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Dans un discours prononcé devant une alliance frontalière influente, le ministre Fast affirme que le commerce est le nouveau moteur de la relance économique

Selon le ministre du Commerce international, la participation du Canada au Partenariat transpacifique mènerait à la prospérité des travailleurs canadiens et américains

Le 7 mai 2012 - Le ministre du Commerce international et ministre de la porte d’entrée de l’Asie Pacifique, l’honorable Ed Fast, a prononcé aujourd’hui une allocution principale axée entièrement sur le plan de stimulation du commerce du gouvernement Harper visant à favoriser l’emploi, la croissance et la prospérité à long terme — le plus vaste plan d’expansion économique de l’histoire du pays — devant une centaine de membres de l’Alliance commerciale de la frontière canado-américaine, à l’occasion de sa conférence de trois jours, à Ottawa.

« Le commerce est le nouveau moteur de la relance économique, a affirmé le ministre Fast. Il nous faut plus de commerce, plus d’investissement et des partenariats plus étroits pour renforcer la sécurité financière des travailleurs canadiens et américains. Aucune autre mesure n’est plus efficace que l’accroissement du commerce pour créer des emplois et stimuler la croissance économique. C’est pourquoi notre gouvernement continue à prendre des mesures afin de renforcer au cours des prochaines années le partenariat Canada–États-Unis, le plus bel exemple de réussite du monde dans le domaine du libre-échange. »

Le ministre a rappelé que le Plan d’action Par-delà la frontière du premier ministre Stephen Harper et du président américain Barack Obama constitue un bon exemple de la façon dont les gouvernements du Canada et des États-Unis collaborent pour accroître l’efficacité à la frontière au profit des travailleurs et des entreprises. Le plan facilitera la circulation des personnes, des biens et des services entre les deux pays, tout en rendant plus difficile le passage aux frontières des criminels et des personnes qui représentent une menace pour la sécurité.

Tous les jours, des marchandises totalisant plus de 1,5 milliard de dollars sont échangées de part et d’autre de la frontière. À elle seule, la valeur totale des marchandises passant par un seul poste frontalier, celui du pont Ambassador reliant Windsor et Detroit, est plus élevée que la valeur totale du commerce réalisé entre les États-Unis et le Royaume Uni.

« La grande priorité de notre gouvernement demeure la création d’emplois, la croissance et la prospérité à long terme, a affirmé le ministre Fast. Au Canada, un emploi sur sept est tributaire actuellement du commerce effectué avec des partenaires américains; aux États-Unis, huit millions d’emplois reposent sur le commerce avec le Canada. En outre, le Canada constitue le principal partenaire commercial de 35 États américains. Autrement dit, lorsqu’il est question d’emplois, de croissance et de prospérité à long terme des deux côtés de la frontière, nous comptons l’un sur l’autre. »

Le ministre Fast a aussi mis de l’avant le Partenariat transpacifique (PTP) comme une autre possibilité de collaboration entre le Canada et les États-Unis. Les deux pays pourraient ensemble assurer le relèvement des normes qui y seraient incluses, notamment dans des domaines tels les investissements, la coopération en matière de réglementation, les entreprises d’État et le travail. Le PTP pourrait en outre renforcer le partenariat entre le Canada et les États-Unis, selon le ministre Fast.

Le PTP est un accord de libre-échange que négocient actuellement neuf pays de l’Asie-Pacifique, dont les États-Unis. En tant que chef de file mondial dans le domaine du libre-échange, le Canada désire participer aux négociations, d’autant plus que cette initiative concorde avec la présence active et croissante du gouvernement Harper dans la région de l’Asie-Pacifique.

« La présence du Canada et des États-Unis à la table de négociations du PTP permettra aux deux pays de bâtir ensemble le PTP, de mettre à profit les avantages concurrentiels de la relation entre le Canada et les États-Unis ainsi que de créer des emplois et de stimuler la croissance et la prospérité pour les Canadiens et les Américains, a précisé le ministre Fast. Un partenariat plus étroit entre le Canada et les États-Unis aiderait également les Américains à réaliser l’objectif fixé par le président Obama de doubler les exportations américaines d’ici 2015. Les exportations américaines vers le Canada étant presque trois fois plus élevées que celles allant vers tous les membres actuels du PTP réunis, il ne suffirait que d’une légère hausse des exportations vers le Canada pour que les travailleurs américains à l’échelle du pays en profitent, tout comme les familles qui tirent leur subsistance d’entreprises transfrontalières. »

Depuis 2006, le Canada a conclu des accords de libre-échange avec neuf pays et il en négocie plusieurs autres, y compris avec l’Union européenne et l’Inde. En outre, le gouvernement Harper a éliminé plus de 1 800 tarifs, y compris tous ceux visant les machines, l’équipement et les intrants manufacturiers importés, faisant du Canada le premier pays du G-20 à offrir une zone franche de droits de douane pour le secteur manufacturier.

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