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Le gouvernement Harper discute principalement de l’emploi et de l’économie aux réunions du Forum économique mondial

Le Plan d’action économique du Canada est reconnu comme la voie de la prospérité à suivre par les autres pays, affirment des ministres

Le 26 janvier 2013 - Le ministre du Commerce international et ministre de la porte d’entrée de l’Asie-Pacifique, l’honorable Ed Fast, s’est joint au ministre des Affaires étrangères John Baird, au ministre des Finances, l’honorable Jim Flaherty, au ministre de l’Industrie et ministre d’État (Agriculture), l’honorable Christian Paradis, ainsi qu’aux chefs d’entreprise et dirigeants de l’industrie pour promouvoir le rôle de chef de file du Canada et ses réussites économiques à la rencontre annuelle du Forum économique mondial, tenue du 23 au 27 janvier à Davos, en Suisse.

« Le succès remporté par le Plan d’action économique du Canada, qui met l’accent sur la création d’emplois et la prospérité à long terme pour les familles canadiennes, en a fait un modèle reconnu par les autres pays du monde et un exemple à suivre pour stimuler la croissance, le commerce et l’investissement, a déclaré le ministre Fast. Notre gouvernement continue à ouvrir des marchés pour accroître les exportations canadiennes aux quatre coins du monde, et il veille à ce que le plus ambitieux plan d’expansion du commerce de l’histoire du Canada reste profitable aux travailleurs et aux entreprises. »

Les ministres ont profité de leur présence au Forum de cette année pour rencontrer leurs principaux homologues, discuter des réussites économiques du Canada présentées aux sessions du Forum et tenir des consultations avec des chefs d’entreprise et dirigeants de l’industrie au sujet du prochain Budget.

« La priorité absolue de notre gouvernement est l’économie, et nous sommes déterminés à rétablir l’équilibre budgétaire d’ici la fin de la présente législature, a déclaré le ministre Flaherty. Fiers d’avoir l’un des niveaux d’endettement public le plus faible des pays industrialisés et un système bancaire louangé depuis cinq ans comme le plus sûr et le plus stable du monde, nous encourageons tous les pays à s’engager sur la voie d’un redressement de leurs finances à long terme, comme nous l’avons fait, afin d’assurer une reprise économique mondiale durable. »

« Les Canadiens savent que leur prospérité future repose sur l’accès élargi du Canada aux marchés nouveaux et émergents d’Asie, des Amériques, d’Afrique et d’ailleurs, ainsi que sur le resserrement des liens économiques avec l’Europe et les États-Unis, a indiqué le ministre Baird. La politique étrangère du Canada met de l’avant les intérêts et les valeurs de notre pays. »

Pour sa part, le ministre Paradis a affirmé : « Comme un emploi sur cinq au Canada est lié aux exportations et un sur dix à l’investissement étranger, notre gouvernement s’emploie à ouvrir de nouveaux marchés et à chercher de nouveaux investissements étrangers. Avec son système financier stable et solide, son faible taux d’imposition, son environnement favorable aux entreprises et sa main-d’œuvre instruite, innovatrice et multiculturelle, le Canada offre une grande stabilité à ses partenaires commerciaux et aux investisseurs étrangers. »  

En marge du Forum, le ministre Fast a participé activement à la réunion ministérielle informelle de l’Organisation mondiale du commerce, discutant ouvertement avec ses homologues de l’avenir de l’OMC, des attentes du Canada et de la détermination du pays à maintenir son rôle de chef de file au sein du système commercial multilatéral.

En moins de six ans, le Canada a conclu des accords commerciaux avec neuf pays : la Colombie, le Honduras, la Jordanie, le Panama, le Pérou et les pays membres de l’Association européenne de libre-échange (l’Islande, le Liechtenstein, la Norvège et la Suisse). En outre, le Canada mène à l’heure actuelle des négociations avec des marchés vastes, dynamiques et en croissance rapide comme l’Union européenne, le Japon, l’Inde et les pays associés au Partenariat transpacifique.

Pour de plus amples renseignements sur la présence du Canada au Forum, prière de consulter Le Canada au Forum économique mondiale.

Pour obtenir des renseignements complets et multilingues sur les nombreux avantages qu’offre le Canada sur le plan des affaires et des investissements, prière de consulter Investir au Canada.

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Un document d’information suit.

Pour de plus amples renseignements, les représentants des médias sont priés de communiquer avec :

Rudy Husny
Attaché de presse
Cabinet de l’honorable Ed Fast
Ministre du Commerce international et ministre de la porte d’entrée de l’Asie-Pacifique
613-992-7332
rudy.husny@international.gc.ca

Kathleen Perchaluk
Attachée de presse
Cabinet de l’honorable Jim Flaherty
Ministre des Finances
613-996-7861

Jack Aubry
Relations avec les médias
Ministère des Finances
613-996-8080

Margaux Stastny
Directrice des communications
Cabinet de l’honorable Christian Paradis
Ministre de l’Industrie et ministre d’État (Agriculture)
613-995-9001

Relations avec les médias
Industrie Canada
613-943-2502

Le Service des relations avec les médias (commerce)
Affaires étrangères et Commerce international Canada
613-996-2000
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Document d’information - Les avantages qu’offre le Canada

Les solides assises économiques du Canada et ses avantages concurrentiels de classe mondiale en font une destination de choix pour les investisseurs mondiaux. Ces avantages comprennent :

Une croissance économique robuste : Au cours de la dernière décennie (2002-2011), le Canada s’est classé en tête du G-7 au chapitre de la croissance économique. Le Fonds monétaire international (FMI) et l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) prévoient tous deux que le Canada se maintiendra parmi les pays du G-7 qui connaîtront une importante croissance économique en 2013. Le Canada a aussi enregistré la croissance de l’emploi la plus rapide du G-7, son économie ayant connu une augmentation nette de plus de 900 000 nouveaux emplois depuis juillet 2009. Le nombre d’emplois au Canada dépasse maintenant de plus de 490 000 le sommet atteint avant la récession de 2008, de sorte que le Canada l’un des deux seuls pays du G-7 à avoir récupéré tous les emplois perdus durant la récession mondiale.

De solides assises économiques : Selon le magazine Forbes, le Canada est le meilleur pays du G-20 où conduire des affaires. Le pays est entré dans la récession mondiale fort d’une série de budgets équilibrés et d’une dette peu élevée : selon le FMI, le ratio de la dette nette au PIB du Canada demeure de loin le plus bas des pays du G-7. Le Canada jouit de la meilleure position budgétaire du G-7, et ses perspectives financières sont parmi les plus prometteuses du G-20. Il est en voie de rétablir l’équilibre budgétaire à moyen terme. Le ratio de la dette fédérale au PIB s’établissait à 33 p. 100 en 2011-2012 et devrait diminuer à 28,1 p. 100 en 2017-2018.

La stabilité financière : La stabilité financière du Canada a été soutenue par ce que le Forum économique mondial a qualifié de l’un des secteurs financiers les plus stables du monde, cinq années consécutives. Le Forum estime aussi que le système bancaire du Canada est le plus robuste au monde. Alors que partout dans le monde des institutions financières s’effondraient, aucune banque canadienne ni aucune société d’assurance n’a fait faillite ou n’a dû être renflouée. Selon le magazine Global Finance, 6 des 10 banques les plus sûres en Amérique du Nord sont canadiennes. L’agence Standard & Poor’s a maintenu la cote de crédit AAA du Canada.

Des coûts de revient et des impôts peu élevés : Le Canada offre un climat d’affaires accueillant, où les entreprises profitent d’un faible taux d’imposition. Le taux d’imposition général que le Canada applique aux nouveaux investissements des entreprises est considérablement moins élevé que celui des autres pays du G-7. Le taux général combiné fédéral-provincial d’imposition du revenu du Canada se chiffre à 26,1 p. 100, ce qui est inférieur à la plupart des autres pays du G-7 et d’environ 13 points de pourcentage en dessous de celui des États-Unis. KPMG considère le Canada comme étant le pays le plus concurrentiel du G-7. Le pays est aussi le premier du G-20 à offrir une zone libre de droits de douane pour les fabricants après avoir éliminé les droits de douane sur les intrants manufacturiers, les machines et les équipements.

Un lieu par excellence pour la recherche et l’innovation : Le Canada est un milieu propice à la recherche et à l’innovation, grâce notamment à son infrastructure de R-D de calibre mondial, ses mesures fiscales incitatives et à la présence de chercheurs de talent. Au sein du G-7, le Canada est le pays dont les dépenses engagées en R-D dans le secteur de l’enseignement supérieur sont les plus élevées en proportion du PIB. Le Canada offre un programme de stimulants fiscaux en R-D parmi les plus généreux du monde industrialisé. Grâce aux crédits d’impôt fédéraux et provinciaux, les investisseurs étrangers peuvent recevoir en moyenne jusqu’à 30 p. 100 de leurs investissements en R-D au Canada. Le Canada est le pays du G-7 où les coûts des secteurs axés sur la R-D sont les moins élevés, étant de 10,7 p. 100 inférieurs à ceux des États-Unis.

Une main-d’œuvre concurrentielle : Le Canada possède une main-d’œuvre très instruite, polyvalente et multiculturelle qui cadre parfaitement avec l’actuelle économie du savoir. Il possède l’un des bassins de travailleurs les plus qualifiés du monde et la plus grande proportion de diplômés postsecondaires parmi les membres de l’OCDE. Selon le Forum économique mondial, le Canada se classe au deuxième rang du G-7 et au cinquième rang mondial pour la qualité de ses écoles de gestion. Et d’après l’International Institute for Management Development, un institut suisse, le Canada est le pays du G-7 comptant le plus grand nombre d’ingénieurs. La société canadienne est diversifiée sur le plan linguistique; les Canadiens parlent une variété de langues en plus de l’une des deux langues officielles du pays, soit l’anglais et le français.

Une qualité de vie exceptionnelle : La grande qualité de vie du Canada offre un milieu propice à l’épanouissement, tant celui des personnes et des familles que des entreprises ayant des activités internationales. Selon la Banque mondiale, en 2011, le Canada s’est classé au deuxième rang parmi les pays du G-20 pour ce qui est du niveau de vie de ses habitants, mesuré selon le PIB par habitant. En 2011, le Canada était au deuxième rang des pays du G-7 dans l’Indice de développement humain des Nations Unies, étant l’un des pays les plus multiculturels du monde et bénéficiant d’un système de soins de santé universel, d’universités de calibre mondial et de villes propres et accueillantes.

Une porte d’entrée sur le monde : Jouissant de la route maritime la plus courte entre l’Amérique du Nord et l’Asie, le Canada offre un accès facile au lucratif marché nord-américain, fort de quelque 460 millions de consommateurs. Le Canada possède des ports internationaux importants sur les côtes de l’Atlantique et du Pacifique (Halifax, Vancouver et Prince Rupert), ainsi que sur la Voie maritime du Saint-Laurent (Montréal). Des 20 plus grandes villes canadiennes, 17 sont situées à moins de 90 minutes de route de la frontière avec les États-Unis. Les ports et les aéroports du Canada, desservis par des réseaux aériens, ferroviaires et routiers rapides et fiables, relient le continent nord-américain au reste du monde.

Pour en savoir davantage, prière de consulter Investir au Canada.