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Le ministre Fast vante la solidité de l’économie canadienne auprès de dirigeants d’entreprises de calibre mondial à Londres

Le ministre rencontre également ses homologues pour discuter de relations bilatérales et d’un engagement commun à négocier avec succès un accord commercial entre le Canada et l’Union européenne

Le 8 août 2012 - Le ministre du Commerce international et ministre de la porte d’entrée de l’Asie-Pacifique, l’honorable Ed Fast, a conclu une visite de quatre jours à Londres, consacrée au commerce et à l’investissement, au cours de laquelle il a mis en relief la solidité des principaux indicateurs de l’économie du Canada ainsi que les avantages hors pair que celui-ci offre aux investisseurs.

« L’économie est la toute première priorité de notre gouvernement. Le développement des relations commerciales du Canada aux quatre coins du globe et les mesures destinées à attirer les capitaux au Canada contribuent fortement à la création d’emplois et au maintien d’une économie vigoureuse, a souligné le ministre Fast lors d’une conférence d’investisseurs organisée en collaboration avec le Financial Times de Londres. Grâce à nos taux d’imposition peu élevés, à notre économie solide et stable, à nos incitations généreuses pour la recherche et le développement, à notre main-d’œuvre instruite et à notre qualité de vie sans égale, le Canada reste un excellent partenaire commercial pour les entrepreneurs et une destination de choix pour les investisseurs internationaux. »

Plus d’une vingtaine d’autres activités commerciales représentant tout le Canada se déroulent présentement à la Maison du Canada à Trafalgar Square. Elles font découvrir aux dirigeants d’entreprise les atouts et les avantages concurrentiels qu’offre le Canada dans le but d’y attirer des capitaux créateurs d’emplois.

« L’un des principaux objectifs du Plan d’action économique de notre gouvernement consiste à attirer de nouveaux investissements étrangers au Canada en faisant valoir l’excellence économique de notre pays et son orientation résolument tournée vers le commerce, a précisé le ministre Fast. Comme un emploi sur dix est lié à l’investissement étranger au Canada, nous savons que l’afflux de nouveaux capitaux aide à créer des emplois et favorise la prospérité au profit des entreprises, des travailleurs et des familles du Canada. »

Pendant son séjour au Royaume-Uni, le ministre Fast a rencontré des homologues clés, dont le secrétaire d’État britannique aux Entreprises, à l’Innovation et aux Compétences et président de la Chambre de commerce, M. Vince Cable et le ministre d’État au Commerce et à l’Investissement du Royaume-Uni, M. Stephen Green, avec qui il a discuté de relations bilatérales et passé en revue les progrès réalisés dans la foulée de la déclaration conjointe sur l’innovation dans les domaines de la science, de la technologie et de l’entrepreneuriat, signée à Montréal en mai dernier. Le ministre a également discuté de relations commerciales bilatérales avec le sous-secrétaire d’État parlementaire au Bureau des affaires étrangères et du Commonwealth responsable de l’Amérique du Nord, M. Alistair Burt, et avec le ministre d’État au Commerce et au Développement de l’Irlande, M. Joe Costello.

Lors de ces rencontres, M. Fast et ses homologues ont réitéré leur détermination commune à mener à bon terme les négociations en vue d’un accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne.

« Au cours de mes entretiens avec mes homologues responsables du commerce, nous avons convenu que le meilleur moyen de resserrer encore davantage nos liens d’investissement et nos relations commerciales était de conclure les négociations portant sur un accord commercial vaste et détaillé entre le Canada et l’Union européenne, a ajouté le ministre Fast. Grâce à un tel accord, les relations commerciales et les liens d’investissement s’approfondiront encore plus et seront la source d’emplois, de croissance et de prospérité à long terme en faveur des travailleurs au Canada et dans l’Union européenne. »

À l’entrée de la Maison olympique du Canada, le ministre Fast a pu admirer de magnifiques écrans numériques mettant en valeur la technologie des dalles Christie MicroTiles et des cubes de rétroprojection Christie Entero LED, et il a visité une installation des « bicycles à Boris », ces vélos ainsi nommés d’après le maire de Londres Boris Johnson. Les 8 000 vélos et les 570 stations s’inspirent du système canadien de location de vélos Bixi et utilisent des composants et des vélos fabriqués par des entreprises situées au Québec. Ces deux initiatives attirent l’attention sur l’innovation canadienne pendant les Jeux Olympiques 2012 à Londres.

« Notre partenariat avec le gouvernement du Canada a assuré à notre technologie des dalles MicroTiles un retentissement qu’elle n’aurait pas eu autrement, a affirmé Mme Kathryn Cress, vice-présidente au marketing mondial et institutionnel chez Christie. Les écrans numériques exposés à la Maison olympique du Canada sont d’excellents exemples de l’état d’avancement de la technologie canadienne. »

Le Canada et le Royaume-Uni entretiennent de solides relations commerciales dans de nombreux secteurs. Les échanges bilatéraux de marchandises atteignaient 29,1 milliards de dollars en 2011, une hausse de 7,5 p. 100 par rapport à 2010. Le Royaume-Uni est ainsi le principal partenaire commercial du Canada au sein de l’Union européenne.

Pour obtenir des renseignements détaillés dans plusieurs langues sur les nombreux avantages qu’offre le Canada en matière de commerce et d’investissement, prière de consulter Investir au Canada.

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Un document d’information suit.

Pour de plus amples renseignements, les représentants des médias sont priés de communiquer avec :

Rudy Husny
Attaché de presse
Cabinet de l’honorable Ed Fast
Ministre du Commerce international et ministre de la porte d’entrée de l’Asie-Pacifique
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Le Service des relations avec les médias (commerce)
Affaires étrangères et Commerce international Canada
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Document d’information - Avantages concurrentiels du Canada

Le Canada est très réceptif aux capitaux étrangers qui stimulent la croissance économique, la création d’emplois, l’innovation, la compétitivité et la prospérité du pays à long terme. De 2001 à 2010, il se classait huitième au monde parmi les destinations des flux cumulatifs d’investissement étranger direct. La solidité des grands indicateurs économiques du Canada et ses avantages concurrentiels hors pair en font une destination de choix pour les investisseurs internationaux. Voici quels sont ses principaux atouts :

Une croissance économique forte : Selon les prévisions du Fonds monétaire international (FMI), la croissance économique au Canada en 2012 comptera parmi les plus rapides des pays du G-7. En outre, le Canada affiche la croissance de l’emploi la plus rapide parmi les pays du G-7 depuis le milieu de 2009, le nombre de postes ayant augmenté de près de 760 000 nouveaux emplois nets. Le nombre total d’emplois se situe aujourd’hui à près de 335 000 au-dessus du sommet enregistré avant la récession, de sorte que le Canada est l’un des deux seuls pays du G-7 à avoir récupéré tous les emplois perdus durant la récession. Le FMI et l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) s’accordent pour dire que le Canada se maintiendra aux premiers rangs des grandes économies mondiales cette année et l’an prochain.

De saines finances publiques : La revue Forbes estime que le Canada est le meilleur pays de la planète où faire des affaires. Au moment où le Canada est entré dans la récession mondiale, il affichait une série de budgets équilibrés et un niveau d’endettement peu élevé. Son ratio dette/PIB reste, et de loin, le plus faible au sein du G-7. Le Canada jouit en outre de la meilleure position budgétaire du G-7, et ses perspectives financières sont parmi les plus prometteuses du G-20. Par ailleurs, le Canada est en voie de rétablir l’équilibre budgétaire à moyen terme. Le ratio de la dette fédérale au PIB est resté inchangé à 33,9 p. 100 en 2010-2011, et on prévoit qu’il baissera à 30,1 p. 100 en 2015-2016.

La stabilité financière : La stabilité économique du Canada est soutenue par un secteur financier que le Forum économique mondial qualifie du plus stable au monde, et ce, depuis quatre ans. Le Forum affirme également que le système bancaire canadien est le plus solide du monde. Alors que de grandes sociétés financières s’écroulaient un peu partout dans le monde, aucune banque ni aucune société d’assurance n’a fait faillite au Canada, et aucune n’a dû être renflouée. Selon la revue Global Finance, six des dix banques les plus sûres en Amérique du Nord sont canadiennes.

Des coûts de revient et des taux d’imposition peu élevés : Le Canada offre un climat d’affaires accueillant, où les coûts des entreprises et les taux d’imposition sont peu élevés. Le taux d’imposition global s’appliquant aux nouveaux investissements y est sensiblement moins élevé que dans les autres pays du G-7. Son taux général d’impôt sur les sociétés (combinant les impôts fédéraux et provinciaux) s’élève à 26 p. 100, un chiffre moins élevé que celui de la plupart des autres pays du G-7 et inférieur d’environ 13 points de pourcentage à celui qu’on trouve aux États-Unis. Le Canada a été le premier pays du G-20 à offrir une zone libre de droits de douane pour les fabricants, ayant éliminé les droits sur les intrants, les machines et les équipements manufacturiers.

L’excellence en recherche et en innovation : Le Canada est un milieu très propice à la recherche et à l’innovation, grâce, notamment, à son infrastructure de R-D de calibre mondial, à ses incitations à l’innovation et à ses chercheurs talentueux. Parmi les pays du G-7, le Canada se classe au premier rang pour les dépenses engagées en R-D dans le secteur de l’enseignement supérieur, en proportion du PIB. Son programme de stimulants fiscaux en R-D est l’un des plus généreux des pays industrialisés. Grâce aux crédits d’impôts fédéraux et provinciaux, les investisseurs étrangers peuvent réaliser, en moyenne, une économie pouvant aller jusqu’à 30 p. 100 sur les capitaux investis en R-D au Canada.

Une main-d’œuvre concurrentielle : Le Canada possède une main-d’œuvre très instruite, polyvalente et multiculturelle, bien adaptée aux besoins de l’actuelle économie du savoir. Il possède l’une des mains-d’œuvre les plus qualifiées au monde; parmi les membres de l’OCDE, il compte la proportion la plus élevée de diplômés postsecondaires. Selon le Forum économique mondial, le Canada se classe au deuxième rang du G-7 et au quatrième rang mondial pour la qualité de ses écoles de gestion. Selon l’Institute for Management Development en Suisse, le Canada possède le nombre le plus élevé d’ingénieurs qualifiés parmi les pays du G-7.

Une qualité de vie exceptionnelle : La grande qualité de vie du Canada offre un environnement très favorable à la réussite des individus, des familles et des entreprises qui exercent leurs activités à travers le monde. Selon l’indice « Vivre mieux » de l’OCDE, le Canada se classe au premier rang du G-7 et au sixième rang des États membres de l’OCDE pour la qualité de vie. De même, l’Economist Intelligence Unit classe Vancouver, Toronto et Calgary parmi les cinq premières villes du monde sur ce plan.

Une porte d’entrée sur le monde : Grâce aux temps de navigation les plus courts entre l’Asie et l’Amérique du Nord, le Canada offre aux entreprises étrangères un accès facile au lucratif marché nord-américain et à ses quelque 460 millions de consommateurs. Le Canada possède de grands ports internationaux sur les côtes de l’Atlantique et du Pacifique (Halifax, Vancouver et Prince Rupert), ainsi que sur la Voie maritime du Saint-Laurent (Montréal). En outre, 17 des 20 plus grandes villes canadiennes sont situées à moins de 90 minutes de route de la frontière américaine.

Pour en savoir davantage, prière de consulter Investir au Canada.