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Le secrétaire parlementaire Keddy met en valeur les avantages pour le Canada atlantique de l’ambitieux accord commercial Canada-Union européenne

La création d’emplois, la croissance et la prospérité à long terme constituent la grande priorité du gouvernement Harper, affirme le secrétaire parlementaire Keddy

Le 26 octobre 2012 - Le secrétaire parlementaire du ministre du Commerce international, pour l’Agence de promotion économique du Canada atlantique et pour la porte d’entrée de l’Atlantique, M. Gerald Keddy, a conclu aujourd’hui une tournée de trois jours au Nouveau-Brunswick, à Terre-Neuve-et-Labrador et en Nouvelle-Écosse, où il a fait valoir les bienfaits que générerait un accord commercial entre le Canada et l’Union européenne. À sa dernière étape, à Sydney, en Nouvelle-Écosse, il a animé une table ronde avec des exportateurs et des représentants locaux de petites et moyennes entreprises (PME).

« Les provinces de l’Atlantique constituant la porte d’entrée au Canada la plus proche de l’Europe, il ne fait aucun doute qu’elles bénéficieront d’un accord commercial avec l’Union européenne, a précisé le secrétaire parlementaire Keddy. Cet accord offre à nos nombreuses PME de nouveaux débouchés commerciaux très prometteurs. Grâce à l’accès élargi au lucratif marché de l’Union européenne, les travailleurs et les entreprises de chacune des provinces de l’Atlantique profiteront de nouveaux emplois et d’une prospérité accrue. »

« Notre gouvernement est résolu à créer des emplois et à stimuler l’économie canadienne, a déclaré le ministre Fast. Partout au Canada, les gens reconnaissent que l’ouverture de nouveaux marchés en Europe et l’accroissement des exportations canadiennes profiteront aux travailleurs de chaque région du pays. Aussi, suis-je heureux de la motion des maires des municipalités des provinces de l’Atlantique en faveur de la conclusion d’un accord commercial et économique entre le Canada et l’Union européenne. »

Lors d’une rencontre avec des représentants du secteur de la pêche à Terre-Neuve-et-Labrador, le secrétaire parlementaire Keddy a attiré l’attention sur les énormes retombées qu’un accord Canada-Union européenne engendrera en faveur de cette industrie de calibre mondial qu’est le secteur des produits de la mer du Canada atlantique.

« L’Union européenne est le plus vaste marché du monde pour les produits de la mer, et la valeur de ses importations a atteint 25 milliards de dollars par année en moyenne entre 2009 et 2011, a indiqué le secrétaire parlementaire. La réduction des barrières tarifaires qu’entraînerait un accord commercial Canada-Union européenne stimulerait l’industrie des produits de la mer hors pair de Terre-Neuve-et-Labrador, ce qui profiterait directement aux pêcheurs, aux usines de transformation et aux travailleurs en créant des emplois, en faisant croître les salaires et en garantissant une prospérité durable. »

À Fredericton, au Nouveau-Brunswick, le secrétaire parlementaire Keddy s’est entretenu avec des dirigeants d’une industrie clé de la province, celle du bois et des produits du bois.

« Les travailleurs et les entrepreneurs avec qui j’ai parlé ici dans le Canada atlantique sont très enthousiastes face aux retombées qu’entraînera un resserrement des liens avec l’Union européenne, a affirmé le secrétaire parlementaire Keddy. L’ouverture de nouveaux marchés et la réduction des obstacles tarifaires et autres entraves au commerce rendront le bois et les produits du bois canadiens plus compétitifs, ce qui stimulera les ventes des entreprises comme celles que je viens de visiter. Cela aura des retombées positives sur les travailleurs et les familles du Nouveau-Brunswick et de tout le Canada atlantique. »

L’Union européenne, la plus grande économie intégrée du monde avec un marché de plus de 500 millions de consommateurs et un produit intérieur brut supérieur à 17 billions de dollars, est le deuxième partenaire commercial du Canada. Les négociations en cours avec l'Union européenne représentent la plus importante initiative commerciale du Canada depuis l'historique Accord de libre-échange nord-américain.

On prévoit qu’un accord commercial et économique avec l’Union européenne ferait croître de 20 p. 100 les échanges bilatéraux et qu’il injecterait 12 milliards de dollars par année en moyenne dans l’économie canadienne. Cela se traduirait par une hausse de 1 000 dollars du revenu de la famille canadienne moyenne, ou par l’ajout de 80 000 nouveaux emplois au Canada, ce qui équivaudrait à ajouter à l’économie canadienne le nombre total d’emplois existant actuellement dans la ville de Moncton.


Le secrétaire parlementaire du ministre du Commerce international, pour l’Agence de promotion économique du Canada atlantique et pour la porte d’entrée de l’Atlantique, M. Gerald Keddy, rencontre des travailleurs et des intervenants de premier plan de l’industrie du bois d’œuvre du Nouveau-Brunswick à Fredericton.

De gauche à droite : Luc Ouellet, vice-président, activités forestières au Nouveau-Brunswick, Acadian Timber, Jonathan Levesque, vice-président du marketing et du développement, Groupe Savoie et le secrétaire parlementaire Keddy. 

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Des documents d’information suivent, qui présentent en détail les avantages qu’un éventuel accord commercial Canada-Union européenne aurait pour le Nouveau Brunswick, Terre-Neuve-et-Labrador et la Nouvelle-Écosse.

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Document d’information - Avantages pour le Nouveau-Brunswick d’un éventuel accord commercial entre le Canada et l’Union européenne

Emplois, croissance et prospérité à long terme pour les travailleurs du Nouveau-Brunswick

Un accord commercial ambitieux avec l’Union européenne (UE) aurait des retombées positives considérables au Canada, car il mènerait à une hausse de 20 p. 100 des échanges bilatéraux et à une augmentation de 12 milliards de dollars du revenu annuel du Canada (produit intérieur brut).

Cela se traduirait par une hausse de 1 000 dollars du revenu de la famille canadienne moyenne ou par la création de 80 000 emplois, ce qui reviendrait à ajouter à l’économie canadienne un nombre d’emplois égal à celui qu’on trouve actuellement dans la ville de Moncton.

Plusieurs des principaux secteurs de l’économie du Nouveau-Brunswick bénéficieraient d’un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’UE.

Produits de la mer

  • Ce secteur emploie plus de 7 000 personnes au Nouveau-Brunswick.
  • L’UE constitue le plus important marché du monde pour les produits de la mer. De 2009 à 2011, les importations de produits de la mer de l’UE en provenance du monde entier ont atteint en moyenne 25 milliards de dollars par année.
  • L’UE impose actuellement des droits de douane moyens de 11 p. 100 sur les exportations canadiennes de produits de la mer, et certains atteignent même 25 p. 100. Ces obstacles tarifaires importants seraient éliminés dans le cadre d’un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’UE.
  • L’élimination des obstacles tarifaires permettrait d'accroître les ventes de produits de la mer de calibre mondial du Nouveau-Brunswick sur le lucratif marché de l'Union européenne, lequel compte quelque 500 millions de consommateurs. Cela profiterait directement aux travailleurs du Nouveau-Brunswick grâce à la création d’emplois, à la hausse des salaires et à une prospérité accrue à long terme.

Bois et produits du bois

  • Ce secteur emploie plus de 4 000 personnes au Nouveau-Brunswick.
  • De 2009 à 2011, les exportations de bois et de produits du bois du Nouveau-Brunswick vers l'UE ont atteint en moyenne 15,7 millions de dollars par année.
  • L’UE impose actuellement des droits de douane moyens de 2,2 p 100 sur les exportations canadiennes de bois et de produits du bois, certains droits atteignant même 10 p. 100. Ces obstacles tarifaires seraient éliminés dans le cadre d’un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’UE.
  • L’élimination des obstacles tarifaires permettrait d'accroître les ventes de bois et de produits du bois de calibre mondial du Nouveau-Brunswick sur le lucratif marché de l'Union européenne, lequel compte quelque 500 millions de consommateurs. Cela profiterait directement aux travailleurs du Nouveau-Brunswick grâce à la création d’emplois, à la hausse des salaires et à une prospérité accrue à long terme.

Agriculture

  • Ce secteur emploie plus de 5 000 personnes au Nouveau-Brunswick.
  • De 2009 à 2011, les exportations de produits agricoles du Nouveau-Brunswick vers l’UE (dont bon nombre sont passible de droits) atteignaient en moyenne 3,8 millions de dollars par année.
  • Un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’UE éliminerait les obstacles tarifaires visant certains produits d’exportation importants du Nouveau-Brunswick, tels le sirop d’érable (droit de l’UE de 8 p. 100) et les pommes de terre préparées (droits de l’UE variant entre 14,4 et 17,6 p. 100).
  • L’élimination des obstacles tarifaires permettrait d’accroître les ventes de produits agricoles de renommée mondiale du Nouveau-Brunswick sur le marché lucratif de l'UE, lequel compte quelque 500 millions de consommateurs. Cela profiterait directement aux travailleurs du Nouveau-Brunswick grâce à la création d'emplois, à la hausse des salaires et à une prospérité accrue à long terme.

Services

  • Dans l’ensemble, le secteur des services emploie plus de 250 000 personnes au Nouveau-Brunswick.
  • Le secteur des services occupe une place très importante dans l’économie du Nouveau-Brunswick, représentant 74 p. 100 du PIB total de la province en 2010.
  • En 2010, la valeur du marché de l’importation de services de l’UE s’élevait à 1,4 billion de dollars.
  • Les obstacles au commerce de l’UE visant les services canadiens comprennent à l’heure actuelle les exigences relatives à la citoyenneté et la résidence, l’absence de règles régissant l’entrée temporaire et les restrictions touchant la propriété et les investissements. Un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’UE réduirait ces obstacles au commerce, ce qui profiterait directement aux entreprises et aux travailleurs de ce secteur vital de l’économie du Nouveau-Brunswick.

Investissement

  • Les investissements directs des entreprises canadiennes dans la zone de l’UE se chiffraient à près de 173 milliards de dollars en 2011, ce qui représentait plus de 25 p. 100 de l’ensemble des investissements directs du Canada à l'étranger. La même année, les investissements directs des entreprises européennes au Canada atteignaient près de 161 milliards de dollars, soit plus de 26 p. 100 de l’investissement étranger total au Canada.
  • Les entreprises du Nouveau-Brunswick ont à l’heure actuelle des investissements importants dans divers secteurs de l’UE, dont l’agriculture, l’exploitation forestière, la fabrication et l’aérospatiale.
  • L’adoption de règles prévisibles en matière d’investissement et l’accès garanti aux marchés de l’UE permettront d’uniformiser les règles du jeu pour les investisseurs et les entreprises du Nouveau-Brunswick, et de réduire les risques rattachés aux investissements à l’étranger. Cela aura pour effet d’accroître les flux d’investissements bilatéraux, contribuant ainsi à la création d’emplois et de prospérité à long terme des travailleurs du Nouveau-Brunswick.

Marchés publics

  • Les travailleurs du Nouveau-Brunswick et des autres régions du Canada qui sont employés dans des secteurs comme l’ingénierie, l’architecture et la technologie seraient avantagés par un accès élargi aux marchés publics de l’UE, dont la valeur est estimée à 2,4 billions de dollars.
  • Un accès élargi au plus vaste marché public du monde profiterait à des secteurs qui revêtent une grande importance pour l’économie du Nouveau-Brunswick, bénéficiant ainsi aux travailleurs et à leur famille.

Avantages pour Terre-Neuve-et-Labrador d’un éventuel accord commercial entre le Canada et l’Union européenne

Emplois, croissance et prospérité à long terme pour les travailleurs de Terre-Neuve-et-Labrador

Un accord commercial ambitieux avec l’Union européenne (UE) aurait des retombées positives considérables au Canada, car il mènerait à une hausse de 20 p. 100 des échanges bilatéraux et à une augmentation de 12 milliards de dollars du revenu annuel du Canada (produit intérieur brut).

Cela se traduirait par une hausse de 1 000 dollars du revenu de la famille canadienne moyenne ou par la création de 80 000 emplois, ce qui équivaut au nombre d’emplois actuel dans six villes de la taille de Corner Brook.

Plusieurs des principaux secteurs de l’économie de Terre-Neuve-et-Labrador bénéficieraient d’un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’UE :

Produits de la mer

  • Ce secteur emploie plus de 9 000 personnes à Terre-Neuve-et-Labrador.
  • L’UE constitue le plus important marché du monde pour les produits de la mer. De 2009 à 2011, les importations de produits de la mer de l’UE en provenance du monde entier ont atteint en moyenne 25 milliards de dollars par année.
  • L’UE impose actuellement des droits de douane moyens de 11 p. 100 sur les exportations canadiennes de produits de la mer, et certains atteignent même 25 p. 100. Ces obstacles tarifaires importants seraient éliminés dans le cadre d’un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’UE.
  • L’élimination des obstacles tarifaires permettrait d’accroître les ventes de produits de la mer de calibre mondial de Terre-Neuve-et-Labrador sur le lucratif marché de l’UE, lequel compte quelque 500 millions de consommateurs. Cela profiterait directement aux travailleurs de Terre-Neuve-et-Labrador grâce à la création d’emplois, à la hausse des salaires et à une prospérité accrue à long terme.

Services

  • Dans l’ensemble, le secteur des services emploie plus de 160 000 personnes à Terre-Neuve-et-Labrador.
  • Globalement, le secteur des services représentait 59 p. 100 du PIB total de la province en 2010.
  • En 2010, la valeur des importations de services de l’UE s’élevait à 1,4 billion de dollars.
  • Les obstacles au commerce de l’UE visant les services canadiens comprennent à l’heure actuelle les exigences relatives à la citoyenneté et à la résidence, l’absence de règles régissant l’entrée temporaire et les restrictions touchant la propriété et l’investissement. Ces obstacles au commerce seraient réduits dans le cadre d’un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’UE, ce qui profiterait directement aux entreprises et aux travailleurs de cet important secteur de l’économie de Terre-Neuve-et-Labrador.

Investissement

  • Les investissements directs des entreprises canadiennes dans la zone de l’UE se chiffraient à près de 173 milliards de dollars en 2011, ce qui représentait plus de 25 p. 100 de l’ensemble des investissements directs du Canada à l’étranger. La même année, les investissements directs d’entreprises européennes au Canada atteignaient près de 161 milliards de dollars, soit plus de 26 p. 100 de l’investissement étranger total au Canada.
  • Des entreprises de Terre-Neuve-et-Labrador ont à l’heure actuelle des investissements importants dans divers secteurs de l’UE, dont l’agriculture, les technologies océaniques et pétrolières.
  • L’adoption de règles prévisibles en matière d’investissement et l’accès garanti aux marchés de l’UE permettront d’uniformiser les règles du jeu pour les investisseurs et les entreprises de Terre-Neuve-et-Labrador, et de réduire les risques rattachés aux investissements à l’étranger. Cela aura pour effet d’accroître les flux d’investissements bilatéraux, contribuant ainsi à la création d’emplois et à la prospérité à long terme pour les travailleurs de Terre-Neuve-et-Labrador.

Marchés publics

  • Les travailleurs de Terre-Neuve-et-Labrador et des autres régions du Canada qui sont employés dans des secteurs comme l’ingénierie, l’architecture et la technologie seraient avantagés par un accès élargi aux marchés publics de l’UE, dont la valeur est estimée à 2,4 billions de dollars.
  • Un accès élargi au plus vaste marché public du monde profiterait à des secteurs qui revêtent une grande importance pour l’économie de Terre-Neuve-et-Labrador, bénéficiant ainsi aux travailleurs et à leurs familles.

Avantages pour la Nouvelle-Écosse d’un éventuel accord commercial entre le Canada et l’Union européenne

Emplois, croissance et prospérité à long terme pour les habitants de la Nouvelle-Écosse

Un accord commercial ambitieux avec l’Union européenne (UE) aurait des retombées positives considérables au Canada, car il mènerait à une hausse de 20 p. 100 des échanges bilatéraux et à une augmentation de 12 milliards de dollars du revenu annuel du Canada (produit intérieur brut).

Cela se traduirait par une hausse de 1 000 dollars du revenu de la famille canadienne moyenne ou par la création de 80 000 emplois, ce qui reviendrait à ajouter à l’économie canadienne cinq fois le nombre d’emplois qu’on trouve actuellement dans la ville de New Glasgow.

Plusieurs des principaux secteurs de l’économie de la Nouvelle-Écosse bénéficieraient d’un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’UE :

Agriculture

  • Ce secteur emploie près de 5 200 personnes en Nouvelle-Écosse.
  • De 2009 à 2011, les exportations annuelles de produits agricoles de la Nouvelle-Écosse vers l’UE se sont chiffrées en moyenne à 46 millions de dollars.
  • Un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’UE garantirait un accès en franchise de droits permanent des principales exportations de la Nouvelle-Écosse, y compris les bleuets congelés (37,1 millions de dollars; droits suspendus temporairement), les bleuets frais (droits jusqu’à 9,6 p. 100) et les pommes fraîches (droits saisonniers).
  • L’élimination des obstacles tarifaires permettrait d'accroître les ventes de produits agricoles de calibre mondial de la Nouvelle-Écosse sur le lucratif marché de l'Union européenne, lequel compte quelque 500 millions de consommateurs. Cela profiterait directement aux travailleurs néo-écossais grâce à la création d’emplois, à la hausse des salaires et à une prospérité accrue à long terme.

Produits de la mer

  • Ce secteur emploie plus de 10 000 personnes en Nouvelle-Écosse.
  • L’UE constitue le plus important marché du monde pour les produits de la mer. De 2009 à 2011, les importations de produits de la mer de l’UE en provenance du monde entier ont atteint en moyenne 25 milliards de dollars par année.
  • L’UE impose actuellement des droits de douane moyens de 11 p. 100 sur les exportations canadiennes de produits de la mer, et certains atteignent même 25 p. 100. Ces obstacles tarifaires importants seraient éliminés dans le cadre d’un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’UE.
  • L’élimination des obstacles tarifaires permettrait d'accroître les ventes de produits de la mer de calibre mondial de la Nouvelle-Écosse sur le lucratif marché de l'Union européenne, lequel compte quelque 500 millions de consommateurs. Cela profiterait directement aux travailleurs néo-écossais grâce à la création d’emplois, à la hausse des salaires et à une prospérité accrue à long terme.

Bois et produits du bois

  • Ce secteur emploie près de 3 200 personnes en Nouvelle-Écosse.
  • La Nouvelle-Écosse est un important exportateur de pâtes et papiers. De 2009 à 2011, les exportations annuelles vers l’UE de ce secteur se chiffraient en moyenne à 68 millions de dollars.
  • De 2009 à 2011, la Nouvelle-Écosse a également exporté vers l’UE du bois et des produits du bois d’une valeur annuelle qui s’est élevée en moyenne à 41,7 millions de dollars.
  • L’UE impose actuellement des droits de douane moyens de 2,2 p 100 sur les exportations canadiennes de bois et de produits du bois, certains droits atteignant même 10 p. 100. Ces obstacles tarifaires seraient éliminés dans le cadre d’un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’UE.
  • L’élimination des obstacles tarifaires permettrait d'accroître les ventes de bois et de produits du bois de calibre mondial de la Nouvelle-Écosse sur le lucratif marché de l'Union européenne, lequel compte quelque 500 millions de consommateurs. Cela profiterait directement aux travailleurs néo-écossais grâce à la création d’emplois, à la hausse des salaires et à une prospérité accrue à long terme.

Produits chimiques et matières plastiques

  • Ce secteur emploie près de 5 000 personnes en Nouvelle-Écosse.
  • De 2009 à 2011, les exportations de produits chimiques et de matières plastiques de la Nouvelle-Écosse vers l’UE se sont chiffrées en moyenne à 3,5 millions de dollars par année.
  • L’UE impose actuellement des droits de douane moyens de 4,9 p. 100 sur les exportations canadiennes de produits chimiques et de matières plastiques. Ces obstacles tarifaires seraient éliminés dans le cadre d’un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’UE.
  • L’élimination des obstacles tarifaires permettrait d'accroître les ventes de produits chimiques et de matières plastiques de calibre mondial de la Nouvelle-Écosse sur le lucratif marché de l'Union européenne, lequel compte quelque 500 millions de consommateurs. Cela profiterait directement aux travailleurs néo-écossais grâce à la création d’emplois, à la hausse des salaires et à une prospérité accrue à long terme.

Services

  • Dans l’ensemble, le secteur des services emploie près de 340 000 personnes en Nouvelle-Écosse.
  • Le secteur des services occupe une place très importante dans l’économie néo-écossaise, représentant 78 p. 100 du PIB annuel total de la province en 2010.
  • En 2010, la valeur des importations de services de l’UE s’élevait à 1,4 billion de dollars.
  • Les obstacles au commerce de l’UE visant les services canadiens comprennent à l’heure actuelle les exigences relatives à la citoyenneté et à la résidence, l’absence de règles régissant l’entrée temporaire et les restrictions touchant la propriété et l’investissement. Ces obstacles au commerce seraient réduits dans le cadre d’un accord commercial ambitieux entre le Canada et l’UE, ce qui profiterait directement aux entreprises et aux travailleurs de cet important secteur de l’économie néo-écossaise.

Investissement

  • Les investissements directs des entreprises canadiennes dans la zone de l’UE se chiffraient à près de 173 milliards de dollars en 2011, ce qui représentait plus de 25 p. 100 de l’ensemble des investissements directs du Canada à l’étranger. La même année, les investissements directs d’entreprises européennes au Canada atteignaient près de 161 milliards de dollars, soit plus de 26 p. 100 de l’investissement étranger total au Canada.
  • Les entreprises néo-écossaises ont à l’heure actuelle des investissements importants dans divers secteurs de l’UE, dont l’agriculture.
  • L’adoption de règles prévisibles en matière d’investissement et l’accès garanti aux marchés de l’UE permettront d’uniformiser les règles du jeu pour les investisseurs et les entreprises de la Nouvelle-Écosse, et de réduire les risques rattachés aux investissements à l’étranger. Cela aura pour effet d’accroître les flux d’investissements bilatéraux, contribuant ainsi à la création d’emplois et à la prospérité à long terme des travailleurs de la Nouvelle-Écosse.

Marchés publics

  • Les travailleurs de la Nouvelle-Écosse et des autres régions du Canada qui sont employés dans des secteurs comme l’ingénierie, l’architecture et la technologie seraient avantagés par un accès élargi aux marchés publics de l’UE, dont la valeur est estimée à 2,4 billions de dollars.
  • Un accès élargi au plus vaste marché public du monde profiterait à des secteurs qui revêtent une grande importance pour l’économie de la Nouvelle-Écosse, bénéficiant ainsi aux travailleurs et à leurs familles.