députés rencontreront des travailleurs, des gens d’affaires ainsi que des dirigeants et des intervenants locaux afin de mettre en lumière les nombreux avantages qu’un ambitieux accord commercial entre le Canada et l’Union européenne procurera à toutes les régions du Canada et à de nombreux secteurs de l’économie.

« Un accord commercial avec l’Europe est de loin la plus ambitieuse initiative commerciale de notre histoire, dont la portée et l’envergure pourraient être encore plus grandes que l’historique Accord de libre-échange nord-américain, a déclaré le ministre Fast. Que vous travailliez dans le secteur de la pêche, de l’agriculture, de la fabrication automobile ou de la technologie de pointe, vous, votre famille et votre communauté pourrez retirer des avantages réels et importants de cet accord. »

Représentant un marché de plus de 500 millions de consommateurs et enregistrant un produit intérieur brut supérieur à 17 billions de dollars, l’Union européenne représente la plus grande économie intégrée du monde. Selon une étude conjointe réalisée par le Canada et l’Union européenne, un accord commercial ambitieux avec l’Union européenne apportera des avantages considérables aux travailleurs et aux entreprises du Canada, en entraînant une hausse de 20 p. 100 du commerce bilatéral et un gain annuel de 12 milliards de dollars pour l’économie canadienne. Ce gain correspondrait à une hausse de 1 000 dollars du revenu de la famille canadienne moyenne ou à la création de 80 000 emplois dans tout le pays.

Afin que les Canadiens connaissent les faits au sujet des avantages qui pourraient découler d’un accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne (AECG), le gouvernement Harper a également lancé aujourd’hui un site Web consacré à cet accord, s’inscrivant tout à fait dans l’esprit de transparence et de collaboration sans précédent qui a caractérisé ces négociations commerciales.

« Malheureusement, les activistes qui militent contre le commerce continuent de faire circuler de fausses informations sur le sujet, a indiqué le ministre Fast. Les mêmes contrevérités ont été véhiculées au sujet des négociations sur l’ALENA, il y a 20 ans, par les mêmes groupes. Ces allégations se sont révélées fausses à l’époque tout comme elles le sont aujourd’hui. Nous devons contrer ces propos alarmistes en rétablissant les faits et en les confrontant avec la réalité. »

Le ministre Fast a conclu son allocution en indiquant clairement que le gouvernement Harper continue de concentrer ses efforts d’abord et avant tout sur ce qui importe aux yeux des Canadiens, à savoir la création d’emplois, la croissance et la prospérité à long terme. Il a de même réitéré que le resserrement des liens commerciaux du Canada avec des marchés lucratifs comme celui de l’Union européenne était crucial pour atteindre ces objectifs.

« Tandis que certains estiment que le Canada devrait se replier sur lui-même pour se protéger de la situation économique mondiale, notre gouvernement rejette cette position parce qu’il sait que la meilleure façon de favoriser la création d’emplois et la prospérité est de participer activement à l’économie mondiale et de promouvoir nos produits, nos services, notre savoir-faire et le talent des Canadiens dans le monde entier, a ajouté le ministre Fast. Le fondement même du plus ambitieux programme de libre-échange de l’histoire du Canada sera renforcé par la conclusion d’un accord tout aussi ambitieux avec l’Union européenne. »

En moins de six ans, le gouvernement Harper a conclu des accords de libre-échange avec la Colombie, le Pérou, la Jordanie, le Panama, les pays de l’Association européenne de libre-échange (Islande, Norvège, Suisse et Liechtenstein), et plus récemment, le Honduras. Il poursuit en outre des négociations avec plusieurs autres pays, notamment l’Inde et le Japon.

Pour plus d’information sur les avantages d’un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’Union européenne, prière de consulter le site Négociations en vue d’un accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne.

- 30 -

Un document d’information suit.

Pour de plus amples renseignements, les représentants des médias sont priés de communiquer avec :

Rudy Husny
Attaché de presse
Cabinet de l’honorable Ed Fast
Ministre du Commerce international et ministre de la porte d’entrée de l’Asie-Pacifique
613-992-7332

Le Service des relations avec les médias (commerce)
Affaires étrangères et Commerce international Canada
613-996-2000
Suivez-nous sur Twitter : @Commerce_Canada

Document d’information - Le Canada et l’Union européenne : vers la conclusion d’un accord économique et commercial global

Des activités sont organisées à l’échelle du pays pour souligner les avantages d’un renforcement des échanges commerciaux entre le Canada et l’Union européenne

Le vendredi 27 avril 2012, des ministres du gouvernement Harper, des secrétaires parlementaires et des députés rencontreront des travailleurs, des gens d’affaires ainsi que des dirigeants et des intervenants locaux afin de mettre en lumière les nombreux avantages qu’un ambitieux accord commercial entre le Canada et l’Union européenne procurera à toutes les régions du Canada et à de nombreux secteurs de l’économie. La liste complète des activités qui se dérouleront suit.

1. Le ministre des Affaires intergouvernementales et président du Conseil privé de la Reine pour le Canada, et ministre régional de Terre-Neuve-et-Labrador, l’honorable Peter Penashue, sera à St. John’s, à Terre-Neuve-et-Labrador, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent du secteur de la fabrication.

2. La ministre du Revenu national, l’honorable Gail Shea, sera à New Annan, à l’Île-du-Prince-Édouard, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent de l’industrie agricole.

3. Le secrétaire parlementaire du ministre du Commerce international, pour l’Agence de promotion économique du Canada atlantique et pour la porte d’entrée de l’Atlantique, l’honorable Gerald Keddy, sera à Halifax, en Nouvelle-Écosse, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent de l’industrie du transport maritime.

4. Le ministre des Pêches et des Océans et ministre de la porte d’entrée de l’Atlantique, l’honorable Keith Ashfield, sera à Cap-Pelé, au Nouveau-Brunswick, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent du secteur des produits de la mer.

5. Le ministre d’État (Agence de promotion économique du Canada atlantique) (Francophonie), l’honorable Bernard Valcourt, sera à Edmundston, au Nouveau-Brunswick, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent du secteur du bois et des produits du bois.

6. Le sénateur Pierre Claude Nolin sera à Montréal, au Québec, pour souligner les nombreux avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent de l’industrie du transport maritime et d’autres industries reliées à l’exportation.

7. Le ministre de l’Industrie et ministre d’État (Agriculture), l’honorable Christian Paradis, sera dans la ville de Québec, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent des secteurs du bois et des produits du bois, ainsi que de l’élevage porcin de classe mondiale du Canada.

8. Le président du Conseil du Trésor et ministre de l’Initiative fédérale du développement économique dans le Nord de l’Ontario, l’honorable Tony Clement, sera à Huntsville, en Ontario, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent du secteur des véhicules automobiles et des pièces automobiles.

9. Le ministre des Ressources naturelles, l’honorable Joe Oliver, sera à Toronto, en Ontario, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent du secteur des services, y compris les services financiers.

10. Le leader du gouvernement à la Chambre des communes, l’honorable Peter Van Loan, sera à Kitchener, en Ontario, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent de l’industrie des services de recherche et développement.

11. La ministre du Travail, l’honorable Lisa Raitt, sera à London, en Ontario, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent du secteur de la fabrication de pointe.

12. Le ministre de la Sécurité publique, l’honorable Vic Toews, sera à Winnipeg, au Manitoba, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent de l’industrie de la transformation des produits de l’élevage.

13. La ministre d’État (Diversification de l’économie de l’Ouest), l’honorable Lynne Yelich, sera à Saskatoon, en Saskatchewan, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent des secteurs de la recherche et développement et des technologies de pointe.

14. Le député fédéral de Prince Albert, M. Randy Hoback, sera à Regina, en Saskatchewan, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent de l’industrie du grain, des légumineuses et des oléagineux.

15. Le ministre d’État (Finances), l’honorable Ted Menzies, sera à Calgary, en Alberta, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent de l’industrie des services énergétiques.

16. Le président du Comité permanent du commerce international, l’honorable Rob Merrifield, sera à Spruce Grove, en Alberta, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent de l’industrie du bœuf de classe mondiale du Canada.

17. Le ministre du Patrimoine canadien et des Langues officielles, l’honorable James Moore, sera à Vancouver, en Colombie-Britannique, pour souligner les avantages d’un accord commercial pour les travailleurs et les familles qui dépendent des secteurs des produits de la mer et de l’énergie renouvelable.

Négociations

Le Canada et l’Union européenne (UE) négocient actuellement un partenariat économique historique, qui profitera tant aux travailleurs canadiens qu’européens. Cette initiative remonte au Sommet Canada-UE tenu le 6 mai 2009 à Prague, au cours duquel le premier ministre Stephen Harper, le président de la Commission européenne José Manuel Barroso et le président de l’UE à l’époque, Mirek Topolánek, ont annoncé le lancement des négociations en vue de conclure un accord de partenariat économique global.

En consultation avec les parties intéressées au Canada, de même qu’avec les provinces et les territoires, le gouvernement du Canada s’est fixé des objectifs ambitieux pour les négociations. Le Canada et l’UE ont convenu de négocier un accord de deuxième génération visant un vaste éventail de secteurs, dont le commerce des marchandises (notamment l’agriculture, les pêches et les produits industriels), les obstacles non tarifaires (y compris les normes réglementaires), l’investissement, les marchés publics, les services, les règles d’origine et la propriété intellectuelle, pour ne nommer que ceux-ci.

Le Canada et l’UE ont mené à bien neuf séries de négociations fructueuses en vue d’un accord économique et commercial global (AECG). Les deux parties sont déterminées à en arriver à un résultat ambitieux dans le cadre de ces négociations et tiennent maintenant des séances de négociations ciblées en vue d’étudier activement les questions qui demeurent en suspens.

Représentant un marché de plus de 500 millions de consommateurs et enregistrant un produit intérieur brut de plus de 17 billions de dollars, l’UE constitue le plus grand importateur et exportateur de biens et services du monde. Le Canada et l’UE entretiennent des relations économiques de longue date. En tant que marché unique, l’UE est le deuxième partenaire du Canada sur les plans du commerce et de l’investissement, derrière les États-Unis. Malgré les obstacles tarifaires actuels, les échanges commerciaux de biens et services ont dépassé les 116 milliards de dollars en 2011, soit une hausse de plus de 11 p. 100 par rapport à l’année précédente.

Les relations en matière d’investissement sont également bien établies. À la fin de 2011, le stock d’investissement direct du Canada dans l’UE se chiffrait à plus de 172 milliards de dollars, et le stock d’investissement direct de l’UE au Canada dépassait les 160 milliards de dollars.

En octobre 2008, l’UE et le Canada ont publié l’étude conjointe « Évaluation des coûts et avantages d’un partenariat économique plus étroit entre l’Union européenne et le Canada ». Cette étude révèle qu’un partenariat économique renforcé permettrait d’accroître le produit intérieur brut du Canada de 12 milliards de dollars par année et les échanges commerciaux avec l’Europe de 20 p. 100.

Les négociations commerciales avec l’UE sont les plus transparentes et les plus axées sur la collaboration que le Canada ait jamais menées.

Les provinces et les territoires participent activement aux négociations, et leurs représentants ont pris part à des séances de négociations dans les secteurs qui relèvent, en tout ou en partie, de leur compétence. Au fil des négociations, le gouvernement du Canada les consulte également de près sur tous les enjeux.

Le gouvernement fédéral ainsi que les gouvernements provinciaux et territoriaux ont reconnu les avantages que cet accord pourrait procurer à toutes les régions du Canada, déclarant dans un communiqué conjoint qu’en matière de négociations commerciales, « il n’existe actuellement aucune priorité plus grande pour le Canada que la négociation de l’Accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne ».

Depuis le début, les municipalités ont été consultées régulièrement et continuent de collaborer de près avec l’équipe de négociation du Canada.

Le secteur privé, dans l’UE comme au Canada, s’est montré très favorable à la conclusion d’un AECG ambitieux, y compris dans le cadre des consultations menées des deux côtés de l’Atlantique. Selon les gens d’affaires, un partenariat économique plus étroit, outre les avantages considérables qui en découleraient, serait vu comme un puissant indicateur de croissance par les investisseurs et les gens d’affaires tant de l’UE et du Canada que du monde entier.

Un accord ambitieux devrait profiter à de nombreux secteurs de l’économie canadienne, notamment l’aérospatiale, les produits chimiques, les matières plastiques, l’aluminium, les produits du bois, les produits de la mer, la fabrication, les véhicules et les pièces automobiles, les produits agricoles, les transports, les services financiers, l’énergie renouvelable, les technologies de l’information et des communications, l’ingénierie et les services informatiques.

En moins de six ans, le gouvernement Harper a conclu des accords de libre-échange avec la Colombie, le Pérou, la Jordanie, le Panama, les pays de l’Association européenne de libre-échange (Islande, Norvège, Suisse et Liechtenstein), et plus récemment, le Honduras. Il poursuit en outre des négociations avec plusieurs autres pays, notamment l’Inde et le Japon.