Section IV : Renseignements supplémentaires (2017 -2018)

Table of Contents

Stratégie ministérielle de développement durable

1.  Contexte de la Stratégie ministérielle de développement durable

La Stratégie fédérale de développement durable 2016-2019 (SFDD) établit les priorités du gouvernement du Canada en matière de développement durable, établit les objectifs et les cibles et indique les mesures à prendre à cet égard, comme l’exige la Loi fédérale sur le développement durable.

Conformément aux objectifs de la Loi qui visent à rendre le processus décisionnel en matière d’environnement plus transparent et plus responsable envers le Parlement, Affaires mondiales Canada appuie la production de rapports sur la mise en œuvre de la SFDD et de sa Stratégie ministérielle de développement durable ou l’équivalent au moyen des activités décrites dans le présent tableau de renseignements supplémentaires.

2.  Le développement durable au sein d’Affaires mondiales Canada

La Stratégie ministérielle de développement durable de 2017 à 2020 d’Affaires mondiales Canada décrit les actions prises par le Ministère afin d’atteindre les objectifs suivants : Gouvernement à faible émission de carbone et Mesures efficaces sur les changements climatiques. Ce tableau de renseignements supplémentaires présente les résultats disponibles associés aux actions ministérielles qui ont un lien avec ces objectifs. Le tableau de l’an dernier se trouve sur le site Web du Ministère.

Cette année, Affaires mondiales Canada précise également les cibles des objectifs de développement durable des Nations Unies que les actions ministérielles contribuent à atteindre.

3.  Rendement du Ministère en fonction de l’objectif de la SFDD

Les tableaux suivants présentent des renseignements sur les résultats des actions prises par le Ministère à l’appui des objectifs de la SFDD énoncés à la section 2.

Objectif de la SFDD : Gouvernement à faible émission de carbone
Cible de la SFDDMesure(s) de contribution de la SFDDActions spécifiques du Ministère qui appuient la cibleAppui à une cible des objectifs de développement durable des Nations UniesPoints de départ, cibles et mesures de rendement pour les actions spécifiques du MinistèreRésultats atteints
Réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) provenant du parc de véhicules et de bâtiments fédéraux de 40 % par rapport au niveau de 2005 d’ici 2030, avec l’ambition d’atteindre cette cible dès 2025.Améliorer l’utilisation de l’énergie et l’efficacité énergétique de nos immeubles et opérations S.O.S.O.S.O.S.O.
Moderniser notre parc de véhicules
  • Acheter deux nouveaux véhicules catégorisés comme étant à faibles émissions (hybride ou électrique).
12.7
  • Le pourcentage des véhicules à faibles émissions dans le parc de véhicules national du Ministère (point de départ : 42 % de la flotte est hybride en janvier 2017)
  • Deux nouveaux véhicules à faibles émissions ont été achetés, ce qui a porté le pourcentage de véhicules de ce type dans le parc national du Ministère à 46 % en juillet 2018
Soutenir la transition vers une économie à faible émission de carbone grâce aux pratiques d’achat écologiques
  • Veiller à ce que la collectivité des approvisionnements à Affaires mondiales Canada reçoive une formation sur l’approvisionnement écologique et continue à promouvoir l’utilisation de produits écologiques. 
12.7
  • Pourcentage des spécialistes de la gestion des achats ou du matériel qui ont terminé le cours sur les achats écologiques de l’École de la fonction publique du Canada (C215). (point de départ : 80 %) 
  • Pourcentage des spécialistes de la gestion des achats et du  matériel qui ont terminé le cours sur les achats écologiques de l’École de la fonction publique du Canada (C215) en date de juillet 2018 : 85 %.
  • Mettre en œuvre une stratégie cyclique mondiale de remplacement des imprimantes qui intégrera l’approvisionnement écologique.
12.7
  • Réduction du pourcentage du nombre total de pages imprimées à l’administration centrale (point de départ : 2 273 038 pages en juin 2016). 
  • En 2018, l’administration centrale a réduit le nombre total de pages imprimées de 18 %, le nombre de pages passant de 2 270 275 en juin 2016 à 1 864 099 en juin 2018, et ce, malgré une augmentation de 13 % du nombre d’utilisateurs.
    (* Le chiffre du point de départ de 2016 a été corrigé, soit est légèrement modifié par rapport à la colonne précédente).
  • Veiller à ce que les facteurs environnementaux soient intégrés aux politiques, aux processus et aux pratiques du Ministère conformément aux cycles d’actualisation ministériels.
12.7
  • Pourcentage des politiques, processus et pratiques du Ministère qui ont été créés ou mis à jour au cours de l’exercice et qui intégraient des considérations environnementales (point de départ : 80 %).
  • En 2018, Affaires mondiales Canada a intégré les facteurs environnementaux dans la totalité (100 %) de ses politiques, de ses pratiques et de ses processus ministériels nouveaux ou mis à jour.
  • Mettre en œuvre une politique sur la stratégie relative aux appareils pour assurer la durabilité de la gestion des biens de la TI et réduire les coûts liés aux mises à jour continues et au dédoublement des appareils.
12.7
  • Le nombre d’appareils par employé (point de départ : 1,25).  
  • Il n’y a aucun résultat mesurable à ce jour. En juin 2018, Affaires mondiales Canada a publié sa nouvelle stratégie globale relative aux appareils, dont l’objectif est d’assurer la durabilité de la gestion des biens de la TI et de réduire les coûts liés aux mises à jour continues et au dédoublement des appareils dans les exercices financiers à venir.
Faire la démonstration de technologies innovatricesS.O.S.O.S.O.S.O.
Promouvoir des pratiques de transport durables
  • Encourager et favoriser l’utilisation de pratiques de transport écoresponsables.
S.O.
  • Le nombre de séances d’information ou de communications sur les voyages qui comprennent de l’orientation sur les pratiques de transport écoresponsables.
S.O.
  • Continuer d’exploiter le service de navette IntraBus qui transporte les membres du personnel entre les trois principaux immeubles à l’Administration centrale.
S.O.
  • Le nombre quotidien moyen de passagers du service de navette (point de départ : 200)
  • Réduction du pourcentage du coût des services de taxi, comparativement à la période avant la mise en œuvre du service de navette (point de départ : 1 372 000 $ en 2013-2014)
    * Estimation des dépensés pour les trajets en taxi avant l’amalgame et mise en œuvre du service de navette; le coût fournit une mesure du nombre total d'heures et de distance.
S.O.
  • Travailler avec Services partagés Canada afin d’accroître la bande passante du réseau dans les missions à l’étranger.  
9C
  • Le nombre de missions où la bande passante a été mise à niveau (point de départ : mises à niveau en cours dans 15 des sites où la congestion est la plus importante).
  • Au 31 mars 2018, 53 missions avaient été mises à niveau. La mise à niveau dans les 101 missions qui restent aura lieu d’ici au 31 mars 2019.
Comprendre les impacts des changements climatiques et renforcer la résilienceS.O.S.O.S.O.S.O.
Améliorer la transparence et la reddition de comptesS.O.S.O.S.O.S.O.
Élaborer des politiques pour un gouvernement à faible émission de carboneS.O.S.O.S.O.S.O.
Objectif de la SFDD : Mesures efficaces sur les changements climatiques
Cible de la SFDDMesure(s) de contribution de la SFDDActions spécifiques du Ministère qui appuient la cibleAppui à une cible des objectifs de développement durable des Nations UniesPoints de départ, cibles et mesures de rendement pour les actions spécifiques du MinistèreRésultats atteints
D’ici 2030, réduire les émissions totales de gaz à effet de serre du Canada de 30 % par rapport aux niveaux de 2005.Jouer un rôle de chef de file dans les accords et initiatives internationaux en matière de changements climatiques
  • Collaborer avec Environnement et Changement climatique Canada afin de jouer un rôle de leadership et de fournir des conseils stratégiques et juridiques en vue de soutenir la négociation et la mise en œuvre d’accords environnementaux internationaux et des initiatives sur le changement climatique, y compris la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et l’Accord de Paris.
13
  • Le niveau auquel des conseils juridiques de grande qualité et opportuns concernant les obligations juridiques internationales du Canada sont envisagés et intégrés aux positions du gouvernement du Canada sur le droit environnemental dans les forums internationaux.
Tout au long de l’année, Affaires mondiales Canada a donné des conseils juridiques de grande qualité en temps opportun, dans le cadre du droit international, pour éclairer l’élaboration des positions du Canada dans la négociation d’accords internationaux sur les changements climatiques. Affaires mondiales Canada a également dirigé ou appuyé activement ces négociations et a contribué à la mise en œuvre nationale des accords signés. Affaires mondiales Canada a, entre autres, assumé les rôles suivants :
  • À titre de conseiller juridique de la délégation canadienne aux réunions de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et de l’Accord de Paris, il a réussi à faire en sorte que les intérêts du Canada soient adéquatement pris en compte dans un large éventail de décisions des Parties.
  • Il a agi à titre de négociateur principal du mécanisme visant à faciliter la mise en œuvre de l’Accord de Paris et à en promouvoir le respect. Par conséquent, les priorités et les intérêts du Canada ont été défendus et ont continué d’être reflétés et préservés dans les progrès réalisés en vue de l’adoption du programme de travail de l’Accord de Paris en décembre 2018.
  • En tant que conseiller juridique de la délégation canadienne à la réunion du Protocole de Montréal relatif à des substances qui appauvrissent la couche d’ozone, il a appuyé activement l’entrée en vigueur prochaine et la mise en œuvre de l’amendement de Kigali visant à éliminer progressivement les hydrurofluorurocarbones, qui sont de puissants gaz à effet de serre.
  • Il a donné des conseils juridiques continus sur les aspects liés aux changements climatiques durant la négociation d’accords commerciaux internationaux afin d’assurer la cohérence juridique et de veiller à ce que les priorités et les intérêts du Canada soient bien défendus et préservés.
  • Il a donné des conseils juridiques continus sur un large éventail d’initiatives, de résolutions et de déclarations internationales sur diverses tribunes internationales, y compris l’Assemblée générale des Nations Unies, le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, l’Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture, le G7 et le G20.
  • Promouvoir un programme commercial progressif, qui comprend l’intégration de dispositions environnementales solides dans les accords commerciaux et qui appuient les exportations des technologies propres.
13
  • Le niveau d’intégration des dispositions environnementales dans les accords de libre-échange et d’autres aspects du programme commercial du Canada.
  • Le Canada cherche à négocier d’ambitieux chapitres à caractère exécutoire sur l’environnement dans ses accords de libre-échange, en s’engageant à maintenir des niveaux élevés de protection de l’environnement ainsi qu’à intégrer de nouveaux éléments progressistes, y compris des engagements détaillés sur des questions comme les changements climatiques. Le Canada a négocié avec succès les chapitres sur le commerce et l’environnement de l’Accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne et de l’Accord de Partenariat transpacifique global et progressiste. Le Canada a aussi participé aux groupes de travail de l’Organisation mondiale du commerce et de l’Organisation de coopération et de développement économiques sur le commerce et l’environnement.
  • Respecter la promesse du Canada de fournir une somme de 2,65 milliards de dollars au titre du financement pour le climat pour appuyer la transition des pays en développement vers une économie à faibles émissions de carbone et résiliente aux changements climatiques, conformément à la politique féministe d’aide internationale (PFAI) du Canada.
13
  • Le niveau auquel les accords avec les partenaires sont mis au point en vue de livrer et de mettre en œuvre le financement pour le climat de 2,65 milliards de dollars d’ici la fin de l’exercice 2020-2021 (point de départ : 838 700 700 $ versés en date du 1er juin 2017).
  • En date de juillet 2018, le Canada a mis au point des accords d’une valeur de 1,2 milliard de dollars pour livrer et mettre en œuvre le financement pour le climat de 2,65 milliards de dollars d’ici la fin de l’exercice 2020-2021.
  • Intégrer la durabilité environnementale au moyen de l’aide canadienne au développement, pour que les investissements internationaux canadiens n’entraînent pas d’effets environnementaux négatifs importants, conformément à la Loi canadienne sur l’évaluation environnementale et la Directive du Cabinet sur l’évaluation environnementale des projets de politiques, de plans et de programmes.
Contribue à tous les 13 ODD
  • Pourcentage des initiatives d’aide au développement d’Affaires mondiales Canada qui ont fait l’objet d’une analyse environnementale (point de départ : 100 %).
  • La totalité (100%) des initiatives d’aide au développement d’Affaires mondiales Canada a fait l’objet d’une analyse environnementale.

4. Rapport sur l’intégration du développement durable

Pendant le cycle d’établissement de rapports de 2017-2018, Affaires mondiales Canada a pris en considération les effets environnementaux de propositions assujetties à la Directive du Cabinet sur l’évaluation environnementale des projets de politiques, de plans et de programmes dans le cadre de ses processus décisionnels. Au cours du processus d’évaluation environnementale stratégique, on a constaté que toutes ces propositions ministérielles avaient des effets neutres à positifs sur la réalisation de progrès vers l’atteinte des objectifs et des cibles de la SFDD 2016-2019 et du Programme de développement durable à l'horizon 2030.

Des renseignements supplémentaires sur les résultats des évaluations environnementales stratégiques peuvent être consultés le site Web de la Stratégie ministérielle de développement durable et des Évaluations environnementales des négociations commerciales.

Détails sur les programmes de paiements de transfert de 5 millions de dollars ou plus

Agence internationale de l’énergie atomique

Nom du programme de paiements de transfert : Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 19 décembre 1989

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : Le versement de la quote-part annuelle du Canada pour son adhésion à l’AIEA est une obligation juridiquement contraignante pour tous les membres. Le paiement est effectué afin d’assurer que l’adhésion soit en règle ainsi que pour maintenir l’influence et la crédibilité dans un organisme international clé dont le Canada appuie les objectifs. L’AIEA, centre mondial pour la coopération dans le domaine nucléaire, s’emploie à promouvoir l’utilisation sûre, sécurisée et pacifique des technologies nucléaires, notamment en vérifiant que les États respectent leur engagement à n’utiliser l’énergie nucléaire qu’à des fins pacifiques. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :14 706 13914 475 11516 628 75216 628 75215 666 577-962 175
Total du programme :14 706 13914 475 11516 628 75216 628 75215 666 577-962 175

Commentaires sur les écarts : Le budget statutaire des organisations internationales est négocié, et le Canada est juridiquement tenu de respecter le résultat final de ces négociations. Les contributions à l’AIEA sont calculées en partie en euros et en partie en dollars américains. Par conséquent, les fluctuations monétaires régulières modifient la valeur de ces contributions exprimée en dollars canadiens et donnent lieu à des écarts entre les dépenses prévues et les dépenses réelles. Le Canada doit verser l’intégralité de ses quotes-parts et, selon les fluctuations monétaires, ce montant peut être supérieur ou inférieur aux montants prévus.

Audits achevés ou prévus : Le Bureau des services de contrôle interne de l’AIEA assume en continu des fonctions telles que l’audit interne, la surveillance et l’évaluation de programmes, les inspections, la consultation et les enquêtes. L’AIEA confie aussi à un auditeur externe le mandat d’auditer ses comptes. L’auditeur externe pour l’exercice 2018 de l’Agence est le Conseil de l’audit de l’Indonésie. Les représentants du Canada auprès de l’AIEA ont accès à tous les rapports financiers et d’audit produits par les divers organes de contrôle et présentés au Conseil des gouverneurs ou à la Conférence générale. Les représentants d’Affaires mondiales Canada peuvent examiner ces rapports et défendre les intérêts du Canada, au besoin.

Évaluations achevées ou prévues : Le Bureau des services de contrôle interne de l’AIEA évalue constamment les programmes et les projets de l’organisation. Des rapports d’évaluation annuels sont présentés au Conseil des gouverneurs en mai de chaque année.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : S.O.

Aide internationale au développement

Nom du programme de paiements de transfert : Aide internationale au développement

Date de mise en œuvre : 2001-2002

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Subventions et contributions

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2012-2013

Résultat stratégique : Aide internationale et réduction de la pauvreté - La pauvreté est réduite et la sécurité internationale et la démocratie sont accrues pour les gens vivant dans des pays où le Canada intervient.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 3.1 : Sécurité internationale et développement démocratique / Sous-programme 3.1.2 : Soutien à la démocratie, aux droits de la personne, à la liberté et à la primauté du droit

Programme 3.2 : Développement international / Sous-programme 3.2.1 : Croissance économique durable / Sous-programme 3.2.2 : Enfants et jeunes, y compris la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants / Sous-programme 3.2.3 : Sécurité alimentaire / Sous-programme 3.2.4 : Assistance multisectorielle, développement social et engagement au développement

Programme 3.3 : Assistance humanitaire internationale / Sous-programme 3.3.1 : Programmation humanitaire / Sous-programme 3.3.2 : Partenaires pour une aide humanitaire

Description : Les activités menées au titre de l’aide publique au développement (APD) contribuent à la réduction de la pauvreté, tiennent compte du point de vue des personnes pauvres, et respectent les normes internationales au chapitre des droits de la personne, aux termes de la Loi sur la responsabilité en matière d’aide au développement officielle (la Loi). L’APD peut également être fournie en vue d’alléger les effets d’une catastrophe naturelle ou d’origine humaine ou dans toute autre situation d’urgence survenant à l’extérieur du Canada. Affaires mondiales Canada est le ministère responsable de l’APD canadienne. La majorité des activités du Ministère en matière d’aide internationale répond aux exigences de la Loi. Cependant, le programme de paiements de transfert d’Affaires mondiales Canada n’empêche aucunement les activités qui débordent du cadre de la Loi. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints : En 2017-2018, Affaires mondiales Canada a continué d’appuyer la présence du Canada dans les pays en développement. Les projets de développement canadiens ont mis l’accent sur l’atteinte de résultats dans quatre sous-programmes thématiques : la croissance économique durable; les enfants et les jeunes, y compris la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants (SMNE); la sécurité alimentaire; l’assistance multisectorielle, le développement social et l’engagement au développement. En 2017-2018, l’aide humanitaire du Canada a visé à réduire les souffrances et à sauver des vies au sein des populations aux prises avec des crises humanitaires grâce au dialogue sur les politiques, à la défense des intérêts et aux programmes humanitaires, y compris le soutien institutionnel aux principaux partenaires humanitaires. Veuillez consulter le résultat stratégique 3 du Rapport sur les résultats ministériels pour obtenir des détails sur les programmes de développement international et les résultats liés au rendement d’Affaires mondiales Canada.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Programme :Sécurité internationale et développement démocratique
Subventions :65 683 54698 071 82488 590 81751 401 36151 401 361-37 189 456
Contributions : 71 953 65872 475 92342 197 32771 880 09671 880 09629 682 769
Total du programme :137 637 204170 547 747130 788 144123 281 457123 281 457-7 506 687
ProgrammeDéveloppement international
Subventions : 1 220 187 9951 022 664 7581 367 079 9461 167 378 5771 167 378 577-199 701 369
Contributions :871 321 9501 086 945 683654 319 7371 138 686 3471 126 186 147471 866 410
Total du programme :2 091 509 9452 109 610 4412 021 399 6832 306 064 9242 293 564 724272 165 041
Programme :Assistance humanitaire internationale
Subventions :677 494 004819 857 783698 685 2651 018 714 571863 824 571165 139 306
Contributions :17 129 30517 026 73320 082 71021 908 02721 908 0271 825 317
Total du programme :694 623 309836 884 516718 767 9751 040 622 598885 732 598166 964 623
Total des subventions :1 963 365 5451 940 594 3652 154 356 0282 237 494 5092 082 604 509-71 751 519
Total des contributions :960 404 9131 176 448 339716 599 7741 232 474 4701 219 974 270503 374 496
Total :2 923 770 4583 117 042 7042 870 955 8023 469 968 9793 302 578 779431 622 977

Commentaires sur les écarts :

3.1 Sécurité internationale et développement démocratique

Les dépenses réelles ont été de 7,5 millions de dollars de moins que les dépenses prévues. L’écart est attribuable  à un transfert de fonds dans le cadre des activités du programme d’aide au développement international destinées à  faire face à la crise en Iraq et en Syrie et à son incidence sur les régions.

3.2 Développement international

Les dépenses réelles ont dépassé de 272,2 millions de dollars les dépenses prévues. L’écart est essentiellement attribuable aux fonds reçus au titre du Budget supplémentaire des dépenses 2017-2018 pour aider les pays en développement à faire face aux conséquences des changements climatiques, appuyer le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, ainsi qu’aux fonds reçus pour l’enveloppe d’aide internationale en vue d’appuyer les priorités du Canada en matière d’aide internationale en lien avec la Politique d’aide internationale féministe (Budget 2017). Ces fonds ont été réduits grâce au transfert du Programme de sécurité internationale et de développement démocratique nécessaire au Programme des opérations de paix et de stabilisation.

3.3 Assistance humanitaire internationale

Les dépenses réelles ont dépassé d’environ 167 millions de dollars les dépenses prévues. L’écart est attribuable aux fonds reçus pour répondre aux besoins humanitaires accrus des personnes touchées par la crise des Rohingyas, les famines (Yémen, Nigéria, Soudan du Sud, Somalie et pays voisins) et la sécheresse au Sahel.

Audits achevés ou prévus :

Les audits suivants ont été réalisés au cours de l’exercice 2017-2018 :

Les audits suivants ont été réalisés au cours de l’exercice 2017-2018 et de l’exercice 2018-2019 (de juillet 2017 à juin 2018) :

Les audits suivants sont en cours de réalisation durant l’exercice 2018-2019 :

Évaluations achevées ou prévues :

Les évaluations suivantes ont été entreprises ou terminées au cours de l’exercice 2017-2018 :

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : Veuillez consulter le résultat stratégique 3 du Rapport sur les résultats ministériels de 2017-2018.

Cour pénale internationale

Nom du programme de paiements de transfert : Cour pénale internationale (CPI) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 1er avril 2005

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2017-2018

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : La CPI est le premier tribunal pénal international permanent établi par traité en vue de mettre fin à l’impunité dont jouissaient les auteurs des crimes les plus graves aux yeux de la communauté internationale. Les dépenses de la Cour sont principalement financées par les contributions des États parties. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :10 078 2339 944 74112 408 61612 408 61611 146 732-1 261 884
Total du programme :10 078 2339 944 74112 408 61612 408 61611 146 732-1 261 884

Commentaires sur les écarts : L’AEP approuve le budget annuel des programmes de la CPI en novembre de l’année précédente. Aux fins de planification financière, le Canada doit estimer le budget des programmes de la CPI bien avant son adoption. Des événements imprévus, tels que l’arrestation d’une personne visée par un mandat délivré depuis longtemps déjà, peuvent se traduire par d’importantes hausses du budget de la Cour. Par conséquent, il y a toujours un certain écart entre la contribution prévue et la quote-part. De plus, des fluctuations monétaires peuvent survenir.

Audits achevés ou prévus : S.O.

Évaluations achevées ou prévues : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : Le Canada participe activement aux travaux annuels de l’AEP de la CPI ainsi qu’à ceux du Comité du budget et des finances. L’ambassade du Canada aux Pays-Bas communique régulièrement avec les fonctionnaires de la Cour et, de concert avec la Mission permanente du Canada auprès des Nations Unies à New York, participe à des groupes de travail qui se penchent sur des questions de gouvernance et de finances qui concernent la Cour. Le Canada, avec les six autres plus grands contributeurs au budget de la CPI, continue de réclamer d’autres économies dans le budget.

Fonds canadien d’initiatives locales

Nom du programme de paiements de transfert : Fonds canadien d’initiatives locales (FCIL) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 1er avril 2012

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.1: Promotion des intérêts et diplomatie bilatérales et régionales

Description : Le Fonds canadien d’initiatives locales (FCIL) est un programme de contribution offert par l’entremise des ambassades et des hauts-commissariats du Canada qui appuie des projets de petite envergure ayant une grande incidence dans les pays en développement. Les objectifs du programme sont de contribuer à la réalisation des priorités thématiques du Canada en matière d’aide internationale, d’aider à défendre les valeurs et les intérêts du Canada ainsi que de renforcer les relations bilatérales du Canada avec les pays étrangers et leurs sociétés civiles. Le programme fournit également du financement à petite échelle à des organisations locales pour répondre aux catastrophes naturelles et aux urgences humanitaires.

Les priorités thématiques du FCIL sont approuvées annuellement par le Conseil de gestion du programme (CGP). En 2017-2018, les priorités thématiques s’alignaient avec les domaines d’action de la Politique d’aide internationale féministe du Canada.

Grâce à des ententes de contribution, le FCIL offre une aide financière, 24 000 $ en moyenne, afin de couvrir l’ensemble ou une partie du coût des projets qui sont en grande partie élaborés et conçus par les autorités, les institutions ou les organisations locales.

Résultats atteints : En 2017-18, le FCIL a financé 597 projets dans 126 pays et les territoires palestiniens. Au total, 14 752 196 dollars ont été versés aux partenaires d’exécution. Parmi ces partenaires, 79,2 % étaient des organisations locales, ce qui reflète l’objectif du FCIL de répondre aux besoins relevés à l’échelle locale.

Voici la répartition régionale des fonds.

[La répartition des données selon les régions et les priorités thématiques rend compte des sommes consignées dans la base de données du FCIL, et non des dépenses réelles. Un écart de 281 220 $ entre les sommes consignées et les dépenses réelles sera rectifié à mesure que les données finales des missions seront connues.]

En 2017-18, la FCIL a établi des programmes dans les priorités thématiques suivantes.

  1. Renforcer l’autonomie des femmes et des filles et promouvoir l’égalité des sexes : 217 projets d’une valeur de 5 278 734,97 $ (36,49 % des fonds du FCIL).
  2. Se faire le champion des droits de la personne, d’une gouvernance inclusive et responsable, de la démocratie, du pluralisme pacifique et du respect de la diversité : 188 projets d’une valeur de 4 431 225,85 $ (30,63 % des fonds du FCIL).
  3. Promouvoir l’action dans le domaine de l’environnement, y compris l’eau et le changement climatique : 69 projets 1 898 089,57 $ (13,12 % des fonds du FCIL).
  4. Promouvoir le développement humain, en particulier dans les domaines de la santé, de la nutrition et de l’éducation : 66 projets d’une valeur de 1 308 144,67 $ (9,04 % des fonds du FCIL).
  5. Soutenir une croissance économique inclusive et verte : 31 projets d’une valeur de 672 972,98 $ (4,19 % des fonds du FCIL).
  6. Promouvoir la paix et la sécurité : 11 projets d’une valeur de 306 276,13 $ (4,65 % des fonds du FCIL).

En plus des six domaines thématiques décrits ci-dessus, le FCIL a déboursé 572 056,37 $ pour soutenir 15 projets humanitaires dans le monde. En tant que fonds souple et à petite échelle, le FCIL a été en mesure d’appuyer les interventions locales lors de crises soudaines, y compris les ouragans dans la région des Caraïbes et les tremblements de terre au Mexique. Par l’entremise du FCIL, le Canada a également été le premier pays étranger à fournir un soutien humanitaire direct aux migrants vénézuéliens et aux demandeurs d’asile au Brésil.

D’une manière générale, les projets du FCIL se sont concentrés sur le renforcement des capacités, des connaissances et de la sensibilisation des bénéficiaires locaux par l’entremise d’ateliers, de séances de formation professionnelle et de campagnes de promotion des intérêts. D’autres projets comprenaient la construction d’infrastructures à petite échelle, la prestation de services de soutien psychosocial, la fourniture d’équipements pour soutenir les activités de déminage ou le développement économique des communautés locales, ainsi que la réalisation de recherches et la production de rapports sur des questions thématiques.

Conformément à l’accent mis par le Canada sur un programme international féministe et au lancement de la Politique d’aide internationale féministe en 2017, la majorité des programmes du FCIL était axée sur le thème de l’autonomisation des femmes et de l’égalité entre les sexes. Divers projets ont porté sur des questions telles que l’amélioration de la participation des femmes aux processus politiques, la lutte contre le mariage forcé des enfants et les mariages forcés précoces, et la sensibilisation aux droits en matière de santé sexuelle et reproductive.

Les projets liés au thème général des droits de l’homme, de la gouvernance, de la démocratie et du pluralisme représentaient le deuxième plus grand nombre de projets du FCIL en 2017-2018. Ces projets englobaient un large éventail d’activités, y compris : la formation des femmes et des jeunes à l’observation des processus électoraux, la promotion des changements législatifs pour lutter contre la corruption, la promotion des droits de la communauté LGBTQ par des campagnes de sensibilisation et le recensement des menaces à la liberté d’expression des journalistes.

Les gestionnaires de programme du FCIL, qui sont responsables de l’administration du programme dans 69 ambassades et hauts-commissariats du Canada à travers le monde, sont tout à fait d’accord pour dire que le FCIL a atteint ses objectifs en 2017-2018. Plus précisément, 92 % de ces gestionnaires étaient d’accord ou tout à fait d’accord pour dire que le programme a élargi l’accès aux principaux décideurs locaux et l’influence sur eux, facilitant ainsi la capacité du Canada d’accroître la sensibilisation et de promouvoir les valeurs et les intérêts du Canada. Un autre 92 % étaient d’accord ou tout à fait d’accord pour dire que les programmes du FCIL ont conduit à une action accrue des organisations locales pour mettre en œuvre des politiques et des pratiques qui s’attaquent aux problèmes de développement dans leur contexte local.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles  2015-2016Dépenses réelles  2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :13 859 61014 477 76434 100 00034 301 26514 752 196-19 347 804
Total du programme :13 859 61014 477 76434 100 00034 301 26514 752 196-19 347 804

Commentaires sur les écarts : Depuis 2012, le FCIL a le pouvoir de débourser jusqu’à 14,7 millions de dollars provenant des fonds du crédit 10 par exercice financier. Le FCIL a également reçu 260 000 $ en 2017-2018 dans le cadre du plan d’investissement de l’aide internationale pour soutenir l’augmentation du nombre de programmes au Haut-Commissariat du Canada en Australie et en Nouvelle-Zélande. De plus, les fonds du Mécanisme de décaissement rapide de fonds du compte de crises sont inclus dans les dépenses prévues du FCIL. L’écart entre les dépenses prévues et les dépenses réelles correspond surtout à la portion non utilisée des fonds provenant du Mécanisme de décaissement rapide de fonds du compte de crises (19,6 millions de dollars). L’écart restant (212 545 $) s’explique par les modifications apportées à certains projets du FCIL en fin d’exercice et les fluctuations monétaires. Dans l’ensemble, 98,6 % des fonds du FCIL ont été dépensés.

Audits achevés ou prévus : Le Bureau du dirigeant principal de la vérification a soumis le FCIL à un audit interne durant l’exercice 2015-2016

Évaluations achevées ou prévues : Aucune évaluation n’a été effectuée au cours de l’exercice 2017-2018. Une évaluation du FCIL portant sur les exercices 2012-2013 et 2013-2014 a été réalisée en 2015-2016. La prochaine évaluation du FCIL est prévue en 2020-2021.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : Le FCIL vise à répondre aux besoins locaux et à collaborer étroitement avec les bénéficiaires, dont bon nombre sont de petites organisations aux ressources modestes.

Les demandeurs sont sollicités par un processus d’appels de propositions, qui identifie clairement un employé chargé de répondre aux demandes de renseignements. De nombreux hauts-commissariats et ambassades du Canada tiennent des séances d’information à l’intention des demandeurs intéressés. Dès que les projets sont sélectionnés en vue d’un financement, les bénéficiaires et le personnel des missions entretiennent des rapports fréquents tout au long du processus de mise en œuvre et d’établissement de rapports. Le personnel des missions effectue des visites fréquentes sur les lieux des activités de projet. De plus, les bénéficiaires peuvent se voir offrir la possibilité de participer à des ateliers sur le partage de l’expérience en groupe ou à de la formation, y compris sur la communication de l’information financière et la tenue des dossiers.

Institutions financières internationales

Nom du programme de paiements de transfert : Institutions financières internationales (IFI) conformément à la Loi d’aide au développement international (institutions financières)

Date de mise en œuvre : S.O.

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Autre

Type de crédit : Autorisation législative (Paiements aux institutions financières internationales - paiements directs)

Exercice de mise en application des modalités : S.O.

Résultat stratégique : Aide internationale et réduction de la pauvreté - La pauvreté est réduite et la sécurité internationale et la démocratie sont accrues pour les gens vivant dans des pays où le Canada intervient.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 3.1 : Sécurité internationale et développement démocratique / Sous-programme 3.1.2 : Soutien à la démocratie, aux droits de la personne, à la liberté et à la primauté du droit

Programme 3.2 : Développement international / Sous-programme 3.2.1 : Croissance économique durable / Sous-programme 3.2.2 : Enfants et jeunes, y compris la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants / Sous-programme 3.2.3 : Sécurité alimentaire / Sous-programme 3.2.4 : Assistance multisectorielle, développement social et engagement au développement

Programme 3.3 : Assistance humanitaire internationale / Sous-programme 3.3.1 : Programmation humanitaire / Sous-programme 3.3.2 : Partenaires pour une assistance humanitaire

Description : Les institutions financières internationales comme les banques régionales de développement (y compris la Banque africaine de développement, la Banque asiatique de développement, la Banque de développement des Caraïbes et la Banque interaméricaine de développement) accordent des prêts et des subventions pour financer les besoins à long terme en matière de développement des pays en développement membres. Les paiements aux IFI sont effectués conformément aux alinéas 3a) et 3c) et à l’article 12 de la Loi d’aide au développement international (institutions financières). Cela inclut les paiements directs versés à des institutions afin de permettre aux IFI d’octroyer un financement à des conditions de faveur afin de venir en aide aux pays en développement les plus pauvres et d’acheter des actions de ces institutions pour financer des prêts aux conditions du marché. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints : Les banques multilatérales de développement jouent un rôle important en faisant avancer la croissance économique durable et en combattant la pauvreté. Ainsi, en 2017, les contributions de base du Canada aux banques régionales de développement ont aidé à la construction ou à la réfection de 7 100 km de routes en Asie et dans le Pacifique, ce qui a eu pour effet d’améliorer la mobilité et la connectivité de millions de personnes dans les pays en développement membres de la région. La contribution du Canada à la Banque asiatique de développement a également permis de brancher 2 683 000 ménages au réseau électrique, de fournir des services d’approvisionnement en eau potable, nouveaux ou améliorés, à 205 000 foyers, ainsi que de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans la région de 4 100 000 tonnes d’équivalent en dioxyde de carbone par année.

La contribution de base du Canada à la Banque africaine de développement (BAfD) a contribué à améliorer l’accès à l’électricité de 51 % de la population en Afrique. Un accès nouveau ou amélioré aux services d’approvisionnement en eau potable et d’assainissement a été fourni à 8,3 millions de personnes, et 500 000 personnes, surtout des femmes, ont profité d’un meilleur accès à l’éducation. Les interventions de la BAfD en agriculture ont profité à 8,5 millions de personnes, dont 4,1 millions de femmes, et la superficie de terres où la gestion de l’eau a été améliorée a également augmenté.

Grâce aux contributions de base à la Banque de développement des Caraïbes, 108 000 personnes ont bénéficié d’une amélioration des voies de transport, qui sont maintenant plus sûres et plus rapides, grâce à la construction ou à la réfection de 59 km de routes. Les investissements en éducation et en formation ont permis la construction de 243 salles de classes supplémentaires, ce qui a profité à 24 000 élèves. Au même moment, des projets d’approvisionnement d’eau ont permis à 16 000 foyers d’avoir accès à de meilleurs services d’approvisionnement en eau potable et d’assainissement.

Grâce aux contributions du Canada à la Banque interaméricaine de développement, 3,9 millions de tonnes annuels d’émissions de dioxyde de carbone devraient être évitées en raison des programmes et projets approuvés en 2017, notamment l'installation de 2 600 mégawatts de capacité de production d'électricité (100% renouvelable) dans la région.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Programme : Sécurité internationale et développement démocratique
Total des autres paiements de transfert :227 55500000
Total du programme :227 55500000
Programme :Développement international
Total des autres paiements de transfert :285 143 675240 772 641227 048 000232 251 950232 251 9505 203 950
Total du programme :285 143 675240 772 641227 048 000232 251 950232 251 9505 203 950
Programme :Assistance humanitaire internationale
Total des autres paiements de transfert :2 168 72500000
Total du programme :2 168 72500000
Total des autres paiements de transfert :287 539 955240 772 641227 048 000232 251 950232 251 9505 203 950

Commentaires sur les écarts : L’écart peut s’expliquer par une augmentation de 5 % en cours d’exercice des paiements versés à la Banque africaine de développement, ce qui n’avait pas été prévu au début de l’exercice.

Audits achevés ou prévus : Les banques régionales de développement (BRD) mènent régulièrement des audits de leurs programmes, dont les résultats sont communiqués à Affaires mondiales Canada en qualité d’intervenant et de membre de l’organe directeur de ces institutions.

Évaluations achevées ou prévues : Toutes les IFI disposent d’unités d’évaluation indépendantes qui réalisent des évaluations systématiques des projets et des programmes, dont les résultats sont publiés sur leur site Web. Des évaluations externes effectuées par le Réseau d’évaluation du rendement des organisations multilatérales (MOPAN) ont eu lieu durant la période allant jusqu’au milieu de l’année 2017 pour la Banque asiatique de développement.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : Les bénéficiaires des programmes des BRD sont surtout les gouvernements des pays en développement, qui doivent demander de faire partie du programme. Les BRD travaillent en étroite collaboration avec les gouvernements pour veiller à ce que leurs programmes correspondent aux priorités de chaque gouvernement en matière de développement et que les bénéficiaires des projets soient consultés au moment de concevoir les projets. Tous les BRD disposent de politiques de protection environnementale et sociale afin de réduire et d’atténuer les conséquences négatives des projets pour l’environnement et la société.

Organisation de coopération et de développement économiques

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 20 mars 1975

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert :  Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012 (modifié)

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : La mission de l’OCDE consiste à promouvoir des politiques qui permettront d’améliorer le bien-être économique et social des gens partout dans le monde. L’OCDE travaille avec les gouvernements pour comprendre ce qui est à la source des changements économiques, sociaux et environnementaux, mesure la productivité et les flux commerciaux et les investissements dans le monde, analyse et compare des données afin de prévoir les tendances futures et fixe des normes internationales dans un large éventail de domaines, allant de l’agriculture à la sécurité des produits chimiques en passant par la fiscalité.

Les activités de planification, de budgétisation et de gestion de l’OCDE sont toutes organisées selon une approche axée sur les extrants. Le Secrétariat assure le suivi des extrants, dont la qualité et l’incidence sont évalués par les pays membres et publiés dans le Rapport d’exécution du programme (REP). Les évaluations des pays membres contenues dans le REP sont ensuite examinées plus en profondeur par les délégués nationaux qui siègent aux comités de l’OCDE et par le Secrétariat, dans le but d’améliorer le rendement et d’établir des priorités dans le programme de travail biennal ultérieur. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :14 503 00813 970 17214 568 99114 747 48614 747 486178 495
Total du programme :14 503 00813 970 17214 568 99114 747 48614 747 486178 495

Commentaires sur les écarts : Les montants prévus se fondent sur la quote-part de l’année antérieure, auxquels est ajouté un petit montant correspondant au taux d’inflation en France (le siège de l’OCDE se trouve à Paris), et ils sont calculés en euros. La part du budget de l’OCDE qu’assume le Canada change chaque année, puisqu’elle est calculée au moyen d’une formule qui tient compte de la moyenne sur trois ans du PIB et des statistiques démographiques. Les écarts sont également attribuables aux variations du taux de change avec l’euro, ainsi qu’au fait que la fin de l’exercice ne correspond pas à la date limite du versement de la quote-part.

Audits achevés ou prévus : Des auditeurs externes effectuent des audits financiers chaque année, et les rapports produits sont examinés par les membres, par le biais du Comité d’audit, du Comité du budget et du Conseil. Des auditeurs internes et externes effectuent des audits de rendement chaque année; les rapports produits sont examinés par le Comité d’audit avant d’être remis aux membres. Des sommaires peuvent être consultés sur le site Web de l’OCDE. Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Audit interne et évaluation de l’OCDE.

Évaluations achevées ou prévues : L’évaluation en profondeur des comités de l’OCDE est effectuée tous les ans, selon un cycle de cinq ans, par des évaluateurs internes, et les rapports produits sont examinés par les membres, par le truchement du Comité d’évaluation et du Comité exécutif. Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Audit interne et évaluation de l’OCDE.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : S.O.

Opérations de maintien de la paix des Nations Unies

Nom du programme de paiements de transfert : Opérations de maintien de la paix des Nations Unies (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : Le Canada est membre de l’ONU depuis sa fondation en 1945.

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités :  2011-2012

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : Les opérations de maintien de la paix des Nations Unies aident les pays déchirés par des conflits à créer les conditions nécessaires au maintien de la paix. En plus de veiller au maintien de la paix et de la sécurité, les Casques bleus sont de plus en plus souvent chargés de fournir de l’aide dans le contexte du processus politique, de la réforme des systèmes judiciaires, de la formation des organismes d’application des lois et des forces de police, du désarmement et de la réintégration d’anciens combattants, et du retour de personnes déplacées à l’intérieur du pays ainsi que des réfugiés. La quote-part que le Canada doit verser en sa qualité de membre pour les opérations de maintien de la paix des Nations Unies est une obligation juridiquement contraignante. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :323 932 304259 066 333289 915 299301 315 299248 147 108-41 768 191
Total du programme :323 932 304259 066 333289 915 299301 315 299248 147 108-41 768 191

Commentaires sur les écarts : Le budget statutaire des opérations de maintien de la paix de l’ONU est négocié par la Cinquième Commission de l’ONU, et les États membres, y compris le Canada, sont juridiquement tenus de respecter le résultat final de ces négociations. La création de nouvelles missions et des situations de crise imprévues peuvent modifier considérablement les budgets. Les fluctuations monétaires entrent aussi en jeu.

Audits achevés ou prévus : L’audit effectué par le Comité des commissaires aux comptes des Nations Unies a porté, entre autres, sur le siège de l’ONU, 15 missions sur le terrain en cours, 31 missions terminées et les six comptes à des fins spéciales, soit le Fonds de réserve pour le maintien de la paix, le Compte de soutien des opérations de maintien de la paix, la Base de soutien logistique des Nations Unies à Brindisi, en Italie, ce qui comprend le Centre mondial de services, le fonds de recouvrement des coûts du maintien de la paix et le Fonds d’avantages sociaux des employés. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le Rapport du Comité des commissaires aux comptes des Nations Unies.

Évaluations achevées ou prévues : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : S.O.

Organisation des États américains

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation des États américains (OEA) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 31 mai 1990

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert :  Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités :  2011-2012

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : L’OEA a été créée afin d’instaurer la paix et la justice parmi les États membres, de promouvoir leur solidarité, de renforcer leur collaboration et de défendre leur souveraineté, leur intégrité territoriale et leur indépendance. L’OEA compte 35 États membres des Amériques et constitue la principale tribune intergouvernementale à vocation politique, juridique et sociale dans l’hémisphère. En outre, l’OEA a accordé le statut d’observateur permanent à 69 États, ainsi qu’à l’Union européenne. Elle poursuit ses objectifs en adoptant une approche reposant sur les quatre piliers suivants : la démocratie, les droits de la personne, la sécurité et le développement. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Les modalités de ce programme de paiements de transfert ne précisent pas les mesures et les indicateurs de rendement à utiliser. Le Bureau de l’inspecteur général et le Comité des auditeurs externes de l’OEA surveillent les opérations financières ainsi que les activités organisationnelles et administratives de l’OEA afin d’assurer le respect des politiques, des règles et des pratiques établies par le Secrétariat général. Les rapports sont produits et approuvés annuellement.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :11 959 82211 535 39811 852 03911 852 03910 138 174-1 713 865
Total du programme :11 959 82211 535 39811 852 03911 852 03910 138 174-1 713 865

Commentaires sur les écarts : L’écart s’explique par l’évaluation des quotes-parts des fonds réguliers du Canada pour l’année et le taux de change du dollar américain au moment de leur versement. La quote-part des fonds réguliers du Canada s’est établie à 9,801 % du budget courant de l’OEA pour les années civiles 2017 et 2018.

Audits achevés ou prévus : S.O.

Évaluations achevées ou prévues : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : Le Canada maintient une mission permanente auprès de l’OEA, dirigée par un ambassadeur et représentant permanent à l’OEA, à Washington.

Organisation des Nations Unies

Nom du programme de paiements de transfert :  Organisation des Nations Unies (ONU) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : Le Canada est membre de l’ONU depuis sa fondation en 1945.

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités :  2011-2012

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation :  Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : Le versement d’une quote-part par le Canada au budget ordinaire des Nations Unies est une obligation juridiquement contraignante pour tous les membres. Par son adhésion, le gouvernement du Canada entend faire progresser les objectifs de sa politique étrangère en ce qui concerne la paix, la sécurité et le développement à l’échelle mondiale et faire en sorte que le Canada puisse faire connaître ses points de vue au sein de la communauté internationale. Les quotes-parts sont utilisées pour financer les programmes de l’Organisation qui aident à atteindre les objectifs de l’ONU, tels qu’énoncés dans sa charte. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Le programme et le budget des Nations Unies, qui précisent les objectifs stratégiques et les résultats prévus des travaux de l’Organisation, sont approuvés tous les deux ans à l’Assemblée générale de l’ONU. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Web des Nations Unies.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :107 815 896100 964 605123 405 594122 937 02591 383 841-32 021 753
Total du programme :107 815 896100 964 605123 405 594122 937 02591 383 841-32 021 753

Commentaires sur les écarts : Le budget statutaire des organisations internationales est négocié et les États membres, y compris le Canada, sont juridiquement tenus de respecter le résultat final de ces négociations. Les fluctuations monétaires entrent aussi en jeu.

Audits achevés ou prévus : Le Comité des commissaires aux comptes des Nations Unies (CCCNU) a été établi en 1946. Pendant plus de 70 ans, les chefs des institutions supérieures de contrôle des États membres de l’ONU ont fourni des services d’audit professionnels et de qualité. Actuellement, les membres du CCCNU sont l’Allemagne, l’Inde et la Tanzanie. Pour obtenir plus d’information à cet égard, veuillez consulter les rapports du Comité des commissaires aux comptes de l’ONU.

Évaluations achevées ou prévues : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : S.O.

Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture

Nom du programme de paiements de transfert :  Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 1945

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution 

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : Le versement de la quote-part annuelle du Canada pour son adhésion à la FAO est une obligation juridiquement contraignante pour tous les membres. L’adhésion du gouvernement du Canada vise la poursuite de ses objectifs de politique étrangère en lien avec le développement agricole. Elle vise aussi à lui permettre de se faire entendre au sein de la communauté internationale. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Pour obtenir d’autres détails, veuillez consulter le dernier Rapport sur l’exécution du Programme de la FAO disponible, qui informe les États membres du travail réalisé et des résultats obtenus par l’organisation durant l’exercice biennal 2016-2017.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :19 022 92218 686 62219 379 79619 379 79618 462 600-917 196
Total du programme :19 022 92218 686 62219 379 79619 379 79618 462 600-917 196

Commentaires sur les écarts : Les budgets statutaires des organisations internationales sont négociés et les États membres, y compris le Canada, sont juridiquement tenus de respecter le résultat final de ces négociations. Les fluctuations monétaires entrent aussi en jeu.

Audits achevés ou prévus : La FAO fait appel à un auditeur externe et produit régulièrement des états financiers audités.

Évaluations achevées ou prévues : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : S.O.

Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : Le Canada est membre de l’UNESCO depuis sa fondation en 1945.

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : Le versement de la quote-part annuelle du Canada pour son adhésion à l’UNESCO est une obligation juridiquement contraignante pour tous les membres. L’adhésion du gouvernement du Canada vise la poursuite de ses objectifs de politique étrangère en lien avec la culture, la science et l’éducation. Elle lui permet aussi de se faire entendre au sein de la communauté internationale. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Le programme et le budget de l’UNESCO, qui précisent les objectifs stratégiques et les résultats prévus des travaux de celle-ci, sont approuvés tous les deux ans à la Conférence générale de l’UNESCO. Pour obtenir de plus amples renseignements à ce sujet, veuillez consulter le site Web de l’UNESCO.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :13 182 41211 591 06113 344 41713 344 41712 272 274-1 072 143
Total du programme :13 182 41211 591 06113 344 41713 344 41712 272 274-1 072 143

Commentaires sur les écarts : Le budget statutaire des organisations internationales est négocié et les États membres, y compris le Canada, sont juridiquement tenus de respecter le résultat final de ces négociations. Les fluctuations monétaires entrent aussi en jeu.

Audits achevés ou prévus : L’UNESCO fait appel à un auditeur externe et produit régulièrement des états financiers audités. Pour de plus amples renseignements, consultez les rapports d’audit et d’évaluation de l’UNESCO.

Évaluations achevées ou prévues : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : S.O.

Organisation du Traité de l’Atlantique Nord

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN) - Administration Civile (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 1er janvier 1989

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses 

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.2 : Sommets et promotion des intérêts et diplomatie multilatérales / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : La quote-part annuelle du Canada à l’Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) est une obligation découlant de son adhésion à celle-ci en vertu du Traité de l’Atlantique Nord de 1949. Cette contribution au budget administratif de l’OTAN lui permet de poursuivre ses objectifs de politique étrangère, d’autant que l’OTAN est une organisation internationale cruciale pour les intérêts canadiens en matière de sécurité internationale. L’OTAN a été conçue pour promouvoir la stabilité dans la région de l’Atlantique Nord, ainsi que pour veiller à la liberté et à la sécurité de la population de cette région par des moyens politiques et militaires, en s’appuyant sur les principes de la démocratie, de la liberté individuelle et de la primauté du droit. Les comptes de l’OTAN font l’objet de vérifications annuelles par le Collège international des commissaires aux comptes (CICC) de l’OTAN. Depuis le 1er septembre 2014, et dans le cadre d’une contribution nationale volontaire, le Canada a un représentant au CICC, pour un mandat de quatre ans. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :36 637 47924 914 55825 156 12725 615 62225 615 622459 495
Total du programme :36 637 47924 914 55825 156 12725 615 62225 615 622459 495

Commentaires sur les écarts : La fluctuation des taux de change continue d’avoir une forte incidence sur les dépenses réelles par rapport aux dépenses prévues. Les dépenses réelles de 2017-2018 ont été plus élevées que prévu en raison des changements dans le budget civil de l'OTAN.

Audits achevés ou prévus : Audits achevés en 2017-2018 : Les éléments suivants sont financés en tout ou en partie par le budget civil de l’OTAN et ont été achevés durant l’année fiscale 2017-2018.

Audits financiers et de conformité :

Les éléments suivants sont financés en tout ou en partie par le budget civil de l’OTAN et sont ‘’en cours’’ durant l’année fiscale 2017-2018.

Audits financiers et de conformité :

Évaluations achevées ou prévues : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : S.O.

Organisation internationale de la Francophonie

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation internationale de la Francophonie (OIF) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 9 mars 1972

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : Le versement d’une quote-part par le Canada au budget ordinaire de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) est une obligation juridiquement contraignante pour tous les membres. Le but de l’adhésion du Canada est de promouvoir les valeurs canadiennes (p. ex. diversité culturelle et linguistique, démocratie, respect des droits de l’homme, égalité entre les sexes et bonne gouvernance) ainsi que les intérêts canadiens; de faire progresser les objectifs de politique étrangère du gouvernement du Canada ayant trait à la paix, à la sécurité, au développement et à la prospérité dans le monde; et de resserrer les liens parmi les 84 États et gouvernements qui font partie de la Francophonie. L’OIF n’est pas tenu de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert. 

Résultats atteints : Plus grand respect des valeurs et des principes de la Francophonie – L’OIF a poursuivi la mise en œuvre de sa programmation quadriennale qui comporte 26 programmes et qui vise à soutenir ses quatre grandes missions (Mission A – Promouvoir la langue française et la diversité culturelle et linguistique; Mission B – Promouvoir la paix, la démocratie et les droits de l’homme; Mission C – Appuyer l’éducation, la formation, l’enseignement supérieur et la recherche; Mission D – Développer la coopération au service du développement durable). Par exemple, dans le cadre de son programme « Formation et insertion professionnelles des jeunes », l’OIF estime avoir aidé directement et indirectement plus de 150 000 jeunes francophones, notamment grâce à l’effet multiplicateur de la formation des enseignants dans les domaines de l’approche par les compétences et de la gestion axée sur les résultats.

Depuis 2015, dans le cadre de son soutien à la gouvernance démocratique, l’OIF a effectué plus d’une quarantaine de missions d’évaluation, d’audit, d’appui à la consolidation des fichiers électoraux (p. ex. : Bénin, Burkina Faso, Mali, Madagascar, Niger, Guinée, Haïti, République centrafricaine, République démocratique du Congo). Du 11 au 15 décembre 2017, l’OIF a dépêché une mission d’évaluation électorale à Niamey, au Niger, dans l'objectif d'évaluer les attentes et besoins des organes de gestion des élections. Plus spécifiquement, il s'agissait d’identifier les domaines dans lesquels la Francophonie pourrait intensifier son appui au renforcement de la démocratie et de l’État de droit dans ce pays.

Gouvernance mondiale plus efficiente, plus efficace et plus équitable – Par la mise en œuvre de son programme « Négociations et décisions internationales sur l’économie, l’environnement et le développement durable », l’OIF contribue à améliorer le multilatéralisme, la gouvernance mondiale et le multilinguisme, notamment dans le cadre des processus de négociations internationales sur le développement durable, l’économie et l’environnement. Dans son Compte rendu annuel d’exécution de la programmation, l’OIF indique qu’entre le 1er juillet 2016 et le 30 juin 2017, ce programme a permis à 1 881 personnes, dont plusieurs fonctionnaires de pays en développement membres de la Francophonie, d’améliorer leur connaissance et leur maîtrise des outils en matière de négociations et de décisions internationales sur l’économie, l’environnement et le développement durable.

Meilleure intégration et plus grande valorisation des femmes et des jeunes dans les processus liés aux politiques et au développement – En novembre 2017, l’OIF et la Roumanie ont coorganisé la Conférence des femmes de la Francophonie. Cet événement a attiré 700 participants de toute la Francophonie et portait sur la promotion de l’égalité des genres et l’autonomisation économique des femmes. La Conférence a été l’occasion de lancer le Réseau francophone des femmes entrepreneures (REFEF), qui vise à créer un espace d’échange, d’interaction et d’information pour les femmes entrepreneures. Il s’agissait là d’une étape importante dans la mise en œuvre de la « Stratégie de la Francophonie pour la promotion de l’égalité entre les femmes et les hommes, des droits et de l’autonomisation des femmes et des filles », qui sera adoptée lors du Sommet d’Erevan en octobre 2018.

Croissance économique plus inclusive et développement durable – Sur les 26 programmes de l’OIF, quatre visent à renforcer l’accès des filles et des garçons à une éducation et à une formation de qualité en vue de leur insertion professionnelle et citoyenne. Par exemple, entre juillet 2016 et juin 2017, dans le cadre de son programme « Initiative francophone pour la formation à distance des maîtres », l’OIF a aidé à renforcer les capacités de plus de 18 400 enseignants et tuteurs. La mise en œuvre de cette initiative conjointe de l’OIF et de l’Agence universitaire de la Francophonie se poursuit actuellement dans 11 pays (c.-à-d. Haïti, Comores, Burkina Faso, Liban, Mali, Niger, Côte d’Ivoire, Sénégal, Tchad, Togo et République démocratique du Congo).

Dans le cadre du programme « Promotion de l’emploi par l’entrepreneuriat chez les femmes et les jeunes en Afrique subsaharienne francophone » – auquel le Canada a versé une contribution exceptionnelle de 10 $M pour 2015-2018 –, l’OIF collabore avec une quarantaine d’incubateurs d’entreprises dans 13 pays d’Afrique subsaharienne francophone (c.-à-d. Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée, Madagascar, Mali, Niger, République centrafricaine, République démocratique du Congo, Sénégal et Togo). L’objectif consiste à renforcer les capacités entrepreneuriales des femmes et des jeunes dans ces pays. Selon l’information communiquée par l’OIF, entre le 1er juillet 2016 et le 30 juin 2017, le programme a permis d’accompagner et de sensibiliser à l’entrepreneuriat 11 500 femmes et jeunes porteurs de projets et entrepreneurs. Il a aussi aidé les pays concernés à mettre en place un cadre institutionnel, juridique et financier propice à la création et/ou au développement d’entreprises par les femmes et les jeunes.

Poursuite des programmes et des activités de coopération entreprises par l’organisation, telle que mesurée en fonction des critères et des indicateurs de rendement pour le suivi et la production des rapports, établis en vertu des modalités approuvées – L’OIF intègre dans l’ensemble de sa programmation la gestion axée sur les résultats. Dans son Compte rendu annuel de la programmation 2015-2018, l’OIF présente les résultats obtenus par chaque programme. Pour celle, elle utilise jusqu’à cinq indicateurs permettant de mesurer l’impact des programmes en fonction de leurs objectifs.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles  2015-2016Dépenses réelles  2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :15 742 90116 813 96315 044 53215 278 12115 278 121233 589
Total du programme :15 742 90116 813 96315 044 53215 278 12115 278 121233 589

Commentaires sur les écarts : Les dépenses prévues en 2017-2018 correspondent en partie au montant anticipé qui devait être versé à l’OIF en 2017 et en partie au montant à verser en 2018. Les dépenses réelles représentent les paiements effectués en 2017-2018, soit la seconde moitié du paiement législatif destiné à l’OIF pour 2017 et la première moitié du paiement législatif à verser à l’OIF pour 2017. Un autre facteur qui explique l’écart entre les dépenses prévues et les dépenses réelles est la différence dans le taux de change entre le moment où le montant prévu en euros a été calculé en dollars canadiens et le moment où les paiements ont effectivement été effectués. De plus, entre 2015 et 2018, la quote-part a augmenté augmentera de 1,5 % chaque année.

Audits achevés ou prévus : Aucun audit n’a été effectué ou n’est prévu à Affaires mondiales Canada en 2017-2018. L’OIF a un auditeur externe qui présente les rapports d’audit chaque année. Le rapport portant sur l’année 2017 a été publié. En 2014-2015, le Canada a aidé l’OIF à renforcer la fonction d’audit interne.

Évaluations achevées ou prévues : Le rapport final de l’évaluation de la participation du Canada à l’OIF entre 2009 et 2015 a été présenté au Comité de la mesure du rendement et de l’évaluation. Son statut actuel est complet, mais n’a pas encore été approuvé. Cette évaluation est conforme à la Politique sur l’évaluation (2009) du Conseil du Trésor et à la Loi sur la gestion des finances publiques.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : Chaque année, l’Administrateur de l’OIF soumet aux membres de celle-ci un examen de l’Organisation et de ses activités de programme. Les réalisations de 2017-2018 faites dans le contexte des programmes seront présentées à l’automne de 2018, dans le cadre du rapport annuel que fait l’OIF sur les progrès de ses programmes pour la période allant de 2015 à 2018.

Organisation internationale du travail

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation internationale du travail (OIT) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : Le Canada est membre de l’OIT depuis sa fondation en 1919.

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : Le versement d’une quote-part annuelle par le Canada à l’OIT, un organisme spécialisé des Nations Unies, est une obligation juridiquement contraignante pour tous les membres. Par son adhésion, le gouvernement du Canada désire faire progresser les objectifs de sa politique étrangère en ce qui concerne les enjeux internationaux liés au travail et à la politique sociale, de même que se faire entendre au sein de la communauté internationale. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Pour de plus amples renseignements sur la planification, la production de rapports et les résultats de l’OIT, veuillez consulter la page Programme et budget et celle relative au cadre de mesure du rendement (en anglais) sur le site Web de l’OIT.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :14 827 27714 835 87715 618 79815 618 79814 398 848-1 219 950
Total du programme :14 827 27714 835 87715 618 79815 618 79814 398 848-1 219 950

Commentaires sur les écarts : Le budget statutaire des organisations internationales est négocié, et les États membres, y compris le Canada, sont juridiquement tenus de respecter le résultat final de ces négociations. Les fluctuations monétaires entrent aussi en jeu.

Audits achevés ou prévus : L’OIT fait appel à un auditeur externe et produit régulièrement des états financiers audités.

Évaluations achevées ou prévues : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : S.O.

Organisation mondiale de la santé

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation mondiale de la santé (OMS) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : Le Canada est membre de l’OMS depuis sa fondation en 1948.

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : Le versement de la quote-part annuelle du Canada pour son adhésion à l’OMS est une obligation juridiquement contraignante pour tous les membres. L’adhésion vise la poursuite des objectifs de politique étrangère du gouvernement du Canada en lien avec la santé. Elle vise aussi à lui permettre de se faire entendre au sein de la communauté internationale. Pour obtenir plus de renseignements, veuillez consulter le site Web de l’OMS. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Le budget de programme de l’OMS, qui précise les objectifs stratégiques et les résultats prévus des travaux de celle-ci, est approuvé tous les deux ans à l’Assemblée mondiale de la santé. Pour obtenir de plus amples renseignements sur les résultats et les plans, veuillez consulter le site Web de l’OMS.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :17 853 72317 917 99719 678 19719 678 19717 930 314-1 747 883
Total du programme :17 853 72317 917 99719 678 19719 678 19717 930 314-1 747 883

Commentaires sur les écarts : Le budget statutaire des organisations internationales est négocié et les États membres, y compris le Canada, sont juridiquement tenus de respecter le résultat final de ces négociations. Les fluctuations monétaires entrent aussi en jeu.

Audits achevés ou prévus : L’OMS fait appel à un auditeur externe et produit régulièrement des états financiers (en anglais) audités.

Évaluations achevées ou prévues : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : S.O.

Organisation mondiale du commerce

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation mondiale du commerce (OMC) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 1er janvier 1995

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2009-2010

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : L’OMC est une pierre angulaire de la politique commerciale du Canada. Elle fournit un ensemble de règles communes, détermine des droits et des obligations pour les politiques commerciales de ses 164 membres et représente une tribune où le Canada peut promouvoir ses intérêts commerciaux de la façon la plus globale. L’OMC offre au Canada l’occasion d’établir des alliances, d’exercer une influence sur les règles et d’obtenir des concessions sur certains enjeux sur lesquels il aurait autrement moins d’emprise. Divers enjeux, dont les subventions à l’agriculture et différentes questions réglementaires (p. ex. mesures sanitaires et phytosanitaires et obstacles techniques au commerce), sont réglés plus efficacement dans un cadre multilatéral. L’OMC dispose également d’un mécanisme de règlement des différends robuste que le Canada utilise régulièrement et qui prend de plus en plus d’importance dans le contexte des tensions commerciales qui prévalent dans le monde actuellement. Grâce aux efforts soutenus de ses nombreux comités, l’OMC offre au Canada une tribune lui permettant de soulever et de régler une vaste gamme d’irritants commerciaux et d’enjeux relatifs à l’accès au marché. Enfin, l’OMC est aussi une tribune active pour la surveillance et le contrôle des politiques commerciales.

Le programme de Doha pour le développement (PDD), nom donné aux dernières séries de négociations de l’OMC, a été mis en œuvre en 2001. Les négociations sont au point mort depuis 2008, les membres de l’OMC divergeant d’opinion sur la question de savoir si les mandats du PDD restent un cadre pertinent et viable en vue de poursuivre les négociations multilatérales. Le Canada reste néanmoins déterminé à trouver des moyens d’aller de l’avant sur les questions en suspens du cycle de Doha, y compris les disciplines relatives au soutien fourni aux producteurs agricoles nationaux et le suivi de l’orientation ministérielle donnée lors de la 11e Conférence ministérielle de l’OMC en décembre 2017 visant à s’engager de manière constructive dans des négociations sur les subventions à la pêche et à adopter un accord sur les disciplines régissant ces subventions d’ici la 12e Conférence ministérielle de l’OMC.

Les négociations multilatérales étant au point mort, le Canada travaille avec ses partenaires aux vues similaires dans un cadre plurilatéral pour faire avancer les discussions sur les enjeux propres au XXIe siècle auxquels sont confrontés les pays et les intervenants, y compris le commerce électronique, l’intégration des micro, petites et moyennes entreprises dans le commerce international et le renforcement du pouvoir économique des femmes.

Résultats atteints :

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions : 7 198 8676 547 3327 251 7877 251 7876 417 507-834 280
Total du programme :7 198 8676 547 3327 251 7877 251 7876 417 507-834 280

Commentaires sur les écarts : La contribution du Canada au budget de l’OMC est fondée sur sa part du commerce international et elle est calculée et payée en francs suisses. Les dépenses prévues étaient fondées sur l’information disponible à l’époque. Les dépenses réelles représentent le montant exact de la contribution qui a été calculé à la fin de 2017 et converti en dollars canadiens au moment où le paiement a été fait. L’écart s’explique par la fluctuation du taux de change entre la période où l’estimation a été préparée et le paiement a été effectué.

Audits achevés ou prévus : Chaque année civile, l’OMC fait l’objet d’un audit effectué par des auditeurs externes. En sa qualité de membre de l’OMC, le Canada a accès à tous les audits, à toutes les évaluations et à tous les examens de rendement menés par ou pour le compte de l’OMC. Dans son rapport d’audit sur le rendement publié le 15 juin 2018, l’auditeur externe a attesté que les états financiers de l’OMC reflétaient fidèlement la position financière de l’OMC au 31 décembre 2017, et a rendu une opinion sans réserve sur ces états financiers.

Évaluations achevées ou prévues : Les auditeurs externes de l’OMC effectuent un audit opérationnel de l’organisation, qui est fondé sur les normes établies par l’Organisation internationale des institutions supérieures de contrôle des finances publiques. L’audit opérationnel de 2017 a été publié le 15 juin 2018.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : S.O.

Organisation panaméricaine de la santé

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation panaméricaine de la santé (OPS) (financement de programme approuvé par un vote du Parlement)

Date de mise en œuvre : Juillet 2008

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2013-2014

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : Objectif - Respecter l’obligation du Canada, à titre d’État membre de l’OPS, d’apporter une aide financière à l’organisation afin que celle-ci puisse poursuivre son travail dans le domaine de la santé publique dans les Amériques. Le programme permet au Canada de protéger la santé des Canadiens en poussant plus avant ses priorités en matière de politique étrangère et de santé à l’échelle régionale et mondiale et en contribuant à la sécurité des Amériques.

Méthodes d’intervention -  En tant que membre de l’OPS, le Canada peut : 1) protéger la santé des Canadiens; 2) mettre de l’avant les priorités du Canada en matière de santé grâce à une gestion rapide et efficace des urgences sanitaires et des flambées de maladies dans les Amériques; 3) collaborer à la production de lignes directrices et à l’échange de renseignements sur la santé et la santé publique; 4) contribuer au renforcement des capacités dans les Amériques de façon à assurer le maintien des normes internationales grâce à des analyses comparatives des politiques et à l’échange de pratiques exemplaires.

Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre du présent programme de paiements de transfert.

Résultats atteints : A permis de protéger la santé des Canadiens en contribuant à la sécurité de la région des Amériques;

A rehaussé l’influence et les intérêts du Canada au sein des Amériques à l’égard des politiques, de la bonne gouvernance, de la transparence et de la responsabilisation;

A diffusé les valeurs canadiennes relatives à la santé ainsi que les réussites liées à des politiques clés, comme le système universel de soins de santé.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :013 781 62713 392 76613 392 76612 399 672-993 094
Total du programme :013 781 62713 392 76613 392 76612 399 672-993 094

Commentaires sur les écarts : La quote-part annuelle du Canada à l’OPS est calculée en dollars américains et versée en dollars canadiens. Les écarts entre les dépenses prévues et les dépenses réelles sont liés aux taux de conversion entre les dollars américain et canadien.

Audits achevés ou prévus : S.O.

Évaluations achevées ou prévues : Dernière évaluation achevée : 2013-2014

Prochaine évaluation prévue : 2018-2019

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : En tant que membre de l’OPS, le Canada siège au Conseil directeur à titre de membre votant, influant ainsi sur l’orientation du travail de l’OPS et sur l’utilisation de ses budgets.

Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 1er janvier 1993

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution 

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2017-2018

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : Le versement de la quote-part annuelle du Canada à l’OSCE est une obligation découlant de son adhésion à l’Organisation, laquelle est la plus grande organisation de sécurité régionale du monde et compte 57 États participants d’Amérique du Nord, d’Europe et d’Eurasie. La contribution du Canada lui permet de faire progresser les objectifs de sa politique étrangère en ce qui a trait aux droits de la personne, aux libertés fondamentales, à la démocratisation, aux États fragiles, à la prévention des conflits, à la gestion de crises, à la médiation, au développement après-conflit et au contrôle des armes. Pour ce faire, il finance les activités de l’OSCE, les rencontres du Conseil permanent et les groupes de travail, de même que les congrès d’orientation et les ateliers d’experts, la médiation sur le terrain, la promotion sociale et les programmes de renforcement des capacités que mettent en œuvre le secrétariat de l’OSCE, les institutions autonomes et les missions sur le terrain.

La contribution du Canada à l’OSCE comprend également des versements effectués afin d’administrer et de mettre en place deux régimes juridiquement contraignants de contrôle des armes classiques auxquels le Canada est partie − le Traité « Ciel ouvert » (pour lequel le Canada est codépositaire, au même titre que la Hongrie) et le Traité sur les forces armées conventionnelles en Europe ainsi que le Document de Vienne qui est politiquement contraignant. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :17 792 56320 289 81317 691 75518 312 76318 312 763621 008
Total du programme :17 792 56320 289 81317 691 75518 312 76318 312 763621 008

Commentaires sur les écarts : Le budget de l’OSCE est évalué en euros par année civile. L’écart de 621 008 $ est attribuable : 1) aux contributions versées en 2018 pour l’achat de véhicules aériens sans pilote à long rayon d’action pour la Mission d’observation spéciale en Ukraine, lequel n’était pas prévu lors des exercices de planification budgétaire du gouvernement du Canada pour 2017-2018; 2) aux variations importantes du taux de change entre le dollar canadien et l’euro.

Audits achevés ou prévus : Les comptes de l’OSCE font l’objet d’un rapport annuel d’auditeurs externes, ainsi que d’un rapport annuel de suivi interne; tous deux sont mis à la disposition des États participants. Un comité d’audit indépendant fournit également une autre évaluation en surveillant le travail des auditeurs internes et externes. Le rapport financier et les états financiers de l’OSCE de l’année civile 2017, tels qu’ils ont été examinés par l’auditeur externe, pourront être consultés sur le site Web de l’OSCE lorsqu’ils seront terminés.

Évaluations achevées ou prévues : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : S.O.

Programme d’aide au renforcement des capacités antiterroristes

Nom du programme de paiements de transfert : Programme d’aide au renforcement des capacités antiterroristes (PARCA) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : Septembre 2005

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Subvention et contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012 (modifié); 2015-2016 (modifié)

Résultat stratégique : Aide internationale et réduction de la pauvreté - La pauvreté est réduite et la sécurité internationale et la démocratie sont accrues pour les gens vivant dans des pays où le Canada intervient.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 3.1 : Sécurité internationale et développement démocratique / Sous-programme 3.1.1 : Sécurité internationale et réduction des menaces

Description : Le PARCA offre la formation, le matériel, l’infrastructure et l’aide technique nécessaires pour renforcer la capacité des États bénéficiaires, des entités gouvernementales et des organisations internationales clés à prévenir les menaces liées aux activités terroristes et à y répondre.

Résultats atteints :

Le PARCA a atteint les résultats escomptés, comme le démontrent les éléments suivants :

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des subventions :8 642 7067 920 57913 970 0008 642 1238 642 123-5 327 877
Total des contributions :16 700 52240 158 0708 222 56527 077 57127 077 57118 855 006
Total du programme :25 343 22848 078 64922 192 56535 719 69435 719 69413 527 129

Commentaires sur les écarts : Le PARCA a été en mesure de réaffecter les fonds à l’interne à l’appui des priorités. De plus, le programme a accepté des fonds additionnels pour appuyer la stratégie pangouvernementale de lutte contre Daech, y compris les projets du ministère de la Défense nationale au Moyen-Orient. Par conséquent, les dépenses réelles du PARCA ont été plus élevées que prévu.

Audits achevés ou prévus : Le PARCA participe au processus d’audit des bénéficiaires du Ministère pour les programmes de subventions et contributions, pour lequel on adopte une approche axée sur le risque qui vise l’audit des bénéficiaires sélectionnés.

Évaluations achevées ou prévues : Le PARCA a fait l’objet d’une évaluation sommative en 2014-2015, dont les résultats ont été approuvés en 2015-2016 et ont été publiés en mai 2016. Les plans d’action de la direction sont actuellement mis en œuvre pour donner suite aux recommandations du rapport.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : Le PARCA exécute des programmes par l’intermédiaire de ministères et d’organismes du gouvernement du Canada, ainsi que de certains gouvernements étrangers et de certaines institutions multilatérales, organisations non gouvernementales et entités privées.

Programme de soutien aux marchés mondiaux

Nom du programme de paiements de transfert : Programme de soutien aux marchés mondiaux (PSMM) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 11 décembre 2008

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2008-2009 (mis à jour en 2013-2014 pour intégrer le Programme de marketing pour les zones franches [PM-ZF], et en 2015-2016 pour intégrer le programme CanExport)

Résultat stratégique : Services de commerce international et consulaires destinés aux Canadiens - Les Canadiens sont satisfaits des services commerciaux et consulaires.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 2.1 : Commerce international / Sous-programme 2.1.1 : Développement du commerce international par la promotion des exportations et du commerce au Canada et à l’étranger / Sous-programme 2.1.2 : Investissement étranger direct au Canada / Sous-programme 2.1.3 : Innovation, science, et technologie internationale

Description :

Le PSMM regroupe en un seul mécanisme cadre d’anciens programmes, une initiative de cinq ans portant sur les zones franches et une autre initiative de cinq ans visant les exportations et les échanges commerciaux, soit :

Ce programme vise à renforcer les capacités canadiennes et à les rendre plus efficaces afin de pouvoir livrer concurrence à l’échelle mondiale. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus au titre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints : Dans l’ensemble, les résultats obtenus grâce aux activités financées par le PSMM aident à renforcer la capacité canadienne de livrer concurrence dans l’économie mondiale, comme en témoignent les réponses fournies à un questionnaire et selon lesquelles 82 % des collectivités estiment être mieux en mesure de servir les investisseurs potentiels, 84 % des associations constatent la présence d’un plus grand nombre d’entreprises canadiennes dans les échanges mondiaux en raison des projets financés et 63 % des associations estiment que les projets financés ont entraîné des ventes ou des contrats à l’étranger. Par ailleurs, les réponses au questionnaire ont révélé une collaboration suivie en recherche et développement (R-D) avec des partenaires étrangers, la génération continue d’investissements directs venant de l’étranger et la création ou le maintien d’emplois.

Les rapports finaux du programme CanExport pour les projets terminés en 2017-2018 montrent qu’au moment de l’achèvement de leur projet et en conséquence directe de ce dernier, plus de 56 % des bénéficiaires avaient atteint un résultat intermédiaire, tandis qu’environ 30 % avaient déjà pu réaliser eux-mêmes des ventes à l’exportation sur un nouveau marché (pour un total initial de près de 60 millions de dollars à ce jour, parmi les bénéficiaires qui avaient soumis leur rapport final au cours de l’exercice 2017-2018).

Les bénéficiaires du programme Visée mondiale en innovation (VMI) dont les projets ont été approuvés ou achevés en 2017-2018 ont déclaré avoir rencontré au total 800 contacts à l’étranger, ce qui a donné lieu à 69 ententes de partenariat en R-D d’une valeur de plus de 23,7 millions de dollars.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :6 256 12715 761 91217 955 85518 600 85516 292 328-1 663 527
Total du programme :6 256 12715 761 91217 955 85518 600 85516 292 328-1 663 527

Commentaires sur les écarts : Les projets financés par les piliers du PSMM sont accordés sur la base d’estimations; dans certains cas, les dépenses réelles ont été inférieures. En 2017-2018, les dépenses réelles ont aussi inclus des paiements devant être faits en fin d’année, si bien que les dépenses totales pour 2017-2018 pourraient être inférieures aux dépenses indiquées dans le tableau ci-dessus.

Audits achevés ou prévus : L’audit 2017-2018 du programme CanExport a été achevé.

Évaluations achevées ou prévues : Une évaluation a été menée en février 2015. Elle a conclu que tous les sous-programmes du PSMM produisent des résultats contribuant à la croissance économique et à la prospérité du Canada, qui peuvent se calculer en millions de dollars, ce qui excède de loin les coûts du programme. Il convient de noter que les nouveaux piliers PM-ZF et CanExport ne font pas partie de l’évaluation et que VMI était inactif au moment de l’évaluation.

PM-ZF a mis fin à ses activités à la fin de l’exercice 2017-2018.
Une évaluation sommative pour CanExport est prévue en 2018-2019.
Une évaluation formative pour l’ensemble du PSMM est prévue en 2019-2020.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : Le PSMM remet un questionnaire annuel aux bénéficiaires, qui peuvent ainsi fournir leurs commentaires directement aux responsables du programme. Bien que le questionnaire ne porte pas sur CanExport, des rapports finaux et des instantanés annuels sont soumis par les bénéficiaires du programme CanExport afin de faire part de leurs commentaires et de données sur les résultats qu’ils ont obtenus dans le cadre de leurs projets respectifs. Le PSMM cherche également à obtenir les commentaires des demandeurs et des bénéficiaires dans le cadre d’activités de sensibilisation proactive et de communications continues sur l’exécution du programme.

Programme de réduction des menaces liées aux armes

Nom du programme de paiements de transfert : Programme de réduction des menaces liées aux armes (autrefois Programme de partenariat mondial)

Date de mise en œuvre : 1er avril 2018 

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Subvention et contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2018-2019 (modifié)

Résultat stratégique : Aide internationale et réduction de la pauvreté - La pauvreté est réduite et la sécurité internationale et la démocratie sont accrues pour les gens vivant dans des pays où le Canada intervient.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 3.1 : Sécurité internationale et développement démocratique / Sous-programme 3.1.1 : Sécurité internationale et réduction des menaces

Description : Le Programme de réduction des menaces liées aux armes (PRMA), établi en 2002, fait partie d’une série de programmes complémentaires de sécurité et de stabilisation à Affaires mondiales Canada. Le Programme vise à prévenir, détecter et répondre à une gamme de menaces posées par les armes et les matières de destruction massive, notamment en sécurisant et en détruisant les matières chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires dangereuses (CBRN); en protégeant et/ou en améliorant les infrastructures physiques vulnérables; en renforçant les réseaux mondiaux et en soutenant les initiatives internationales telles que le processus du Sommet sur la sécurité nucléaire et le Programme mondial de sécurité sanitaire; et en renforçant la capacité des partenaires à respecter les obligations internationales énoncées dans la résolution 1540 du Conseil de sécurité des Nations Unies contre la prolifération des armes de destruction massive.

Le PRMA compte cinq domaines prioritaires :

  1. la sécurité nucléaire/radiologique;
  2. la sécurité biologique;
  3. les armes chimiques;
  4. la mise en œuvre de la résolution 1540 du Conseil de sécurité des Nations Unies;
  5. une nouvelle capacité d’aide financière aux traités internationaux dans le domaine des armes conventionnelles, y compris les mines terrestres, les armes à sous-munitions et les armes légères et de petit calibre. Depuis 2002, le PRMA a versé plus de 1,3 milliards de dollars pour des projets de réduction de la menace des armes. En 2018, le PRMA a été renouvelé de façon continue avec des niveaux de financement continus conformes à ceux du mandat précédent (environ 73,4 millions de dollars par année).

Résultats atteints :

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des subventions :18 286 08314 870 27820 550 00017 453 41017 072 053-3 477 947
Total des contributions :29 968 95846 361 34142 940 00047 552 69347 552 6934 612 693
Total du programme :48 255 04161 231 61963 490 00065 006 10364 624 7461 134 746

Commentaires sur les écarts : Le PRMA a transféré environ 1,2 millions de dollars à d’autres divisions de programmes de sécurité qui connaissaient des déficits de financement afin qu’elles puissent s’acquitter de leur mandat spécifique.

Audits achevés ou prévus : Le PRMA participe au processus de vérification des bénéficiaires du Ministère pour les programmes de subventions et contributions, lequel processus adopte une approche axée sur le risque qui vise la vérification des bénéficiaires sélectionnés.

EntreprisesPériode visée par la vérificationMontant vérifiéOrganisationsStatut
Consortium mondial pour le traitement des pathogènes émergentsDu 3 mars 2016 au 30 septembre 2016263 178 $Welch LLPTerminé
The Royal United Services InstituteDu 14 mars 2016 au 31 mars 2017294 630 $Welch LLPTerminé
Consortium mondial pour le traitement des pathogènes émergentsDu 1er juillet 2016 au 30 septembre 2016129 821 $Welch LLPTerminé
U.S. Civilian Research and Development Foundation (Fondation américaine pour la recherche et le développement)__________________Samson & AssociésLa vérification était prévue, mais n’a pas été terminée.
U.S. Civilian Research and Development Foundation (Fondation américaine pour la recherche et le développement)Du 31 octobre 2016 au 15 mars 2018691 525 $ USWelch LLPEn cours de vérification; achèvement prévu d’ici décembre 2018.

Évaluations achevées ou prévues : Le PRMA a fait l’objet d’une évaluation formative au cours de l’exercice 2014-2015, pour laquelle un rapport a été approuvé au cours de l’exercice 2015-2016 et une évaluation sommative au cours de l’exercice 2017-2018. Les résultats de la première ont été publiés en 2016 et ceux de la seconde en 2018. Les évaluations ont révélé que le programme devait continuer à faire face aux menaces importantes que représente la prolifération des armes de destruction massive dans les domaines de la sécurité CBRN, ainsi que la nécessité d’une planification à plus long terme et d’une meilleure communication des résultats. On donne suite à ces recommandations.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : Le PRMA a un dialogue continu avec les membres du Partenariat mondial, qui sont maintenant au nombre de 31, contre la prolifération des armes de destruction massive et des matières connexes pour cerner les besoins mondiaux. En tant que président actuel, le PRMA mène des activités de jumelage entre d’éventuels donateurs et des bénéficiaires. Le PRMA entretient également le dialogue avec les institutions multilatérales pertinentes (p. ex. Agence internationale de l’énergie atomique, Organisation mondiale de la santé, Organisation pour l’interdiction des armes chimiques, INTERPOL, ONU), pour trouver des partenaires potentiels et nouer le dialogue avec eux. En outre, le PRMA utilise le réseau mondial de missions du gouvernement du Canada pour définir des initiatives possibles et entreprend également des missions ciblées de sensibilisation et d’évaluation dans les pays cernés dans le cadre de son exercice régulier d’examen des priorités. Le PRMA s’engage également avec les autres ministères dans la mise en œuvre de projets selon les besoins, que ce soit en tant qu’expert technique ou en tant que réalisateur de projet.

Programme pour la stabilisation et les opérations de paix

Nom du programme de paiements de transfert : Programme pour la stabilisation et les opérations de paix (PSOP) (financement de programme approuvé par un vote du Parlement)

Date de mise en œuvre : 2016

Date d’échéance : Autorisation et financement permanents en matière de politiques. Renouvellement des autorisations de financement au-delà du 31 mars 2019, sous réserve de l’approbation du Conseil du Trésor.

Type de paiement de transfert : Subvention et contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2017-2018 

Résultat stratégique : Aide internationale et réduction de la pauvreté - La pauvreté est réduite et la sécurité internationale et la démocratie sont accrues pour les gens vivant dans des pays où le Canada intervient.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 3.1 : Sécurité internationale et développement démocratique / Sous-programme 3.1.1 : Sécurité internationale et réduction des menaces.

Description : Le Programme pour la stabilisation et les opérations de paix est la principale plateforme utilisée par le gouvernement du Canada pour la prévention de situations de conflit, la stabilisation et la consolidation de la paix. Il intervient dans les États affectés par des conflits, en mobilisant des ressources et en créant des partenariats avec des institutions multilatérales et des pays aux vues similaires. Le Programme mène ses travaux par le biais d’une expertise politique, d’un appui aux institutions multilatérales, de la programmation et de déploiements. Jusqu’au printemps 2018, le PSOP comportait trois axes de travail :

  1. assurer un leadership stratégique et la défense des droits en vue de contribuer à faire entendre la voix du Canada et ainsi influencer et façonner le dialogue et l’action collective à l’égard des conflits et de la fragilité des États et dans les domaines d’intérêt du Canada, entre les alliés et les partenaires, en particulier à l’ONU;
  2. assurer une coordination pangouvernementale efficace et une cohérence politique afin d’optimiser les répercussions des réponses canadiennes en veillant à la mise en œuvre rapide des mesures d’intervention à l’échelle du gouvernement en cas de conflits et de crise et pour s’assurer que celles-ci se renforcent mutuellement en réaction à des crises politiques complexes et à des catastrophes naturelles à l’étranger;
  3. offrir une aide visible et concrète en réaction à des conflits et à des crises à l’étranger par des programmes ciblés, le déploiement de policiers canadiens (en partenariat avec Sécurité publique Canada et la Gendarmerie Royale du Canada) et de personnel civil, et soutenir directement l’ONU et les opérations de paix multilatérales, la prévention des conflits, la médiation et les activités de consolidation de la paix. À partir du printemps 2018, la responsabilité pour la coordination pangouvernementale des catastrophes naturelles a été transférée à la Direction d’assistance humanitaire internationale d’Affaires mondiales Canada. En vue de ce changement structurel, l’exercice 2017-2018 représente la dernière année pour laquelle le PSOP fournit un rapport sur les résultats relatifs à la coordination des catastrophes naturelles.

Résultats atteints :

En 2017-2018, le PSOP, en coopération avec ses nombreux partenaires, ont fait la promotion de l’état de droit, l’accès à la justice ainsi que des institutions publiques plus transparentes et responsables qui soutiennent la paix et des systèmes de sécurité efficaces dans les États fragiles et touchés par des conflits, y compris l’Afghanistan, la Colombie, Haïti, l’Irak, la Jordanie, le Liban, le Mali et la région du Sahel, le Myanmar, la Syrie et l’Ukraine. Le Plan d’action national du Canada consacré aux femmes, à la paix et à la sécurité (2017-2022) place les femmes et les filles au centre des efforts de prévention et de résolution des conflits, car l’autonomisation des femmes et des filles est l’une des approches les plus efficaces pour le Canada pour réduire la pauvreté et bâtir un monde plus inclusif, plus pacifique et plus prospère. De plus, l’Initiative Elsie sur les femmes dans les opérations de paix a été lancée lors de la Réunion des ministres de la Défense sur le maintien de la paix de 2017 qui a eu lieu à Vancouver. Il s’agit d’un projet pilote novateur qui vise à catalyser le changement transformationnel en augmentant la participation significative des femmes aux opérations de paix des Nations Unies dans des fonctions de militaires et de policiers en uniforme. 

Améliorer la prévention des conflits et des crises ainsi que la stabilisation et le rétablissement des par les bénéficiaires dans les États où le Canada est présent.

Améliorer les interventions du gouvernement du Canada à l’égard des conflits, des crises et des catastrophes naturelles dans les États où le Canada est présent.

Pour l’exercice 2017-2018, on ne dispose pas de données propres au PSOP sur les indicateurs relatifs à une action collective renforcée par les partenaires dans les domaines prioritaires du Canada, en lien avec les conflits et les catastrophes naturelles. Toutefois, le PSOP contribue aux résultats obtenus dans le cadre du Programme 1.2, qui sont reflétés dans le Rapport sur les résultats ministériels de 2017-2018.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des subventions :44 581 736133 985 518140 000 000142 733 211142 733 2112 733 211
Total des contributions :58 161 62640 638 72143 800 000110 171 517110 127 78766 327 787
Total du programme :102 743 362174 624 239183 800 000252 904 728252 860 99869 060 998

Commentaires sur les écarts : Le PSOP a planifié et distribué le montant alloué aux paiements de transfert. Les écarts dans les dépenses sont en grande partie attribuables aux engagements du gouvernement au-delà du financement actuel du Programme, comme les engagements à l’égard de la Stratégie au Moyen-Orient d’Affaires mondiales Canada et l’appui aux forces de défense et de sécurité nationales afghanes.

Audits achevés ou prévus : Le PSOP était dispensé d’une vérification au cours de l’exercice 2017-2018.

Évaluations achevées ou prévues : Aucune évaluation n’a été effectuée au cours de l’exercice 2017-2018. Conformément au plan d’évaluation quinquennal à évolution continue, une évaluation du PSOP sera effectuée en 2020-2021.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : En 2017, le PSOP a reçu 86 demandes initiales de projets et approuvé 63 nouvelles initiatives.

Les agents de projet du PSOP ont effectué 38 missions d’évaluation, de surveillance et de contrôle en Irak, en Ukraine, en Haïti, au Myanmar, au Mali, en Colombie, aux Philippines, au Soudan du Sud, pour n’en nommer que quelques-unes. L’objectif de ces missions était de rencontrer les organisations nationales et internationales et les responsables gouvernementaux concernés afin de discuter des projets potentiels et de surveiller le rendement des projets en cours.

Les missions comprenaient des consultations avec des organisations multilatérales, des responsables gouvernementaux et des acteurs de la société civile. Sur ces 38 missions, 34 (89 %) comprenaient des réunions avec des groupes de femmes et, si possible, des ministères chargés de la condition féminine.

Cinq missions d’évaluation, de surveillance et de contrôle ont été menées spécifiquement à l’appui de l’Arrangement sur la police civile au Canada et comprenaient des réunions avec des organisations nationales et internationales pertinentes et des représentants du gouvernement, y compris des groupes de femmes. Ces missions ont porté sur des pays comme l’Ukraine et l’Irak, ainsi que sur le siège de l’ONU à New York, avec des réunions avec ONU Femmes et la Division de police de l’ONU.

Programme visant à renforcer les capacités de lutte contre la criminalité

Nom du programme de paiements de transfert : Programme visant à renforcer les capacités de lutte contre la criminalité (PRCLC) (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 9 décembre 2009

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Subvention et contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-12 (modifié); 2015-2016 (modifié)

Résultat stratégique : Aide internationale et réduction de la pauvreté - La pauvreté est réduite et la sécurité internationale et la démocratie sont accrues pour les gens vivant dans des pays où le Canada intervient.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 3.1 : Sécurité internationale et développement démocratique / Sous-programme 3.1.1 : Sécurité internationale et réduction des menaces

Description : Le PRCLC vise à fournir une aide pour renforcer la capacité des principaux États bénéficiaires, des entités gouvernementales et des organisations internationales à prévenir les menaces que constituent les activités criminelles internationales, et à y réagir, et ce, dans le cadre d’un mandat mondial mais surtout axé sur les Amériques. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre du présent programme de paiements de transfert.

Résultats atteints : Le PRCLC a atteint les résultats escomptés, comme le démontrent les éléments suivants :

Le Programme de renforcement des capacités de lutte contre la criminalité (PRCLC) du Canada a fourni, avec l’Organisation des États américains, environ 3 millions de dollars en aide au renforcement des capacités pour répondre aux menaces à la sécurité régionale dans les Amériques, y compris le commerce des drogues illicites, ainsi que pour aider à renforcer les installations portuaires maritimes.

Le PRCLC finance des initiatives avec la GRC afin de fournir une formation et des connaissances spécialisées à certains pays des Caraïbes sur les techniques d’enquête spéciales pour lutter contre le trafic illicite et le blanchiment d’argent. Le programme appuie également plusieurs initiatives avec l’OEA qui visent à améliorer l’efficacité des enquêtes sur les stupéfiants et l’application de la loi pour les infractions liées à la drogue.

Le Canada appuie un projet avec le Centre régional des Nations Unies pour la paix, le désarmement et le développement en Amérique latine et dans les Caraïbes visant à renforcer les capacités nationales et régionales de certains pays des Caraïbes pour lutter contre le trafic illicite d’armes à feu.

Le Canada a financé le Programme de renforcement des capacités d’INTERPOL en matière de cybercriminalité en Amérique latine et dans les Caraïbes afin de renforcer les capacités en matière de lutte contre la cybercriminalité dans certains pays. Sur les 62 participants formés, 22 étaient des femmes et 95 % des participants ont déclaré utiliser dans leur travail quotidien les compétences en matière d’enquête sur la cybercriminalité acquises dans le cadre de leur formation et 91 % des pays ont déclaré que le projet a joué un rôle utile pour déterminer les principales lacunes législatives dans leur pays lorsqu’il s’agit de lutte contre la cybercriminalité.

Le Canada a également financé le Programme de contrôle des conteneurs de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime, qui améliore la capacité des agents des douanes et des services de police en Amérique latine et dans les Caraïbes à lutter contre le crime organisé et à perturber la circulation des marchandises illicites, y compris les drogues. Le projet a élaboré une stratégie visant à accroître la participation des agentes de sexe féminin et a inclus des modules sur la dimension hommes-femmes dans son programme de formation, portant sur des sujets tels que les stéréotypes, la discrimination, le sexisme et le harcèlement sexuel. Des saisies de cocaïne ont été effectuées dans plusieurs ports de l’Équateur (15 387 kg), du Brésil (12 081 kg), du Panama (8 051 kg), du Suriname (2 145 kg), du Guatemala (1 927 kg), de la République dominicaine (807 kg), du Salvador (208 kg) et de la Jamaïque (152 kg).

Enfin, la construction du Centre de tactique spéciale des Caraïbes, situé en Jamaïque et financé par le PRCLC, s’inscrit dans le cadre de la collaboration actuelle du Canada avec la Force de défense de la Jamaïque, alors que cette dernière commence à former d’autres partenaires des Caraïbes afin de promouvoir la sécurité régionale.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des subventions :7 683 3239 356 4309 500 0005 081 3384 929 666-4 570 334
Total des contributions :6 682 9407 735 0847 092 62511 085 59511 085 5953 992 970
Total du programme :14 366 26317 091 51416 592 62516 166 93316 015 261-577 364

Commentaires sur les écarts : L’ACCBP a pu programmer plus de 96 % de son financement pour l’année. Le reste a été libéré et réaffecté au sein du Bureau pour appuyer les priorités ministérielles.

Audits achevés ou prévus : Le PRCLC participe au processus d’audit des bénéficiaires du Ministère pour les programmes de subventions et contributions, lequel processus adopte une approche axée sur le risque qui vise la vérification des bénéficiaires sélectionnés.

Aucune vérification n’a été réalisée en 2017-2018.

Évaluations achevées ou prévues : Le PRCLC a fait l’objet d’une évaluation sommative en 2014-2015, dont les résultats ont été approuvés en 2015-2016 et publiés en mai 2016. Les plans d’action de la direction de la Division sont actuellement mis en œuvre pour donner suite aux recommandations du rapport.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : L’exécution des activités du programme se fait par le biais de ministères et d’organismes du gouvernement du Canada, de certaines institutions multilatérales, de certains gouvernements étrangers et de certaines organisations non gouvernementales et entités privées.

Projets et activités de développement découlant des sommets de la Francophonie

Nom du programme de paiements de transfert : Projets et activités de développement découlant des sommets de la Francophonie  (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 9 mars 1979

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : Ce programme fournit du financement aux programmes de coopération et aux activités que mène l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Il fournit également un soutien financier au gouvernement du Nouveau-Brunswick afin de favoriser sa participation aux sommets, aux conférences ministérielles et aux autres activités connexes de la Francophonie. Ce programme contribue à promouvoir les intérêts canadiens et est conforme aux objectifs politiques et économiques fixés par le Canada en ce qui concerne la Francophonie.

Résultats atteints :

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :8 300 0007 829 9498 000 0008 202 5008 202 500202 500
Total du programme :8 300 0007 829 9498 000 0008 202 5008 202 500202 500

Commentaires sur les écarts : Depuis l’exercice 2012-2013, ce programme fournit un financement volontaire de 7,5 millions de dollars à l’OIF et à ses institutions, ainsi qu’une aide financière de 0,8 million de dollars au gouvernement du Nouveau-Brunswick, soit un total de 8,3 millions de dollars. Puisque le financement de ce programme est fixé à 8 millions de dollars, ce dernier reçoit chaque année 0,3 million de dollars en fonds supplémentaires provenant d’autres fonds d’Affaires mondiales Canada, comme l’illustrent la colonne « Dépenses réelles » pour 2015-2016. 

En 2017-2018, ce financement supplémentaire de 0,3 million de dollars n’a pas été nécessaire puisque l’OIF et ses institutions n’ont reçu qu’une partie de leur financement (7 402 500 dollars sur la contribution volontaire du Canada prévue à 7,5 millions de dollars). La contribution volontaire reçue par l’OIF et ses institutions se fonde sur leur taux de mise en œuvre au cours de l’exercice. Dans ces circonstances, les dépenses réelles pour 2017-2018 étaient de 8 202 000 dollars au lieu de 8,3 millions de dollars.

Audits achevés ou prévus : Aucun audit n’a été effectué ni était prévu à Affaires mondiales Canada en 2017-2018. L’OIF a un auditeur externe qui présente les rapports d’audit chaque année. Le rapport portant sur l’année 2017 a été publié. En 2014-2015, le Canada a aidé l’OIF à renforcer la fonction d’audit interne.

Évaluations achevées ou prévues  : Le rapport final de l’évaluation de la participation du Canada à l’OIF entre 2009 et 2015 a été présenté au Comité de mesure du rendement et d’évaluation. Son état actuel est complet, mais n’a pas encore été approuvé. Cette évaluation est conforme à la Politique sur l’évaluation (2009) du Conseil du Trésor et à la Loi sur la gestion des finances publiques.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : Chaque année, l’Administrateur de l’OIF soumet aux membres de celle-ci un examen de l’Organisation et de ses activités de programme. Les réalisations de 2017-2018 faites dans le contexte des programmes seront présentées à l’automne de 2018, dans le cadre du compte rendu d’exécution de la programmation 2018 de l’OIF. Les membres de l’OIF ont accès au compte rendu d’exécution de la programmation 2017.

Secrétariat du Commonwealth

Nom du programme de paiements de transfert : Secrétariat du Commonwealth (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 28 septembre 1965

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution 

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2006-2007

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.2 : Sommets et promotion des intérêts et diplomatie multilatérales / Sous-programme 1.2.3 : Contributions obligatoires à des organisations internationales

Description : Le versement d’une quote-part par le Canada au budget ordinaire du Commonwealth est une obligation juridiquement contraignante pour tous les membres. L’adhésion du Canada vise la poursuite des objectifs de politique étrangère du gouvernement du Canada au chapitre de la paix, de la sécurité et du développement à l’échelle internationale. Dans cette optique, il s’attache à renforcer les relations entre les 53 pays membres du Commonwealth. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints : Meilleure adhésion aux valeurs et aux principes du Commonwealth, plus particulièrement ceux qui sont énoncés dans la Charte du Commonwealth;

Gouvernance publique plus efficace, efficiente et équitable;

Incidence positive accrue du développement social;

Meilleure appréciation et intégration des jeunes dans les processus politiques et de développement;

Croissance économique et développement durable plus inclusifs;

Résilience renforcée des petits États et des États vulnérables.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des contributions :6 839 1705 839 5766 927 7566 927 7565 717 145-1 210 611
Total du programme :6 839 1705 839 5766 927 7566 927 7565 717 145-1 210 611

Commentaires sur les écarts : Les écarts entre les montants prévus et les montants réels sont dus à des fluctuations dans les taux de change, les factures du Commonwealth étant émises en livres sterling.

Audits achevés ou prévus : Aucun audit n’a été effectué ou n’est prévu par Affaires mondiales Canada. Le Conseil des gouverneurs du Secrétariat du Commonwealth, qui regroupe des représentants des États membres, y compris du Canada, reçoit un rapport de l’audit annuel réalisé à l’externe et prend des mesures pour donner suite aux opinions exprimées dans ce document.

Évaluations achevées ou prévues : Aucune évaluation n’a été effectuée ou n’est prévue par Affaires mondiales Canada. Le Secrétariat du Commonwealth vient de commencer à appliquer un nouveau plan stratégique pour la période de 2017-2018 à 2020-2021. Aucune évaluation n’a été prévue par le secrétariat pour l’exercice 2017-2018.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : La mobilisation est continue. Pour plus de détails, veuillez consulter le site Web du Commonwealth (en anglais).

Subventions en remplacement des impôts sur les propriétés diplomatiques, consulaires et celles des organisations internationales au Canada

Nom du programme de paiements de transfert : Subventions en remplacement des impôts sur les propriétés diplomatiques, consulaires et celles des organisations internationales au Canada (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 18 janvier 1979

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Subvention

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 1978-1979

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux / Sous-programme 1.2.1 : Promotion des intérêts et diplomatie bilatérales et régionales

Description : Ce programme a comme fondement législatif le Décret sur les subventions pour les propriétés diplomatiques, consulaires et à celles des organisations internationales (C.P. 1979-59, 18 janvier 1979), la Loi sur les subventions aux municipalités, ainsi que les décrets et lois apparentés. Le protocole d’entente connexe conclu entre Affaires mondiales Canada, Services publics et Approvisionnement Canada et la Commission de la capitale nationale vient établir les responsabilités et les procédures régissant la prestation des services liés au versement des subventions en remplacement d’impôts et de taxes régionales ou sur la longueur de façade pour des propriétés diplomatiques et consulaires. Ces procédures visent à garantir le respect des obligations redditionnelles de nature budgétaire et opérationnelle, tout en favorisant l’exécution efficace du programme.

Résultats atteints :

Le Canada a satisfait à ses engagements internationaux, comme en témoignent :

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des subventions :13 804 94415 982 86015 854 00013 654 00013 523 934-2 330 066
Total du programme :13 804 94415 982 86015 854 00013 654 00013 523 934-2 330 066

Commentaires sur les écarts : L’écart entre les dépenses prévues et les dépenses réelles est attribuable à des taxes foncières municipales inférieures aux prévisions. Des changements dans le nombre de subventions et leur admissibilité sont d’autres facteurs qui ont contribué à l’écart en fin d’année.

Audits achevés ou prévus : S.O.

Évaluations achevées ou prévues : Une évaluation a été réalisée au cours de 2017-18.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : S.O.

Subventions et contributions en appui aux relations universitaires

Nom du programme de paiements de transfert : Subventions et contributions en appui aux relations universitaires (le financement du programme est approuvé par un vote au Parlement)

Date de mise en œuvre : 1er janvier 1989

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Subvention et contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2015-2016

Résultat stratégique : Services de commerce international et consulaires destinés aux Canadiens - Les Canadiens sont satisfaits des services commerciaux et consulaires.

Lien avec les programmes de l’organisation : Programme 2.1 : Commerce international / Sous-programme 2.1.1 : Développement du commerce international par la promotion des exportations et du commerce au Canada et à l’étranger

Description : Ces subventions et contributions ont pour effet d’élargir des programmes d’éducation internationale de façon à ce qu’ils fassent progresser plus efficacement les priorités ministérielles, y compris les contributions à la compétitivité canadienne dans le secteur de l’enseignement et à la promotion de la démocratie, de l’état de droit et des droits de la personne. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus au titre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Type de paiement de transfertDépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
Total des subventions :1 185 8251 045 3412 530 0001 640 4801 558 600-971 400
Total des contributions :6 110 0966 131 5784 587 6275 827 1475 827 1471 239 520
Total du programme :7 295 9217 176 9197 117 6277 467 6277 385 747268 120

Commentaires sur les écarts : L’écart entre les dépenses prévues et les dépenses réelles en 2016-2017 est dû au fait que l’on a trouvé des fonds additionnels ailleurs au Ministère qui ont été fournis à l’appui d’activités approuvées mais non financées dans le contexte des relations universitaires. La plupart des fonds ont d’abord été octroyés sous la forme de subventions, mais la plupart des activités avaient davantage les caractéristiques de contributions, ce qui explique la conversion de certaines subventions en contributions.

Audits achevés ou prévus : Un audit ministériel interne de la Stratégie internationale en matière d’éducation portant sur certains aspects des subventions et contributions en appui aux relations universitaires a été effectué en 2016-2017, et des mesures correctives ont déjà été prises pour donner suite aux constatations. De plus, six bénéficiaires ont fait l’objet d’un audit en 2017-2018. Tous les audits ont révélé une conformité complète aux accords originaux.

Évaluations achevées ou prévues : Le programme est en cours d’évaluation dans le cadre de l’évaluation de la Stratégie en matière d’éducation internationale.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires : Les activités suivantes ont été menées en 2017-2018 : promotion des programmes par le truchement de 55 missions, collaboration hebdomadaire avec des organisations non gouvernementales, et participation à quatre congrès et forums sur l’éducation, à une tournée d’étude et à une mission de collaboration avec des dirigeants d’établissements universitaires provenant d’autres pays des Amériques en visite au Canada.

Communiqués de presse sur les bourses d’études internationales - Fil RSS : 31
Bulletins des anciens publiés en 2017-2018 : 1

Statistiques du site Web des bourses d’études internationales :

Consultations : 1 841 027 (+ 39,25 %)

Nouveaux visiteurs : 1 274 886 (+ 11,76 %)

Total de pages vues : 4 015 604 (+ 50,04 %)

Trafic direct : 775 790 (+ 220 %)

Durée moyenne par consultation : 2 minutes 26 secondes

Nombre moyen de pages vues par consultation : 2,18

Initiatives horizontales – La présidence canadienne du G7 en 2018

Nom de l’initiative horizontale : Présidence canadienne du G7 en 2018

Ministères responsables : Affaires mondiales Canada (AMC)

Organisations fédérales partenaires : Sécurité publique et Protection civile, Gendarmerie royale du Canada, Agence canadienne de renseignement de sécurité, Agence des services frontaliers du Canada, Services publics et Approvisionnement Canada, Services partagés Canada, Santé Canada, Agence canadienne d'inspection des aliments, Agence de la santé publique du Canada, Finances Canada, Défense nationale, Forces armées canadiennes, Transports Canada, Autorité canadienne de la sûreté des transports aériens et Innovation, Sciences et Développement économique Canada.

Partenaires non fédéraux et non gouvernementaux : Sans objet

Date de début de l’initiative horizontale : 1er avril 2017

Date de fin de l’initiative horizontale : 31 mars 2019

Description de l’initiative horizontale : Le Canada assure la présidence tournante du G7 du 1er janvier au 31 décembre 2018. Les 8 et 9 juin 2018, à La Malbaie, dans la région de Charlevoix, au Québec, le Canada a accueilli le Sommet des dirigeants du G7, lequel visait à dégager un consensus sur des enjeux mondiaux importants. Affaires mondiales Canada mène l’organisation du Sommet des dirigeants du G7, les réunions ministérielles et d’autres événements connexes, en collaboration avec plusieurs ministères et organisations. La Gendarmerie royale du Canada est en tête des opérations de sécurité.

Structures de gouvernance : La structure de gouvernance de la présidence du G7 du Canada est dirigée par le sous-ministre du G7 et le représentant personnel du premier ministre. Ce dernier est responsable de la gestion de la présidence du G7 en 2018. Il est appuyé par divers comités interministériels chargés de la planification et de la coordination de toutes les activités liées à la présidence du G7 – le Sommet des dirigeants, les réunions ministérielles et autres réunions et évènements connexes. Ces comités sont :

Des groupes de travail à l'échelle gouvernementale appuient les efforts visant à réaliser des gains d'efficience dans des domaines opérationnels précis tels que les locaux, la sûreté et la sécurité, la technologie, le réseau de communication, la justice et les approvisionnements.

Montant total des fonds fédéraux alloués (de la date de début à la date de fin) (en dollars) : 577 386 532  $

Dépenses fédérales totales prévues à ce jour (en dollars) : 223 245 854  $

Dépenses fédérales totales réelles à ce jour (en dollars) : 117 417 235  $

Date du dernier renouvellement de l’initiative horizontale : Sans objet 

Total du financement fédéral affecté lors du dernier renouvellement et source du financement (en dollars) : Sans objet 

Financement fédéral supplémentaire reçu après le dernier renouvellement (en dollars) : Sans objet

Fonds provenant de partenaires non fédéraux et non gouvernementaux (en dollars) : Sans objet

Exercice de l’achèvement prévu de la prochaine évaluation : Une évaluation des événements majeurs et des sommets est provisoirement prévue par Affaires mondiales Canada pour l’exercice 2019-2020.

Résultat commun des partenaires fédéraux : Les résultats escomptés à atteindre par cette initiative horizontale sont :

Politique et Sommet

Sommet sécuritaire 

Indicateurs de rendement :

Politique et Sommet 

Sommet sécuritaire 

Cibles :

Politique et Sommet 

Sommet sécuritaire 

Source de données et fréquence de surveillance et de rapport :

Vu la multitude de partenaires fédéraux impliqués dans la présidence du G7 et les nombreux événements qui prennent place sur d’une période de deux ans, les activités de surveillance et de rapportage reliées à la présidence sont en cours. Chaque ministère est responsable de surveiller et de rapporter sur leurs résultats; ceux-ci seront ensuite examinés dans une perspective plus large afin de déterminer l’atteinte des indicateurs des résultats partagés. Le rapport final qui évaluera le succès de la Présidence canadienne du G7 en 2018 sera rédigé en 2019-20, quand tous les événements liés auront pris fin.

Résultats :

Puisque l’événement majeur de la présidence canadienne du G7, le Sommet des dirigeants, a eu lieu dans l’année fiscale 2018-2019, il n’est pas encore possible de rapporter sur des résultats signifiants pour l’année fiscale 2017-18. La planification et le rapportage sont en cours et restent sur la bonne voie.

Résultat attendu des partenaires non fédéraux et non gouvernementaux : Sans objet 

Nom du thème : Sans objet 

Faits saillants de la performance : Puisque le Sommet des dirigeants, soit le mandat principal, a été livré dans l’année fiscale 2018-19, il est trop tôt pour évaluer la performance des partenaires fédéraux en fonction des indicateurs et des cibles établis. La planification et les le rapportage sont en cours et avancent selon les échéances établies.

Coordonnées de la personne-ressource :

Sophie Bainbridge, directrice exécutive – Services corporatifs
Bureau de gestion des sommets
Affaires mondiales Canada
125, promenade Sussex Ottawa (ON) K1A 0G2

Secteur thématique : Politiques et sommets (G7RS1)
Organisa- tions fédéralesLien au répertoire des programmes des ministèresActivités de l'initiative horizontaleAffectations totales fédérales (du début à la fin) en $Dépenses prévues 2017-2018 (en $)Dépenses réelles 2017-18 (en $)Résultats attendusIndicateurs de rendementCiblesDate d’atteinte de la cibleRésultats atteints 2017-18
Affaires mondiales Canada (AMC)

1.2

Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux

AMC – Activité 1 : Appuyer le premier ministre dans le développement du  cadre stratégique relatif à la tenue du Sommet et de la présidence du G7 de 20185 258 3452 492 6211 210 866Les acteurs internationaux sont mobilisés et bien disposés en faveur des mesures qui correspondent aux intérêts et aux valeurs du Canada.Mesure dans laquelle les positions canadiennes sont reflétées dans les documents du Sommet du G7.80 %31 mars 201980 %
Affaires mondiales Canada (AMC)

1.2.2

Sommets et promotion des intérêts et diplomatie multilatérales

AMC – Activité 2 : Planification, coordination et mise en œuvre des mesures logistiques et des activités du G7  94 611 28532 113 07220 410 486Coordination efficace et réalisation efficiente des activités et des efforts logistiques du Canada relativement au G7.Mesure dans laquelle les représentants et les décideurs étrangers ont été sensibilisés à travers les réunions, consultations, négociations, activités et visites lors du Sommet des dirigeants, des rencontres ministérielles et autres activités connexes.80 %31 mars 201980 %

Sécurité publique et Protection civile Canada (SPPCC)

*Les chiffres n’incluent pas les montants de Services publics et Approvisionnement Canada ou de Services partagés Canada

1.1.1

Leadership en sécurité nationale – Secteur des affaires du portefeuille et des communications

SPPCC – Activité 3 :

Appui à une éventuelle réunion ministérielle (relative à la lutte contre le terrorisme ou à la sécurité)

26 923063 091Coordination efficace et efficiente de la discussion organisée par les ministres de l'Intérieur ou de la Sécurité publique et des documents définitifs publics.Pourcentage des partenaires et intervenants qui sont satisfaits de la coordination fournie par le Secteur.100 %23-24 avril 2018Les résultats seront présentés au cours de l'exercice 2018-2019.
Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC)1.1 ApprovisionnementsSPAC –Activité 1 : Approvisionnements709 891501 316374 372Approvisionnements ouverts qui offrent la meilleure valeur pour les Canadiens et qui sont fournis efficacement à la satisfaction du gouvernement.Contrats d'approvisionnement hautement complexes traités dans les 100 jours ouvrables suivant la date de soumission de la demande de proposition originale.80 %31 juillet 2018100 %
1.2 Gestion des locaux et services immobiliersSPAC – Activité 2 :
Gestion des locaux et services immobiliers
30 776 31710 885 9258 865 247Les organisations fédérales reçoivent des services immobiliers adaptés et efficients.Pourcentage de tous les projets immobiliers dont la valeur est supérieure à un million de dollars qui sont réalisés dans le respect des délais, du budget et de la portée (moyenne des indicateurs de rendement relatifs au respect des délais, du budget et de la portée).95 %31 mars 2019

100 %

Location de bail en cours pour les sites du BGS

1.6 Services et gestion linguistiquesSPAC – Activité 3 :
Services et gestion linguistiques
2 515 120721 564561 810Le gouvernement du Canada bénéficie de services linguistiques multilingues efficaces et de qualité fournis en temps opportun à l'appui des activités et des communications relatives à la présidence du G7 pendant toute l'année.Pourcentage de clients qui présentent une demande de services linguistiques respectant les normes de service définies et qui sont satisfaits des services fournis par le Bureau de la traduction.85 %31 octobre 2018

100 %

Rencontre ministérielle toujours en suspens pour octobre 2018

Finances Canada

1.1 1.1 Cadre des politiques économique et fiscale

1.1.6 Sous-programme : Finances et échanges internationaux

Le sous-programme offre une analyse, de la recherche et des conseils au Ministre des Finances et aux employés du gouvernement afin qu'ils soient en mesure de prendre des décisions éclairées à l’égard du programme stratégique du gouvernement du Canada en matière de finances et d'échanges internationaux. Le sous-programme gère également la participation du Ministère des Finances à des groupes internationaux de coordination économique, tel le G7.3 989 9002 005 9741 015 493Les ministres et cadres supérieurs du gouvernement ont accès à des analyses, des recherches et des conseils fondés sur des faits probants à propos des questions qui influent sur le programme stratégique du gouvernement du Canada en matière de finances et d'échanges internationaux.Pourcentage de délais convenus relativement aux documents d'information qui sont respectés.90 %31 mars 2019

100 % des échéances établies pour les documents d’informations nécessaires pour appuyer le Ministre et la participation du Ministère aux rencontres du G7 en 2017-18 ont été respectées.

La planification des initiatives de communications liées au G7 et de la  logistique pour appuyer la participation du Ministère des Finances aux rencontres internationales liées à la présidence canadienne du G7 ont été un succès.

Mesure dans laquelle les constatations générales des vérifications et/ou des évaluations sont favorables.Favorables31 mars 2018Nul jusqu’à l’AF 2018-2019
Services partagés Canada1.3 TélécommunicationsLes sous-programmes 1.3.1, 1.3.2, 1.3.3.3 et 1.3.5 offrent des services de télécommunica-tion, voix et données au gouvernement du Canada afin qu'il soit en mesure d'offrir ses programmes et d'atteindre ses priorités.34 000 00016 300 00014 915 909Les participants des ministères de soutien au Sommet disposent d’un accès fiable et solide aux services de voix et de données pour exécuter le mandat.Temps de disponibilité des communications pendant l'événement.100 %31 mars 2019Toutes les structures de télécommunications qui ont été installées en 2017-2018 n’ont eu aucune coupure ni temps d’arrêt. Ceci atteint l’objectif de SPC d’avoir une disponibilité de 100%.
Secteur thématique : Un sommet sécuritaire (G7RS2)
Organisa-tions  fédéralesLien au répertoire des programmes des ministères  Activités de l'initiative horizontaleAttribution totale (du début à la fin), en dollarsDépenses prévues 2017-2018 (en $)Dépenses réelles 2017-18 (en $)Résultats attendus 2018-19Indicateurs de rendement 2018-19Cibles 2018-19Date d’atteinte de la cibleRésultats atteints 2017-18

Sécurité publique et Protection civile Canada (SPPCC)

*Les chiffres n’incluent pas les montants de Services publics et Approvisionnement Canada ou de Services partagés Canada

SPPCC (suite)

1.3.2.2 Gendarmerie royale du Canada (GRC) et services de policeSPPCC – Activité 1 : Mise en œuvre du cadre – Estimation des coûts internes1 581 318808 987645 694Assurer une compréhension commune ainsi que la coopération entre la province de Québec, et d’autres administrations et le gouvernement fédéral au moyen d'une mobilisation précoce et soutenue.Écart entre le montant de remboursement recommandé par la vérification et la demande finale présentée par l'administration.Maximum de 10 %Fin de l’exercice 2018-2019Les résultats seront présentés à la fin de l'exercice 2018-2019.
Efficacité de la gestion du cadre.Le ratio des dépenses d’appui administratif du cadre versus le remboursement des coûts aux juridictions locales.Maximum de 3 %Fin de l’exercice 2018-2019Les résultats seront présentés à la fin de l'exercice 2018-2019.
1.3.2.2 GRC et services de policeSPPCC – Activité 1 : Mise en œuvre du cadre – subventions et contributions (remboursement)94 608 01017 064 241

7 674 200

*Ces montants sont assujettis à une vérification.

Prestation en temps opportun d'aide financière à la province de Québec et aux autres administrations.Émission du dernier paiement conformément à l'Accord de contribution.Dans les 30 jours suivant l'approbation du rapport de vérification par le Ministre de SPPCC (ou son représentant autorisé).Fin de l’exercice 2018-2019Les résultats seront présentés à la fin de l'exercice 2018-2019.
Coopération des administrations relativement à la prestation de services de police et de sécurité.Pourcentage de juridictions qui coopèrent avec la GRC pour la prestation des services de police et de sécurité de la part de toutes les administrations.Collaboration de 100 % des administrationsFin de l’exercice 2018-2019Les résultats seront présentés à la fin de l'exercice 2018-2019.
1.4.2 Protection civile

SPPCC – Activité 2 :

Planification de la sécurité de programme d'exercice de planification de la sécurité

2 123 3711 356 669L'état de préparation opérationnel est atteint au moyen de la mobilisation et de la coordination efficaces des partenaires fédéraux dans l'élaboration et la mise en œuvre d'un plan de sécurité pangouvernemental, ainsi que de leur participation active au programme d'exercices de sécurité.a)  Pourcentage des partenaires fédéraux ayant participé à l'élaboration du plan.a) 90 %18 mai 2018Les résultats seront présentés à la fin de l'exercice 2018-2019.
b)  Pourcentage des objectifs évalués dans le programme d'exercice de sécurité Sentinelle I et Sentinelle II.b) 90 %18 mai 2018Les résultats seront présentés à la fin de l'exercice 2018-2019.
Gendarmerie royale du Canada (GRC)

1.1.2.4

Service de protection

Activité no 1 de la GRC : Activités de planification et préalables au G722 482 71715 563 89314 100 488Note de bas de page 1Coordination et collaboration efficaces auprès des clients et des partenaires de la sécurité relativement au G7.Nombre d’occurrences où la GRC a omis d’informer ses partenaires ou de leur communiquer des renseignements à la suite d’un incident.Aucune occurrenceJuin 2018Nul jusqu’à l’année fiscale 2018-2019
Activité no 2 de la GRC : Opérations en lien avec le déroulement du G7233 238 272110 807 50741 416 355Les opérations de sécurité liées au déroulement du G7 sont exécutées efficacement.Pourcentage d’incidents déclarés où une violation du protocole s’est produite.0 %Juin 2018Nul jusqu’à l’année fiscale 2018-2019
Activité no 3 de la GRC : Démobilisation (conclusion)3 252 87700Déroulement sûr et sécuritaire du G7.Nombre d’incidents qui ont perturbé le bon déroulement de l’événement.Aucun incidentJuin 2018Nul jusqu’à l’année fiscale 2018-2019
Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS)* Le SCRS dressera des rapports à l’interne sur ses résultats attendus par l’entremise de leur mécanisme approprié.         
Agence des services frontaliers du Canada (ASFC)1.3 Détermination de l’admissibilitéGestion des événements majeurs et planification horizontale411 636219 477189 548L’équipe de l’ASFC dédiée au G7 participe à toutes les activités de planification et de partage de l’information.Pourcentage des engagements respectés par l’équipe de l’ASFC dédiée au G7 relativement à la planification et au partage de l’information.100 %31 mars 2018Intégration et engagement de tous les partenaires à 100 %
1.1.3 Évaluation des risques, filtrage de sécurité, collecte et analyse de renseignementsIntégration du renseignement et accréditation171 40800Les personnes, les marchandises et les moyens de transport à risque élevé qui constituent une menace à la sécurité du G7 et aux Canadiens sont examinés et interceptés le plus tôt possible.a) Pourcentage des demandes d’accréditation traitées.a) 100 %AF 2018-2019Nul jusqu’à l’année fiscale 2018-2019
b) Pourcentage des cas supplémentaires traités de filtrages de sécurité nationale.b) 100 %AF 2018-2019Nul jusqu’à l’année fiscale 2018-2019
1.1 Détermination de l’admissibilitéLogistique temporaire propre à l’emplacement et exécution opérationnelle de l’événement500 71200Le passage des voyageurs admissibles en provenance des pays du G7 (dignitaires, invités, équipes de soutien) est facilité; leur contrôle se fait aux emplacements satellites opérationnels selon les lois établies.Pourcentage de voyageurs en provenance des pays du G7 dont les déplacements sont facilités et qui sont admis au Canada.100 %AF 2018-2019Nul jusqu’à l’année fiscale 2018-19

Ministère de la Défense nationale (MDN)/

Forces armées canadiennes (FAC)

APP 3.0 Production d’éléments de force prête à l’action de la DéfenseActivité no 1 du MDN : Soutien à la planification opérationnelle relative à la sûreté et à la sécurité et Programme d’exercices de sécurité9 689 0009 689 0002 699 177La sécurité du Sommet des dirigeants du G7 est assurée par une formation spécialisée des membres des FAC conformément aux plans opérationnels et aux exercices élaborés en préparation du Sommet du G7. Les éléments de la force de défense sont au niveau de préparation requis et sont prêts à remplir leurs rôles de posture et de disponibilité opérationnelle.Pourcentage des ressources dédiées des FAC déclarées opérationnelles avant la tenue du G7.100 %1er  juin 2018Les membres des FAC ont participé à l’exercice Sentinelle I et planifient pour l’exercice Sentinelle II. L’exercice de poste de commandement interne a été tenu à la fin du mois de mars. Il est attendu que la cible de 100 % formés sera atteinte pour la date du 1er juin, 2018.
APP 2.2.1 Opérations de contreterrorisme, de réponse aux événements terroristes et de gestion des conséquencesActivité no 2 du MDN : Appuyer les mesures contreterroristes visant à assurer la sécurité du Sommet du G7.000Le Sommet du G7 n'est perturbé par aucun incident terroriste.Nombre d’incidents de nature terroriste qui ont perturbé le bon déroulement du Sommet et de ses événements.Aucune occurrence1er  juin 2018Les forces d’opérations spéciales maintiennent cette capacité dans leur financement de base.
APP 2.2.2 Opérations d’assistance lors d’événements majeurs du CanadaActivité no 3 du MDN : Diriger une opération d’envergure au pays afin d’appuyer un événement majeur spécial de sécurité du Canada25 625 00000Les capacités, les opérations et les services du MDN et des FAC permettent d’assurer la sûreté et la sécurité du Sommet du G7 de 2018.Pourcentage des ressources du MDN et des FAC fournies afin d’assurer la mission de sécurité entourant le Sommet du G7 de 2018 par rapport à celles demandées.100 %1er  juin 2018Les troupes des FAC commenceront leurs déploiements au mois de mai 2018 et seront complètement opérationnels à la date cible.

Santé Canada (SC)

SC (suite)

Programme 1.2 Services de santé spécialisésActivité no 1 de SC : Programme des personnes jouissant d’une protection internationale (PPI)5 424 2581 697 9131 051 475Répondre aux besoins urgents et non urgents en matière de santé des PPI, ainsi qu’aux demandes des organismes partenaires.Pourcentage du nombre requis de protocoles d’entente (PE) qui sécurise des biens et services du gouvernement du Québec qui ont été signé avant mai 2018.100 % des PE requis sont signés d’ici mai 2018.Mai 2018En cours
Pourcentage des besoins urgents et non urgents en matière de santé des PPI sont comblés dans des délais qui correspondent à la norme médicale établie.100% de besoins urgents et non urgents en matière de santé des PPI, ainsi qu’aux demandes des organismes partenaires sont rencontrés.Juin 2018Nul jusqu’à l’AF 2018-2019
Pourcentage de patients du sommet du G7 nécessitant un diagnostic ou un traitement plus approfondi de la part des services médicaux locaux/provinciaux, dans le but de réduire le fardeau des systèmes de santé locaux et provinciaux.Moins de 5 % des patients ont besoin d’un diagnostic ou d’un traitement plus poussé de la part des fournisseurs de services locaux ou provinciaux.Juin 2018Nul jusqu’à l’AF 2018-2019
Programme 1.2 Services de santé spécialisésActivité 2 Services d'aide aux employés (SAE)488 200346 076360 465Veiller à ce qu'une équipe de préparation et d'intervention en cas d'urgence psychosociale (PSERT) soit disponible en tout temps pour fournir un soutien psychosocial aux employés fédéraux participant au Sommet en cas d'urgence.18 membres du PSERT sont formés et prêts à fournir leur soutien quelques jours avant le sommet.100 % des membres du PSERT sont formés et prêts en mai 2018.Mars 201817 membres PSERT se sont réunis à Ottawa (22-29 janvier, 2018) pour une série de formations en personne, des rencontres ainsi que pour des exercices de simulation.
Programme 1.2 Services de santé spécialisésActivité no 3 de SC : Programme de santé au travail de la fonction publique (PSTFP)s/os/os/oLes organisations gouvernementales reçoivent des conseils et l’orientation dont elles ont besoin en appui à leur obligation de répondre aux problèmes de santé et de sécurité au travail.Le PSTFP offre des conseils et de l’orientation en matière de santé et de sécurité au travail en réponse aux demandes des organisations fédérales, et ce, en respectant les normes de service.s/os/os/o
Programme 2.6 RadioprotectionActivité no 4 de SC : Bureau de la radioprotection1 713 8371 213 720988 038L’équipe nationale des incidents CBRNE de la GRC reçoit les biens scientifiques et techniques, ainsi que l’expertise connexe, afin d’appuyer la surveillance de la sécurité radiologique et les mesures d’intervention en cas de menaces radiologiques lors du Sommet du G7.La surveillance radiologique, l'analyse et les conseils scientifiques sont fournis à l'équipe nationale des incidents CBRNE de la GRC au besoin durant le Sommet.100 % des alarmes et des anomalies sont évaluées. Toutes les demandes d'analyses scientifiques et de conseils de la GRC sont fournies lors du Sommet, en juin 2018.Juin 2018Tous les préparatifs étaient en place pour répondre à 100 % des alarmes et des anomalies ainsi qu’aux demandes de la GRC pour des analyses scientifiques ou des conseils durant le Sommet en juin 2018.

Agence canadienne d’inspection des aliments

(ACIA)

1.1 : Programme de salubrité des aliments;
1.2 : Programme de santé des animaux et de prévention des zoonoses;
1.3 : Programme des ressources végétales

DRF: Suivi et application de la législation sur la sécurité sanitaire des aliments, la santé des plantes, la santé animale et la protection des consommateurs

Activité no 1 de l’ACIA : Aéroports et frontières : surveillance et inspection69 37200Soutien offert à l’Agence des services frontaliers du Canada relativement aux activités de surveillance et d’inspection dans les aéroports et aux frontières afin d’empêcher l’entrée au Canada de matières agricoles (produits d’origine animale ou végétale) ou d’aliments susceptibles de constituer une menace, délibérée ou accidentelle, aux dignitaires ou à la population du Canada. Le soutien de l’ACIA contribuera à faciliter le processus de recherche de l’AFSC, tout en assurant une surveillance attentive des risques.Pourcentage des voyageurs du G7 identifiés par l’ASFC comme transportant potentiellement des matériaux agricoles ou de la nourriture, et dont le voyage a été facilité et ont obtenu accès au Canada.100 %31 mars 2019Nul jusqu’à l’AF 2018-2019
 Pourcentage d'heures de fonctionnement où un inspecteur de l’ACIA est désigné à un point de contrôle d’entrée pour l’admission des délégations du Sommet.100 %31 mars 2019Nul jusqu’à l’AF 2018-2019

1.1 : Programme de salubrité des aliments

DRF: Suivi et implantation de la législation sur la sécurité sanitaire des aliments, la santé des plantes, la santé animale et la protection des consommateurs.

Activité no 2 de l’ACIA : Présence accrue dans les usines de transformation des aliments assujetties aux inspections par le gouvernement fédéral.110 46000Tous les produits alimentaires fournis dans le cadre du Sommet par des établissements agréés par le gouvernement fédéral répondent aux normes et aux exigences de l’ACIA.Pourcentage des résultats d’inspections fournis à SC par rapport aux établissements ciblés.100 %31 mars 2019Nul jusqu’à l’AF 2018-2019
Agence de la santé publique du Canada (ASPC)1.3.1 Mesures et interventions d’urgenceMesures et interventions d’urgence974 076586 419404 217L’état de préparation opérationnelle du Centre des opérations du portefeuille de la santé.Pourcentage des employés assignés et formés.100 %31 mars 2019

La cible a été atteinte, 100 % des employés ont été formés et assignés.

Les coûts associés avec l’exercice Sentinelle II ont été repoussés en 2018-2019.

Formation sur les services de quarantaine et le programme public itinérant pour aborder les risques / protocoles spécifiques du G7.Pourcentage d’employés formés pour reconnaître les risques du G7 et leur habilité de reconnaitre des voyageurs malades aux points d’entrée.98 % (capacité du personnel)31 mars 2019La cible a été atteinte, 98 % du personnel a été formé pour identifier des risques au G7 et ont la capacité de reconnaitre des voyageurs malades aux points d’entrée.
Augmentation des contre-mesures médicalesPourcentage des contre-mesures médicales disponibles.80 %31 mars 2019La cible a été atteinte avec 80 % des contre-mesures médicales achetées en 2017-2018. Elles étaient prêtes pour être déployées.
Renseignement et surveillancePourcentage des rapports distribués qui ont contribués au renseignement.80 %31 mars 2019Nul jusqu’à l’AF 2018-2019
Laboratoire national de microbiologie1 002 720332 251239 207a) Ressources scientifiques et techniques de l’Équipe d’intervention d’urgence microbiologique en appui à l’Équipe nationale d’intervention CBRNE de la GRC afin d’adresser des menaces biologique posées pendant le Sommet du G7.a) Pourcentage des échantillons reçus et analysés.a) 100 %31 mars 2019Nul jusqu’à l’AF 2018-2019
b) Mettre en place un laboratoire biologique mobile sur le site du G7 pour appuyer l’équipe nationale du CBRNE.b) Le laboratoire mobile est positionné sur le site du Sommet en juin 2018 à l’appui de l’équipe nationale du CBRNE.b) Triage à 100 % de tous les échantillons de sécurité fournis par la GRC pour l’analyse des menaces biologiques.31 mars 2019

Les mesures de préparations ont été améliorées en :

  1. établissant un support de surveillance d’aérosol biologique;
  2. ayant une formation croisée de personnel de laboratoire;
  3. menant des exercices pour préparer les employés; et,
  4. faisant des tests de l’équipement mobile.

L’approvisionnement et le test de la capacité de l’équipement ont été complétés. De nouveaux protocoles de test en laboratoire ont été mis en œuvre et essayés.

Le triage des échantillons est nul jusqu’en 2018-2019.

Régional419 581125 125109 622Approche coordonnée avec les autorités provinciales.Pourcentage des autorités de la santé qui sont au courant des ressources disponibles de l’ASPC80 % des autorités provinciales/territoriales ont été contactées et les rôles et responsabilités ont été finalisés avec ces autorités en mai 2018.31 mars 2019

Un concept d’opérations spécifique à la santé a été développé pour définir les rôles et responsabilités des différents partenaires.

La cible a été atteinte avec 80 % des autorités provinciales ayant été consultées sur le développement du Concept d’opérations.

Transports Canada (TC)Programme 3.1 Sécurité aérienne

Fournir des conseils et superviser la gestion de l'espace aérien concerné; établir des zones d'aviation restreintes; participer à des groupes de travail; développer et superviser la mise en œuvre des mesures de sécurité spécifiques au Sommet, communiquer des mesures aux parties prenantes concernées de l'industrie.

Mener des activités de surveillance et d'application pendant le Sommet.

30 98013 8881 453

Aucun vol non autorisé et aucun drone dans les zones d’espace aérien restreint.

Conduite sécuritaire des opérations aériennes.

Nombre d'incursions dans la zone d'espace aérien réglementé; nombre d'incidents touchant l'aviation civile.Zéro incursions et incidents.8-9 juin 2018La Direction de la sécurité aérienne de Transports Canada a participé dans des groupes de travail, a établi des espaces aériens restreints (3CYRs) et a contribué au Plan intégré de sécurité aérienne.
Transports Canada (TC)Programme 4 Communication (sous Services internes)

Conseils et soutien en matière de communications pour les enjeux liés à TC

Fil de nouvelles du Canada -produits de communications

Services de traductions

Canada Newswire (affichage des produits)

Services de transcription

Heures supplémentaires pour du soutien sur appel et sur place

Hébergement des fournisseurs de soutien sur place

99 46232 005962

Les activités de communication réussies n'entraînent aucune activité de drone ou incident maritime dans la région. La communauté locale est consciente des impacts sur sa routine (fermetures de routes, NOTAM (avis aux aviateurs).

Documents publics disponibles dans les deux langues officielles.

Capacité de répondre aux besoins de communication impromptus en temps opportun.

Soutien aux communications sur place pour le cabinet du ministre.

Nombre de médias ayant une couverture médiatique sur le sommet dans les deux langues officielles.

Nombre d’articles médiatiques publiés dans les médias anglais et français.

Nombre de médias rapportant, dans les deux langues officielles, sur la rencontre ministérielle de Transports Canada.

Nombre de tweet, retweets et impressions du contenu du Sommet.

Au moins dix médias anglophones et francophones faisant rapport sur le Sommet; Au moins cinq reportages (total) par jour rapportés dans les médias anglophones et francophones pendant le Sommet.

Au moins cinq médias anglophones et francophones faisant le point sur la réunion ministérielle des transports.

Dans les mois précédant le Sommet, TC publiera et republiera un minimum de huit messages par mois sur Twitter liés au Sommet (d’AMC ou d'autres partenaires). Grâce aux efforts de promotion croisée de TC, l'objectif cible pour les impressions est de 200 000 par mois.

En juin 2018, TC publiera et republiera sur Twitter un minimum de 12 messages par mois liés au Sommet (d’AMC ou d'autres partenaires). Grâce aux efforts de promotion croisée de TC, l'objectif visé pour les impressions est de 300 000 pour juin 2018.

60 personnes republieront les tweets liés au Sommet de TC en juin 2018.

TC enverra un minimum de 4 messages à la réunion ministérielle des Transports.

8-9 juin 2018La Direction de communications de Transports Canada a participé dans des groupes de travail avec les équipes de communications des autres ministères.
Transports Canada (TC)Programme 3.6: Sécurité aérienneInspection des sites, participation au groupe de travail, présence pendant l’événement, surveillance des divers sites pendant l’événement (aéroports).32 31211 7603 128Les opérations aériennes sécurisées et les aéroports sont prêts à réagir rapidement à toute menace et / ou incident de sécurité.

Résolution réussie des incidents.

Les intervenants de l'aviation sont en mesure de mettre en œuvre des mesures de sécurité améliorées dans un délai de deux heures.

Toutes les inspections de site sont achevées à temps; Conformité aux règlements de sécurité aérienne maintenue pendant le Sommet.8-9 juin 2018La Direction de la sécurité aérienne de Transports Canada a participé dans des groupes de travail et a contribué au Plan intégré de sécurité aérienne.
Transports Canada (TC)3.1 Sécurité aérienneVols de surveillance effectués principalement pour surveiller la zone d’exclusion maritime.285 60000Surveillance aérienne en appui aux opérations du Groupe intégré de sécurité du Sommet du G7.Nombre d’heures de vol. Vols effectués.4 heures de vol par jour.8-9 juin 2018Nul jusqu’à l’AF 2018-2019
Transports Canada (TC)Programme 3.2 : Sûreté maritime et Programme 3.7 Sécurité maritimeInspection des sites, évaluations de la sécurité, planification de l’événement, coordination, reconnaissance, planification d’urgence, présence pendant l’événement, exercices, application et surveillance.74 63048 2884 468

Activités maritime sûres et sécuritaires, qui n’affectent pas le Sommet.

Les parties prenantes de l’industrie maritime sont capables de renforcer rapidement les mesures de sécurité et/ou de contingence.

Nombre d’incursions dans la zone de sécurité maritime.

Nombre d’incidents maritimes qui ont une répercussion sur le sommet du G7.

Temps de réaction pour la mise en place des renforcements des mesures de sécurité et/ou de contingence par les intervenants maritimes durant le Sommet du G7.

Conformité à la réglementation.

Collaboration intégrale avec les partenaires du gouvernement du Canada et l’industrie.

8-9 juin 2018La Direction de la sûreté et sécurité maritime a participé dans des groupes de travail et a contribué au Plan intégré de la sécurité maritime.
Transports Canada (TC)

Programme 3.9 Sûreté et sécurité intermodales, sûreté et préparatifs d’urgence :

Direction de l’évaluation du renseignement de sûreté (DERS)

Préparatifs d’urgence

Surveillance des réseaux d’information classifiée afin de déceler toute menace éventuelle au réseau de transport pouvant toucher le Sommet du G7.

Consolidation des efforts de surveillance et de gestion des programmes et des services de sécurité courants à l’appui des programmes de sécurité des transports modaux. Ces services comprennent  l’évaluation du renseignement de sécurité, la formation d’appui aux programmes et les préparatifs d’urgence. Ils comprennent également le Secrétariat des événements spéciaux, qui fournit des services de coordination ministérielle pour le Sommet du G7 de 2018.

588 317256 117111 161

Mise à contribution de l’information portant expressément sur les transports dans le cadre de l’évaluation des menaces, au besoin.

Analyse des menaces liées aux transports et communication avec les intervenants concernés pour la prise de mesures d’atténuation appropriées.

Contribution à la préparation et à la communication de l’information sur les menaces touchant les modes de transport; aide à l’organisation et au déroulement de la formation supplémentaire nécessaire pour les employés concernés de TC (par exemple, SCI); planification et coordination de la participation du Ministère aux exercices et aux activités du Sommet.

Nombre de réponses aux demandes d’information.

Nombre de menaces analysées.

Nombre de produits préparés ou distribués sur les menaces.

100 % du plan opérationnel est suivi

100 % des rapports diffusés

8-9 juin 2018La Direction des préparatifs d’urgence de de Transports Canada ainsi que la Direction de l’évaluation du renseignement de sûreté (DERS) ont participé à divers groupes de travail (incluant, mais non limité au : Groupe de travail JIG, le Groupe de sûreté et sécurité, le Groupe technique d’aviation fédéral, ainsi que le Groupe technique maritime fédéral). La Direction des préparatifs d’urgence du siège et de la région ont aussi participé au développement de l’exercice Sentinelle I et y ont participé.
Transports Canada (TC)Programme 3.5 Transport de marchandises dangereuses et 3.3 Programme de  sécurité ferroviaire

Participation à des groupes de travail, formulation de conseils sur les stratégies d’atténuation des risques, activités de surveillance au cours de l’événement.

Collaboration avec le Ministère des transports du Québec en vue de mener des activités de surveillance avant et pendant le Sommet; formulation de conseils sur les activités liées au Sommet concernant le réseau ferroviaire.

13 4001 7920

En collaboration avec le Ministère des transports du Québec : transport sécuritaire des marchandises dangereuses à proximité du Sommet.

En collaboration avec le Ministère des transports du Québec : activités sécuritaires de voies et de rails pendant le Sommet.

Nombre d’incidents causés par le transport de marchandises dangereuses.

Nombre d’incidents concernant les activités ferroviaires.

Aucun incident.8-9 juin 2018Nul jusqu’à l’AF 2018-2019
Administration canadienne de la sûreté du transport aérien (ACSTA)Contrôle de pré-embarquementCapacité supplémentaire de contrôle de pré-embarquement pour les vols quittant l’aéroport international Jean-Lesage, à Québec (YQB), et l’aéroport de Saguenay-Bagotville (YBG) à la suite du Sommet.101 32100Contrôle des passagers quittant à bord de vols commerciaux aux aéroports YQB et YBG.Contrôle de pré-embarquement des passagers se présentant aux aéroports YQB et YBG après le Sommet.Contrôle de 100 % des passagers, conformément aux procédures normalisées de fonctionnement de l’ACSTA.31 mars 2019Nul jusqu’à l’AF 2018-2019
Innovation, Sciences et Développement économique CanadaGestion et réglementation du spectreEfforts pour s’assurer que la zone d’activité du Sommet soit exempte de perturbation radioélectrique et que l’attribution de fréquences à tous les utilisateurs soit très bien coordonnée.151 81100Collaboration efficace avec les forces de sécurité pour veiller à ce que le Sommet soit exempt de perturbation radioélectrique.Nombre de plaintes de perturbation.Aucune plainte.31 mars 2019Nul jusqu’à l’AF 2018-2019

Audits internes

Missions d’audit interne terminées en 2017-18

Titre de l’audit interneDate complétée
Audit de l’intégrité des données du Système de gestion des ressources humainesJuillet 2017
Audit des pratiques de gestion des missions – AbujaJuillet 2017
Audit des pratiques de gestion des missions – AlgerJuillet 2017
Audit des pratiques de gestion des missions – New DelhiJuillet 2017
Audit des pratiques de gestion des missions - NairobiJuillet 2017
Audit des pratiques de gestion des missions – MoscouJuillet 2017
Audit des pratiques de gestion des missions – SéoulJuillet 2017  
Audit des pratiques de gestion des missions – CaireDécembre 2017
Audit –de la planification des ressources humainesDécembre 2017
Audit des biens immobiliers – Gestion du cycle de vieDécembre 2017
Audit de l’harmonisation de l’administration des programmes de subventions et de contributions à Affaires mondiales CanadaMars 2018
Audit des pratiques de gestion des missions – MadridAvril 2018
Audit des pratiques de gestion des missions – KingstonAvril 2018
Audit des pratiques de gestion des missions – AmmanAvril 2018
Audit des pratiques de gestion des missions – JakartaAvril 2018
Audit des pratiques de gestion des missions – Sao PauloAvril 2018
Audit des pratiques de gestion de la Mission permanente du Canada auprès de l’Organisation de l’aviation civile internationaleAvril 2018
Audit du Programme CanExportAvril 2018

Évaluations

Évaluations achevées, ou qui devaient être achevées, en 2017-2018 

Titre de l’évaluationLien à l’architecture d’alignement des programmes du MinistèreÉtat au 31 mars 2018Date de l’approbation de l’administrateur général
Évaluation du Programme des affaires consulaires2.2.1 : Assistance consulaire aux CanadiensAchevéeNovembre 2017
Évaluation du Fonds pour services aux clients et du Fonds de la Stratégie axée sur le commerce d’intégration2.1.1 : Développement du commerce international par la promotion des exportations et du commerce au Canada et à l’étrangerAchevéeSeptembre 2017
Evaluation du Programme de partenariat de la plateforme nord-américaine2.1.1: Développement du commerce international par la promotion des exportations et du commerce au Canada et à l’étrangerAchevéeAoût 2017
Évaluation des bureaux commerciaux du Canada en Chine (anciennement bureaux commerciaux régionaux)2.1.1 : Développement du commerce international par la promotion des exportations et du commerce au Canada et à l’étrangerAchevéeSeptembre 2017
La politique étrangère du Canada pour l’Arctique1.2.2 : Sommets et promotion des intérêts et diplomatie multilatéralesAchevéeAoût 2017
Évaluation de l’arrangement sur la police Canadienne et du Programme d’opérations policières internationales de paix et de maintien de la paix3.1.1 : Sécurité internationale et réduction des menacesAchevéeAoût 2017
Évaluation groupe de travail pour la stabilisation et la reconstruction et du fonds pour la paix et la sécurité mondiales  3.1.1 : Sécurité internationale et réduction des menacesAchevéeJuin 2017
Subventions en remplacement des impôts sur les services diplomatiques et protocolaires 1.2.1 : Promotion des intérêts et diplomatie bilatérales et régionales / 1.2.2 : Sommets et  promotion des intérêts et diplomatie multilatéralesAchevéeNovembre 2017
La politique sur la gestion des biens immobiliers                  4.1.2 : Biens immobiliersAchevéeSeptembre 2017
l’Évaluation formative de l’aide canadienne au développement pour les industries extractives et le développement durable3.2.1 : Croissance économique durableAchevéeMars 2018
Évaluation du programme-pays du Vietnam3.2.1 : Croissance économique durable / 3.2.3 : Sécurité alimentaireAchevéeMars 2018
Évaluation de l’assistance humanitaire3.3.2 : Partenaires pour une assistance humanitaireEn coursJuillet 2019
L’Afrique subsaharienne Aide internationale : République Démocratique du Congo/Autrefois Pays de présence modeste(Afrique)3.1.2 : Soutien à la démocratie, aux droits de la personne, à la liberté et à la primauté du droit / 3.2.1 : Croissance économique durable / 3.2.2 : Enfants et jeunes, y compris la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants  / 3.2.3 : Sécurité alimentaireEn coursFévrier 2020
Évaluation du Programme de développement régional pour les caraïbes3.1.2 : Soutien à la démocratie, aux droits de la personne, à la liberté et à la primauté du droit / 3.2.1 : Croissance économique durable / 3.2.2 : Enfants et jeunes, y compris la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants / 3.2.3 : Sécurité alimentaireEn coursMars 2019
Évaluation du programme-pays pour le Honduras3.2.2 : Enfants et jeunes, y compris la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants / 3.2.3 : Sécurité alimentaireAchevéeFévrier 2018
Évaluation de la participation canadienne à l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF)3.2.4 : Assistance multisectorielle, développement social et engagement au développementAutreNon approuvée et ne sera pas soumis de nouveau
La Banque interaméricaine de développement3.2.4 : Assistance multisectorielle, développement social et engagement au développementAchevéeDécembre 2017
Organisation international du travail3.2.4 : Assistance multisectorielle, développement social et engagement au développementAchevéeDécembre 2017
Évaluation horizontale du Plan d’action national de lutte contre la traite de personnes3.1.1 : Sécurité internationale et réduction des menacesAchevéeSeptembre 2017
Évaluation horizontale de la Stratégie de cyber sécurité du Canada1.1.2 : Conseils stratégiques en politique internationaleAchevéeJuin 2017
Évaluation du Programme de réduction des menaces liées aux armes (autrefois Programme de partenariat mondial) 3.1.1 : Sécurité internationale et réduction des menacesAchevéeFévrier 2018
Gestion immobilière — Investissements4.1.2 : Biens immobiliersAutreÉvaluation remise à 2020-2021
Préparation et intervention en cas d’urgence2.2.2 : Préparation et intervention en cas d’urgenceEn coursSeptembre 2019
Événements importants et sommets1.2.2 : Sommets et promotion des intérêts et diplomatie multilatéralesEn coursSeptembre 2019
Évaluation du Programme du plateau continental étendu du Canada1.2.1 : Promotion des intérêts et diplomatie bilatérales et régionalesEn coursOctobre 2018
Visites officielles et accueil1.2.2 : Sommets et promotion des intérêts et diplomatie multilatéralesAutreÉvaluation remise à 2021-2022
Évaluation du programme-pays du Sénégal3.2.1 : Croissance économique durable / 3.2.2 : Enfants et jeunes, y compris la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants / 3.2.3 : Sécurité alimentaireEn coursMars 2019
Évaluation du programme-pays de l’Ukraine3.1.2 : Soutien à la démocratie, aux droits de la personne, à la liberté et à la primauté du droit / 3.2.1 : Croissance économique durableEn coursJuin 2019

Réponse aux comités parlementaires et aux audits externes

Réponse aux comités parlementaires

  1. Comité permanent des affaires étrangères et du développement international de la Chambre des communes (FAAE) : Septième Rapport — Un cadre efficace et cohérent de mise en œuvre des régimes de sanctions du Canada : Honorer la mémoire de Sergeuï Magnitsky et aller plus loin (rapport adopté par le Comité le 21 mars 2017; rapport présenté à la Chambre des communes le 6 avril 2017; réponse du gouvernement présentée à la Chambre des communes le 19 juillet 2017).
    • Ce présent rapport s’inspire de l’examen législatif du Comité de la Loi sur les mesures économiques spéciales et de la Loi sur le blocage des biens de dirigeants étrangers corrompus.
    • Le rapport formule 13 recommandations fondées sur les témoignages de représentants du gouvernement, d’universitaires, d’experts et d’intervenants. Le rapport recommande que le gouvernement : veille à ce que les sanctions soient imposées de manière complémentaire et cohérente; mette en œuvre les décisions du Conseil de Sécurité des Nations Unies en modifiant, promulguant ou abrogeant les règlements en vertu de la Loi sur les Nations Unies; fournisse des ressources adéquates aux personnes responsables de l’administration des sanctions; fournisse des conseils publics complets aux secteurs public et privé pour maximiser la conformité; produise et tienne à jour une liste de toutes les personnes et entités visées par les sanctions canadiennes; transfère la responsabilité de la délivrance des permis en vertu de la Loi sur les mesures économiques spéciales et de la Loi sur les Nations Unies à la section d’Affaires mondiales Canada responsable de la Loi sur les licences d’exportation et d’importation; fasse en sorte que les organismes responsables de l’application de la loi donnent la priorité à l’application des sanctions et disposent des ressources nécessaires pour ce faire; modifie la Loi sur les mesures économiques spéciale et la Loi sur le blocage des biens de dirigeants étrangers corrompus pour permettre de contester les inscriptions de manière transparente et équitable; fournisse une justification pour l’inscription et la radiation de personnes en vertu de la Loi sur les mesures économiques spéciale; modifie la Loi sur les mesures économiques spéciale pour exiger le dépôt d’un rapport annuel par le ministre des Affaires étrangères de tous les ordres produit conformément à la Loi; exige un examen législatif obligatoire de la Loi sur les mesures économiques spéciale et la Loi sur le blocage des biens de dirigeants étrangers corrompus par un comité parlementaire dans un délai de cinq ans; élargisse la portée dans laquelle les sanctions peuvent être promulguées, y compris les cas graves de violation des droits de la personne; modifie la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés pour désigner toutes les personnes inscrites sur des listes spécifiques en vertu de la Loi sur les mesures économiques spéciale comme inadmissibles au Canada.
    • La réponse du gouvernement canadien a pris la forme d’une lettre, félicitant le comité pour son travail et réitérant son appui au projet de loi S-226, qui mettrait en œuvre plusieurs des recommandations du comité. Dans sa réponse, le gouvernement s’est engagé à ce qu’Affaires mondiales Canada et les autres ministères concernés examinent les questions de plus près.
    • Pour lire le rapport complet et la réponse du gouvernement du Canada, veuillez consulter : Rapport 7 — Un cadre efficace et cohérent de mise en œuvre des régimes de sanctions du Canada : Honorer la mémoire de Sergeuï Magnitsky et aller plus loin et la Réponse du gouvernement.
  2. Comité permanent du commerce international de la Chambre des communes (CIIT) : Sixième rapport — L’Accord du Partenariat transpacifique : avantages et défis pour les Canadiens (rapport adopté par le Comité le 9 mars 2017; rapport présenté à la Chambre des communes le 10 avril 2017; réponse du gouvernement présentée à la Chambre des communes le 19 juillet 2017).
    • Ce rapport, qui s’inspire d’une étude sur la consultation publique du Partenariat transpacifique (PTP), dont l’objectif principal est d’évaluer dans quelle mesure la ratification du PTP serait dans l’intérêt supérieur des Canadiens.
    • Le rapport formule 14 recommandations fondées sur les témoignages d’intervenants et du grand public partout au Canada. Le rapport recommande que le gouvernement : cherche activement à conclure un accord sur le commerce et l’investissement avec les signataires du PTP, ainsi que d’autres accords sur le commerce et l’investissement dans la région Asie-Pacifique; continue de faire participer les gouvernements provinciaux et territoriaux aux négociations sur les accords de commerce et d’investissement avec les signataires du PTP; cherche à reprendre les négociations avec le Japon en vue d’un accord de partenariat économique; veille à ce que tout accord sur le commerce et l’investissement dans la région Asie-Pacifique comprenne, comme éléments essentiels, des dispositions progressistes inclusives et exécutoires en matière d’environnement, de santé, de travail et de droits de la personne, sous réserve d’une évaluation fondée sur le sexe; entreprenne des consultations publiques concernant la négociation de tout accord sur le commerce et l’investissement dans la région Asie-Pacifique; intègre les engagements pris lors de la Conférence de Paris de 2015 sur les changements climatiques; mobilise le public canadien pour communiquer les avantages pour le Canada et la prospérité économique du pays d’une économie ouverte et du commerce mondial, ainsi qu’en discuter; élabore un plan de communication pour rendre publics les dispositions et les avantages de tout accord éventuel avec les signataires du PTP ou d’autres pays de la région Asie-Pacifique; prenne des mesures pour s’assurer que l’infrastructure canadienne qui facilite le commerce convient et satisfait aux besoins des entreprises canadiennes qui participent au commerce international; aide les entreprises canadiennes, particulièrement les petites et moyennes entreprises, en prenant les trois mesures suivantes : offrir de la formation aux entreprises qui souhaitent se lancer dans l’exportation, accroître la visibilité des services et des outils à la disposition des entreprises, et explorer le concept d’un « guichet unique » lorsque ces entreprises peuvent accéder aux ressources liées au commerce; lors de la négociation future d’accords sur le commerce et l’investissement, le gouvernement du Canada doit défendre vigoureusement les secteurs soumis à la gestion de l’offre; cibler les obstacles non tarifaires qui peuvent entraver un accès équitable aux marchés du PTP; évalue l’incidence des accords sur le commerce et l’investissement sur les travailleurs, les entreprises et les secteurs canadiens. Ces évaluations devraient éclairer l’élaboration de futurs accords progressifs sur le commerce et l’investissement et, avant la ratification d’un accord sur le commerce et l’investissement, produire un rapport sur les résultats économiques, sociaux, environnementaux, sociaux et autres attendus en lien avec cet accord.
    • La réponse du gouvernement canadien appuie les recommandations du rapport, en affirmant qu’il est résolu, tout comme le Comité, à faire en sorte que des accords sur le commerce reflètent les intérêts des régions et des intervenants partout au Canada.
    • Pour lire le rapport complet et la réponse du gouvernement du Canada, veuillez consulter : Rapport 6 — L’Accord du Partenariat transpacifique : avantages et défis pour les Canadiens et la Réponse du gouvernement.
  3. Le Comité sénatorial permanent des affaires étrangères et du commerce international (AEFA) : Treizième rapport — Les relations entre le Canada et l’Argentine — À l’aube d’une nouvelle ère? (Le Comité a déposé son rapport le 1er juin 2017; le Sénat a adopté le rapport le 18 octobre 2017; la réponse du gouvernement a été présentée au Sénat le 27 février 2018).
    • Le rapport formule sept recommandations fondées sur les témoignages d’intervenants et du grand public partout au Canada. Le rapport recommande que le gouvernement du Canada élabore et mette à jour les politiques et les cadres bilatéraux et multilatéraux pertinents, y compris la Stratégie pour les Amériques et le Plan d’action pour les marchés mondiaux, afin de refléter les nouvelles priorités de l’Argentine et de tenir compte des nouvelles tendances régionales; que le gouvernement du Canada élargisse son engagement avec l’Argentine et partage son expertise sur les technologies propres et l’énergie renouvelable, notamment en ce qui concerne l’énergie solaire, éolienne et hydroélectrique. Le Canada et l’Argentine devraient également échanger des idées sur les mesures incitatives pour améliorer les habitudes de conservation et élaborer une stratégie de communication sur l’efficacité énergétique pour les consommateurs et l’industrie argentins; à la lumière des possibilités dans le secteur minier en général ainsi que dans l’industrie pétrolière et gazière en particulier, le gouvernement du Canada crée des partenariats avec l’Argentine qui sont fondés sur la prestation de services de soutien pertinents; en plus d’accroître les investissements et le partage de technologie et de savoir-faire technique, les partenariats devraient également être encouragés pour partager l’expertise en matière de cadres réglementaires et de relations fédérales-provinciales; le gouvernement du Canada tire parti de l’initiative récemment lancée entre l’Association minière du Canada et la Cámara Argentina de Empresarios Mineros à l’appui de projets conjoints qui encouragent la responsabilité sociale d’entreprise plus largement en Amérique du Sud et dans les entreprises; Exportation et développement Canada entreprenne un examen immédiat des niveaux de service qu’il offre aux entreprises canadiennes qui s’intéressent au marché argentin; le gouvernement du Canada ainsi que les établissements et les ordres de gouvernement appropriés examinent la possibilité de mettre en place un programme de bourses qui facilite les échanges d’étudiants entre le Canada et l’Argentine; le gouvernement du Canada offre de l’aide à l’Argentine alors qu’il examine l’option de revoir son cadre fédéral-provincial et étudie de nouvelles formules de péréquation.
    • La réponse du gouvernement canadien appuie les recommandations du rapport, notant que le gouvernement a mis en œuvre une solide stratégie de réengagement avec l’Argentine depuis l’élection du président Macri.
    • Pour lire le rapport complet et la réponse du gouvernement du Canada, veuillez consulter : Rapport 13 — Les relations entre le Canada et l’Argentine — À l’aube d’une nouvelle ère? et la Réponse du gouvernement.
  4. Sous-comité des droits internationaux de la personne de la Chambre des communes (SDIR) du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international (FAAE) : Huitième rapport — Penser au lendemain : Planifier la protection des minorités religieuses et ethniques après la défaite de Daesh en Irak (rapport adopté par le Comité le 4 avril 2017; rapport présenté à la Chambre des communes le 10 avril 2017; réponse du gouvernement présentée à la Chambre des communes le 19 juillet 2017).
    • Ce rapport, qui s’inspire d’une étude sur la situation des droits de la personne des Yézidis, des chrétiens et d’autres minorités religieuses et ethniques en Syrie et en Irak, a pour principaux objectifs d’articuler le contexte dans lequel Daech s’est développé, de décrire le contexte local dans lequel la reconstruction post-Daech aura lieu et de formuler des recommandations concernant les futures activités de stabilisation visant à reconstituer les communautés et à assurer la sécurité physique et politique.
    • Le rapport formule cinq recommandations fondées sur les témoignages d’intervenants au Canada et à l’étranger. Le rapport recommande au gouvernement : d’être attentif aux mesures d’action immédiate pour protéger les plus vulnérables; de travailler à établir un consensus local concernant la protection et la sécurité des minorités religieuses et ethniques; de donner la priorité à l’identification des groupes qui peuvent être à risque de violence future et d’élaborer des stratégies post-conflit; de soutenir la capacité des organes judiciaires à poursuivre les coupables d’infractions pénales; de travailler à la prévention des atrocités futures et des violations des droits de la personne contre les minorités ethniques et religieuses de l’Irak.
    • La réponse du gouvernement canadien appuie les recommandations du rapport, notant que les recommandations du Comité sont conformes aux quatre piliers de la « stratégie pour soutenir la Coalition mondiale contre Daech et la mobilisation élargie en Irak, en Syrie, en Jordanie et au Liban ».
    • Pour lire le rapport complet et la réponse du gouvernement du Canada, veuillez consulter : Rapport 8 — Penser au lendemain : Planifier la protection des minorités religieuses et ethniques après la défaite de Daesh en Irak et la Réponse du gouvernement.
  5. Sous-comité des droits internationaux de la personne (SDIR) du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international (FAAE) de la Chambre des communes : Onzième rapport — Terres brûlées : agir face au conflit, aux violations des droits de la personne et à la catastrophe humanitaire causée par l’homme au Soudan du Sud (rapport adopté par le Comité le 13 juin 2017; rapport présenté à la Chambre des communes le 14 juin 2017; réponse du gouvernement présentée à la Chambre des communes le 6 octobre 2017).
    • Ce rapport visait à étudier la situation des droits de l’homme au Soudan du Sud en écoutant des représentants de diverses organisations internationales ainsi que d’Affaires mondiales Canada.
    • Le rapport contenait neuf recommandations fondées sur les témoignages de témoins. Le rapport recommande que le gouvernement : condamne les violations des droits de la personne commises par toutes les parties dans le cadre du conflit au Soudan du Sud; appuie l’enquête sur d’éventuels crimes de guerre au Soudan du Sud et surveille de près les violences perpétrées pour déceler tout signe d’escalade potentielle vers un génocide; élabore et applique, en consultation et en coordination avec ses partenaires internationaux, une stratégie visant à garantir un accès ininterrompu aux travailleurs humanitaires et au développement; appuie le mandat de la Mission des Nations Unies dans la République du Soudan du Sud pour fournir une aide humanitaire; encourage le déploiement rapide et efficace de la Force régionale de protection pour rejoindre la Mission des Nations Unies en République du Soudan du Sud; continue à travailler avec ses partenaires internationaux et la mission du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés, et invite les États membres des Nations Unies à prendre et à respecter des engagements visant à verser un financement accru et à plus long terme pour la protection des réfugiés dans la région; accorde la priorité à la responsabilité dans son rôle en tant que membre de la Commission mixte de suivi et d’évaluation; collabore avec le gouvernement du Soudan du Sud pour veiller à ce que son dialogue national ne remplace pas la mise en place de mesures de responsabilisation prévues dans l’Accord de résolution du conflit au Soudan du Sud; mette à jour et élargisse ses sanctions ciblées visant les hauts dirigeants dans le conflit au Soudan du Sud et impose un embargo sur la vente d’armes au Soudan du Sud dès que possible, tout en invitant d’autres états qui partagent son point de vue à en faire autant.
    • La réponse du gouvernement est en accord avec la majorité des recommandations du rapport. Les réponses sont classées en trois groupes : les recommandations relatives à l’engagement bilatéral avec le gouvernement du Soudan du Sud, l’engagement dans les organisations multilatérales et les contributions du Canada aux efforts de surveillance des droits de la personne. Parmi les recommandations, elle a pris en considération la recommandation 5 (promouvoir le déploiement de la Force de protection régionale) et la recommandation 9 (sanctions ciblées) en délibéré.
    • Pour lire le rapport complet et la réponse du gouvernement du Canada, veuillez consulter : Rapport 11 — Terres brûlées : agir face au conflit, aux violations des droits de la personne et à la catastrophe humanitaire causée par l’homme au Soudan du Sud et la Réponse du gouvernement.
  6. Comité permanent du commerce international de la Chambre des communes (CIIT) : Septième rapport — La capacité de l’industrie canadienne de l’acier à soutenir la concurrence internationale (rapport adopté par le Comité le 8 juin 2017; rapport présenté à la Chambre des communes le 15 juin 2017; réponse du gouvernement présentée à la Chambre des communes le 17 octobre 2017).
    • Le rapport, qui s’inspire d’une étude sur la capacité de l’industrie canadienne de l’acier à soutenir la concurrence internationale, a pour objectif principal d’évaluer dans quelle mesure l’industrie canadienne de l’acier est en mesure de soutenir la concurrence internationale.
    • Le rapport formule huit recommandations fondées sur les témoignages des intervenants. Le rapport recommande que le gouvernement : participe aux discussions et aux initiatives des organisations internationales qui veulent trouver des solutions à la capacité excédentaire mondiale de production d’acier; augmente la visibilité des services et des outils de recours commerciaux offerts aux entreprises canadiennes; travaille avec ses plus proches partenaires commerciaux pour s’assurer que ces pays et le Canada disposent de mécanismes de recours commercial adéquats et efficaces et que le Canada ne devienne pas un lieu de dumping étranger pour l’acier; se réserve le droit d’utiliser des méthodes autres que les prix sur le marché du pays exportateur pour établir la marge de dumping lorsque les pays étrangers ne peuvent prouver qu’ils opèrent dans les conditions d’une économie de marché; considère les conséquences du dumping et des subventions compensatoires pour toutes les régions du Canada dans les enquêtes sur les importations d’acier au Canada et qu’il étude l’incidence d’imposer des droits antidumping ou compensateurs régionaux ou nationaux; aide les producteurs canadiens d’acier à tirer profit de la faible empreinte de carbone de l’acier canadien comparativement à l’acier étranger; préserve et favorise le commerce équitable en continuant à traiter la Chine comme une économie non marchande; accorde aux organisations syndicales un rôle accru dans le mécanisme de recours commercial du Canada.  
    • La réponse du gouvernement canadien appuie les recommandations du rapport, en affirmant qu’il est résolu, tout comme le Comité, à assurer le succès des entreprises sidérurgiques canadiennes concurrentes à l’étranger.
    • Pour lire le rapport complet et la réponse du gouvernement du Canada, veuillez consulter : Rapport 7 — La capacité de l’industrie canadienne de l’acier à soutenir la concurrence internationale et la Réponse du gouvernement.
  7. Comité sénatorial permanent des affaires étrangères et du commerce international (AEFA) : Seizième rapport — Aggravation de la crise au Venezuela : enjeux pour le Canada et la région (Le comité a déposé son rapport le 20 juillet 2017; le rapport a été adopté par le Sénat le 26 octobre 2017; la réponse du gouvernement a été présentée au Sénat le 15 mars 2018).
    • Le rapport formule 11 recommandations fondées sur les témoignages d’intervenants et du grand public partout au Canada. Le rapport recommande que : le Canada, en tant que « pays des Amériques », a d’énormes enjeux dans une issue favorable à la crise vénézuélienne; de plus, son réseau de liens de plus en plus étroits avec des pays clés de la région, son profil dans l’Organisation des États américains et son engagement envers la promotion des valeurs démocratiques, la primauté du droit et les droits de la personne offrent au Canada de nombreuses occasions de jouer un rôle de leadership dans l’hémisphère; le gouvernement du Canada assume un rôle de leadership dans la résolution de la crise humanitaire du Venezuela et veille à ce que l’aide humanitaire soit fournie à ceux qui en ont le plus besoin; le Comité presse le gouvernement du Canada de continuer à soutenir des projets du Fonds canadien d’initiatives locales de l’ambassade canadienne qui portent sur le renforcement de la capacité des organisations non gouvernementales vénézuéliennes engagées dans la santé et le bien-être social; le gouvernement du Canada accorde la priorité aux efforts régionaux pour travailler avec le président Maduro dans le but de permettre dans un avenir proche aux groupes humanitaires internationaux de mener à bien une mission d’évaluation des besoins humanitaires, ainsi que pour assurer un accès complet, sécuritaire et sans obstacle au personnel humanitaire et à l’aide humanitaire conformément aux normes internationales; le gouvernement canadien renforce son soutien aux organisations internationales comme le Comité international de la Croix-Rouge et les organismes spécialisés des Nations Unies, qui sont prêts à offrir de l’aide humanitaire au Venezuela sur l’invitation de son gouvernement; le gouvernement du Venezuela et les dirigeants de l’opposition, ainsi que les intervenants régionaux et internationaux, adoptent des mesures significatives et constructives qui amélioreront fondamentalement la situation politique, économique et humanitaire dans le pays; le président Maduro exerce ses pleins pouvoirs de manière positive qui respecte les droits et les responsabilités des citoyens vénézuéliens, en particulier ses représentants élus et ses fonctionnaires judiciaires; toutes les parties impliquées dans la crise respectent les institutions politiques du Venezuela et respectent les engagements internationaux du pays liés aux processus démocratiques, à la primauté du droit et au respect des droits de la personne; on s’abstient d’avoir recours à la violence et de politiser les processus démocratiques et juridiques; le gouvernement du Canada tire profit de son réseau de liens bilatéraux et régionaux dans le cadre de l’Organisation des États américains et d’autres institutions; les parlementaires du Sénat du Canada et de la Chambre des communes envisagent une initiative conjointe qui favorise l’établissement de la confiance et la médiation parmi les principaux intervenants de la crise au Venezuela.
    • La réponse du gouvernement canadien a accueilli favorablement les recommandations du rapport et a répondu en fonction de trois thèmes : une pression accrue sur Maduro, un soutien à la population vénézuélienne et une contribution à des négociations significatives.
    • Pour lire le rapport complet et la réponse du gouvernement du Canada, veuillez consulter : Rapport 16 — Aggravation de la crise au Venezuela : enjeux pour le Canada et la région et la Réponse du gouvernement.
  8. Comité permanent des affaires étrangères et du développement international de la Chambre des communes (FAAE) : Treizième rapport — Renforcement de l’engagement du Canada en Europe de l’Est et en Asie centrale (rapport adopté par le Comité le 7 novembre 2017; rapport présenté à la Chambre des communes le 22 novembre 2017; réponse du gouvernement présentée à la Chambre des communes le 19 mars 2018).
    • Le rapport s’inspire en partie de la visite du Comité en Pologne, en Lettonie, en Ukraine et au Kazakhstan en janvier 2017. L’objectif de cette visite était de recueillir des renseignements de première main pour l’étude du Comité sur l’engagement du Canada en Europe de l’Est et en Asie centrale 25 ans après la fin de la Guerre froide. À la suite de cette mission d’enquête, le Comité a tenu six réunions à Ottawa pour compléter ses conclusions.
    • Le rapport formule 10 recommandations visant à renforcer l’engagement du Canada en Europe de l’Est et en Asie centrale, et plus particulièrement en Pologne, en Lettonie, en Ukraine et au Kazakhstan. Le rapport recommande que le gouvernement : poursuive ses sanctions contre les responsables russes et les responsables de la Crimée après l’annexion; continue d’appuyer les efforts multilatéraux, y compris par l’OSCE, l’OTAN, l’ONU et d’autres organisations internationales, afin de résoudre l’invasion militaire de la Russie et l’annexion illégale du territoire de Crimée; continue de veiller à ce que l’aide internationale canadienne à l’Ukraine profite aux populations les plus vulnérables du pays; le gouvernement du Canada devrait travailler avec ses alliés de l’Europe de l’Est, de l’Asie centrale et ailleurs afin d’améliorer les mécanismes de défense collective contre les cyberattaques; demeure déterminé à faire preuve de leadership en matière de sécurité par des déploiements continus dans le cadre de l’opération REASSURANCE; travaille avec les milieux d’affaires canadiens pour collaborer avec des représentants du gouvernement, la société civile et les chefs d’entreprise dans tous les pays touchés par l’occupation soviétique; miser sur les efforts multilatéraux et bilatéraux existants qui appuient le renforcement des valeurs démocratiques, la bonne gouvernance, la démocratie participative, la primauté du droit et l’inclusion sociale des groupes marginalisés comme les femmes, la communauté LGBTI et les populations autochtones; travaille avec le milieu des affaires canadien pour appuyer et promouvoir les possibilités commerciales en Europe de l’Est et en Asie centrale; envisage des mesures visant à améliorer l’efficacité du processus de demande de visa sans compromettre les considérations relatives à la sécurité canadienne ni les priorités nationales; collaborer avec les gouvernements d’Europe de l’Est et d’Asie centrale sur les cadres de partenariat orientés sur les jeunes.
    • La réponse du gouvernement canadien appuie la majorité des recommandations du rapport, dont bon nombre sont conformes aux approches actuelles du Canada.
    • Pour lire le rapport complet et la réponse du gouvernement du Canada, veuillez consulter : Rapport 13 — Renforcement de l’engagement du Canada en Europe de l’Est et en Asie centrale et la Réponse du gouvernement.
  9. Comité permanent de la défense nationale de la Chambre des communes (NDDN) : Huitième rapport — L’aide du Canada à l’Ukraine en période de crise et de conflit armé (rapport adopté par le Comité le 6 décembre 2017; rapport présenté à la Chambre des communes le 11 décembre 2017; réponse du gouvernement présentée à la Chambre des communes le 28 mars 2018).
    • L’introduction du rapport note que la crise en Ukraine préoccupe le NDDN depuis un certain temps, c’est pourquoi le Comité a décidé d’entreprendre une étude sur le sujet. Entre le 23 et le 26 septembre 2017, certains membres du Comité se sont rendus en Ukraine afin de mieux comprendre la situation sur le terrain et d’évaluer ce que le Canada pourrait faire de plus pour aider l’Ukraine sur le plan militaire.
    • Le rapport contient 17 recommandations visant principalement à renforcer l’aide militaire du Canada à l’Ukraine et la façon dont cette aide pourrait être renforcée dans un proche avenir. Le rapport recommande que le gouvernement : continue de fournir une solide formation militaire aux Forces armées ukrainiennes et qu’il cherche des occasions d’élargir le type de formation et de soutien offert par les Forces armées canadiennes dans le cadre de l’opération UNIFIER; renforce la contribution du Canada à la formation militaire, policière, judiciaire et anticorruption au-delà de l’expiration des accords de financement actuels; facilite des relations plus étroites entre le parlement, y compris une aide éventuelle à l’élaboration de mécanismes, d’institutions et de formation anticorruption, comme le demandent les représentants ukrainiens; augmente la contribution du Canada à la Mission spéciale de surveillance de l’OSCE en Ukraine; préconise une mission de maintien de la paix des Nations Unies en Ukraine qui respecte son intégrité territoriale; accroisse le soutien du Canada à la promotion de l’égalité entre les sexes par l’entremise du Programme canadien de développement en Ukraine; fournisse des armes meurtrières à l’Ukraine pour protéger sa souveraineté contre l’agression russe; ajoute l’Ukraine à la Liste des pays désignés (armes automatiques); rétablisse la pratique consistant à fournir des images RADARSAT-2; participe à l’échange de capacités d’échange de renseignements avec l’Ukraine; encourage la collaboration entre l’Ukraine et les industries canadiennes de défense; s’engage à soutenir l’Ukraine dans sa résistance aux attaques de guerre hybrides, en particulier en ce qui concerne les cyberattaques contre les systèmes gouvernementaux et les infrastructures essentielles; affecte le personnel de cyber-sécurité des Forces armées canadiennes aux opérations de cyberdéfense ukrainiennes pour aider à la surveillance et à la défense contre les communications connexes, la guerre hybride et les cyberattaques contre les infrastructures essentielles ukrainiennes; prévoit d’accorder aux Ukrainiens un voyage sans visa au Canada; rétablisse l’Accord sur la mobilité des jeunes avec l’Ukraine; envisage de promouvoir les intérêts ukrainiens au G7; aide au développement des relations et du dialogue ouvert entre le gouvernement ukrainien et les groupes de la société civile; élargisse les sanctions du Canada, y compris l’application de la Loi sur la justice pour les victimes de dirigeants étrangers corrompus (loi Sergueï Magnitsky), contre ceux qui sont responsables de contribuer au conflit armé en Ukraine.
    • La réponse du gouvernement canadien appuie bon nombre des recommandations du rapport, soulignant qu’elles sont conformes à l’approche actuelle du Canada pour soutenir la sécurité, la stabilité et la prospérité économique de l’Ukraine. En ce qui concerne la recommandation qui demandait au gouvernement de fournir des armes meurtrières à l’Ukraine pour protéger sa souveraineté de l’agression russe, le gouvernement n’envisage pas activement cette option et reste en contact avec le gouvernement de l’Ukraine au sujet de ses demandes relatives à l’équipement militaire.
    • Pour lire le rapport complet et la réponse du gouvernement du Canada, veuillez consulter : Rapport 8 — L’aide du Canada à l’Ukraine en période de crise et de conflit armé et la Réponse du gouvernement.
  10. Comité permanent du commerce international de la Chambre des communes (CIIT) : Huitième rapport — Priorités des intervenants canadiens ayant un intérêt dans le commerce bilatéral et trilatéral en Amérique du Nord, entre le Canada, les États-Unis et le Mexique (rapport adopté par le Comité le 6 décembre 2017; rapport présenté à la Chambre des communes le 12 décembre 2017; réponse du gouvernement présentée à la Chambre des communes le 8 mars 2018).
    • Ce rapport, qui s’inspire d’une étude sur les priorités des intervenants canadiens ayant un intérêt dans le commerce bilatéral et trilatéral en Amérique du Nord, entre le Canada, les États-Unis (É.-U.) et le Mexique, a pour but d’évaluer l’intérêt de ces pays dans le commerce bilatéral et trilatéral en Amérique du Nord.
    • Le rapport formule 28 recommandations fondées sur les témoignages d’intervenants au Canada et à l’étranger. Le rapport recommande que le gouvernement : prenne des mesures visant à sensibiliser davantage ses homologues américains à la valeur des relations commerciales entre le Canada et les États-Unis; continue d’utiliser une approche pangouvernementale pour expliquer l’importance des relations commerciales entre le Canada et les États-Unis; durant les négociations de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) donne la priorité aux résultats qui favoriseraient les exportations canadiennes, augmenteraient les salaires et réduiraient les inégalités de revenu et de richesse; travaille avec les États-Unis et le Mexique pour que les négociations de l’ALENA continuent d’être trilatérales; durant les négociations de l’ALENA, recherche des changements qui rendraient l’accord plus progressif; mène de vastes et significatives consultations avec les Canadiens durant les négociations commerciales et durant les négociations de l’ALENA, et durant les négociations de l’ALENA, consulte régulièrement les représentants provinciaux et territoriaux; continue de prévoir un accord de libre-échange avec les 11 pays qui sont actuellement membres du Partenariat transpacifique; durant les négociations de l’ALENA, accorde la priorité aux résultats qui ne causent aucun dommage; aborde les obstacles non tarifaires qui empêchent un accès équitable aux marchés nord-américains; durant les négociations de l’ALENA, défendre les systèmes de gestion de l’approvisionnement du Canada; continue ses négociations avec le gouvernement américain pour régler les conflits entre les pays concernant les importations américaines de certains produits du bois d’œuvre résineux canadiens; fasse activement la promotion des services de stimulation du commerce à la disposition des petites et moyennes entreprises, entreprises appartenant à des femmes et à des communautés multiculturelles du Canada; fasse la promotion de la formation en commerce offerte dans les collèges et les universités ainsi que des possibilités d’association avec des entreprises relativement à la capacité immédiate d’exporter; durant les négociations de l’ALENA, s’oppose aux changements aux dispositions relatives aux règles d’origine; durant les négociations de l’ALENA, envisage le modèle fourni par l’Accord sur le partage de la production de défense entre le Canada et les États-Unis puisqu’il prévoit un traitement national pour les entreprises canadiennes dans le secteur des marchés publics américains; en collaboration avec les gouvernements des États-Unis et du Mexique, réduise le temps nécessaire pour que les marchandises franchissent les frontières en Amérique du Nord et modernise les processus requis pour que les marchandises et les personnes franchissent les frontières communes; durant les négociations de l’ALENA, travaille avec les gouvernements des États-Unis et du Mexique pour éliminer le fardeau administratif et harmonise davantage la règlementation lorsque c’est possible de le faire; durant les négociations de l’ALENA, prévoit des dispositions qui pourraient donner de nouvelles occasions aux entreprises canadiennes de prendre part à des activités commerciales en ligne; durant les négociations de l’ALENA, s’oppose à l’élimination de l’exemption culturelle; durant les négociations de l’ALENA, s’oppose aux dispositions qui réduiraient la capacité du Canada de s’assurer que le régime de propriété intellectuelle canadienne équilibre les intérêts des détenteurs de droits et des utilisateurs; durant les négociations de l’ALENA, s’oppose aux changements qui réduiraient les engagements existants en matière de mobilité; durant les négociations de l’ALENA, travaille pour s’assurer que les dispositions relatives aux investissements permettent aux gouvernements de réglementer l’intérêt du public; durant les négociations de l’ALENA, défende les mécanismes de règlement des différends des chapitres 19 et 20; durant les négociations de l’ALENA, prévoit des dispositions environnementales qui renforceraient les normes environnementales; durant les négociations de l’ALENA, prévoit des normes rigoureuses et applicables; durant les négociations de l’ALENA, s’assurer que les sexes demeurent une considération importante; durant les négociations de l’ALENA, continue de défendre la création d’un chapitre sur les Autochtones et cherche à inclure des principes contenus dans la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones.   
    • La réponse du gouvernement canadien appuie les recommandations du rapport, notant que le gouvernement partage l’engagement du Comité de maintenir les éléments de l’ALENA qui sont essentiels à nos intérêts économiques nationaux, tout en faisant progresser les possibilités de rendre l’ALENA plus progressiste et plus concluant.
    • Pour lire le rapport complet et la réponse du gouvernement du Canada, veuillez consulter : Rapport 8 — Priorités des intervenants canadiens ayant un intérêt dans le commerce bilatéral et trilatéral en Amérique du Nord, entre le Canada, les États-Unis et le Mexique et la Réponse du gouvernement.
  11. Comité permanent des affaires étrangères et du développement international de la Chambre des communes (FAAE: Quatorzième rapport — Faire progresser nos relations : La modernisation de l’ALENA et la coopération trilatérale en Amérique du Nord (rapport adopté par le Comité le 12 décembre 2017; rapport présenté à la Chambre des communes le 30 janvier 2018; réponse du gouvernement présentée à la Chambre des communes le 30 mai 2018).
    • Le présent rapport, qui s’inspire des missions d’enquête du Comité à Mexico, à New York et à Washington, D.C., a pour objectif principal d’évaluer les pourparlers sur la modernisation de l’ALENA et les possibilités de renforcer la coopération bilatérale entre le Canada et le Mexique et entre le Canada et les États-Unis.
    • Le rapport formule six recommandations fondées sur des discussions avec les législateurs, les décideurs et d’autres intervenants. Le rapport recommande que le gouvernement : continue de travailler avec ses partenaires mexicains et américains pour moderniser l’ALENA; ne fixe pas d’échéances arbitraires pour la conclusion des pourparlers de modernisation de l’ALENA; travaille avec des groupes d’entreprises, des syndicats et d’autres intervenants pour assurer la diffusion d’informations exactes sur l’ALENA; coopère avec le gouvernement du Mexique dans la poursuite d’objectifs communs dans les négociations de l’ALENA; continue de renforcer sa coopération en matière de politique étrangère avec le Mexique; travaille avec des fonctionnaires du Mexique et des États-Unis et d’autres partenaires pour élaborer de nouveaux mécanismes de dialogue et d’échange au sein de l’Amérique du Nord.
    • La réponse du gouvernement canadien appuie les recommandations du rapport, notant que le gouvernement continue d’engager un dialogue constructif avec le Mexique et les États-Unis pour moderniser l’ALENA et reconnaît l’importance d’une collaboration et d’une coopération continues avec nos partenaires nord-américains.
    • Pour lire le rapport complet et la réponse du gouvernement du Canada, veuillez consulter : Rapport 14 — Faire progresser nos relations : La modernisation de l’ALENA et la coopération trilatérale en Amérique du Nord et la Réponse du gouvernement.
  12. Sous-comité des droits internationaux de la personne (SDIR) du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international (FAAE) de la Chambre des communes : Quinzième rapport — Une lutte mondiale : appuyer les mesures contre le trafic sexuel en Asie du Sud (rapport adopté par le Comité le 1er février 2018; rapport présenté à la Chambre des communes le 15 février 2018; réponse du gouvernement présentée à la Chambre des communes le 13 juin 2018).
    • Ce rapport a étudié le trafic sexuel en Asie du Sud, une région où le trafic sexuel est particulièrement répandu. L’étude du Sous-comité s’est concentrée sur six pays d’Asie du Sud : Bangladesh, Bhoutan, Inde, Maldives, Népal et Sri Lanka. L’objectif de cette étude était de cibler les mesures de lutte contre le trafic sexuel que le gouvernement du Canada pourrait intégrer dans ses initiatives dans la région.
    • Le rapport contenait quatre recommandations fondées sur les témoignages de témoins. Le rapport recommande que le gouvernement : utilise tous les moyens pour encourager les États d’Asie du Sud à s’acquitter de leurs obligations en vertu de la Convention des Nations Unies contre la corruption et à s’attaquer à l’incidence de la corruption sur les initiatives nationales existantes de lutte contre la traite des personnes; apporte un soutien concret aux efforts régionaux pour recueillir des preuves et des informations sur la nature de la traite sexuelle en Asie du Sud; réduise la vulnérabilité des femmes et des filles à la traite des personnes — et du trafic sexuel commercial en particulier — un objectif spécifique dans ses relations bilatérales dans la région et une mesure permettant d’évaluer ses programmes et sa politique d’aide internationale; donne la priorité au soutien aux organisations non gouvernementales travaillant à la prévention du trafic sexuel et à la réhabilitation des survivants en Asie du Sud dans ses programmes d’aide internationale.
    • La réponse du gouvernement canadien est en accord avec la majorité des recommandations du rapport et examinera attentivement la deuxième recommandation sur l’amélioration de la collecte de données et de la capacité de détection afin de tenir les auteurs de crimes responsables de leurs actes.
    • Pour lire le rapport complet et la réponse du gouvernement du Canada, veuillez consulter : Rapport 15 — Une lutte mondiale : appuyer les mesures contre le trafic sexuel en Asie du Sud et la Réponse du gouvernement.
  13. Comité permanent des affaires étrangères et du développement international de la Chambre des communes (FAAE) : Dix-septième rapport — Focalisation, indépendance et patience : Bâtir une institution de financement du développement canadien de calibre mondial (rapport adopté par le Comité le 15 février 2018; rapport présenté à la Chambre des communes le 20 mars 2018; la réponse du gouvernement présentée le 22 août 2018).
    • Ce rapport s’inspire de l’étude du Comité sur la prochaine institution financière de développement (IFD), dont l’objectif principal est de guider le gouvernement dans sa mise en place. 
    • Le rapport formule six recommandations fondées sur les témoignages de représentants du gouvernement, de la société civile, d’universitaires et d’intervenants. Le rapport recommande que le gouvernement : conçoive son IFD afin de prioriser les résultats de développement et d’élaborer des solutions novatrices aux défis actuels en matière de développement; concentre le mandat de l’IFD sur la stimulation de l’investissement privé pour le développement international en équilibrant l’objectif des résultats de développement et le profit; veille à ce que l’IFD complète, et ne remplace pas, l’aide officielle au développement; reconnaisse que l’importance accordée aux résultats de développement comporte un risque financier accru; établisse un conseil d’administration composé d’experts indépendants ayant de l’expérience en gestion financière et en développement international; permette à l’IFD de poursuivre son mandat de façon indépendante tout en s’assurant qu’il fonctionne conformément aux valeurs et aux intérêts canadiens; fournisse à l’IFD une période d’au moins 10 ans pour démontrer sa capacité de s’acquitter de son mandat d’une façon financièrement durable; s’engage à fournir du financement supplémentaire pendant cette période de 10 ans, au besoin; mette en œuvre des mécanismes de transparence et de responsabilisation qui correspond ou dépasse les normes établies par les IFD dans d’autres pays.
    • Pour lire le rapport complet et la réponse du gouvernement du Canada, veuillez consulter : Rapport 17 — Initiative canadienne de financement du développement et la Réponse du gouvernement.

Réponse aux audits menés par le Bureau du vérificateur général du Canada (y compris les audits menés par la commissaire à l’environnement et au développement durable)

  1. Automne 2017 - Rapports de la commissaire à l’environnement et au développement durable : Rapport 2 - L’adaptation aux impacts des changements climatiques
    • L’audit visait à déterminer si les principaux ministères et organismes fédéraux avaient pris des mesures appropriées en vue de s’adapter aux impacts des changements climatiques et s’ils avaient pris des mesures pour atténuer les risques hautement prioritaires liés aux changements climatiques dans leurs secteurs de responsabilité. Affaires mondiales Canada, tout comme 10 autres entités, est nommé dans l’une des cinq recommandations du rapport. Pour lire les réponses d’Affaires mondiales Canada, veuillez consulter le Rapport 2 - L’adaptation aux impacts des changements climatiques
  2. Printemps 2018 - Rapports de la commissaire à l’environnement et au développement durable : Rapport 2 - L’état de préparation du Canada pour la mise en œuvre des objectifs de développement durable des Nations Unies
  3. Printemps 2018 - Rapports du vérificateur général du Canada : Rapport 7 - Les services consulaires aux Canadiens et aux Canadiennes à l’étranger - Affaires mondiales Canada
    • L’audit visait à déterminer si Affaires mondiales Canada avait répondu adéquatement aux demandes d’assistance consulaire des Canadiens voyageant ou vivant à l’étranger. Au total, sept recommandations ont été formulées comme suite aux constatations de l’audit. Pour lire les réponses d’Affaires mondiales Canada, veuillez consulter le Rapport 7 - Les services consulaires aux Canadiens et aux Canadiennes à l’étranger

Réponse aux audits externes effectués par la Commission de la fonction publique du Canada ou le Commissariat aux langues officielles

S.O.

Financement pluriannuel initial - Centre pour l’innovation dans la gouvernance internationale

Nom du bénéficiaire : Centre pour l’innovation dans la gouvernance internationale (CIGI) (en anglais)

Date de mise en œuvre : 30 janvier 2003

Date d’échéance : En cours

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien à l’AAP du ministère : Programme 1.2 : Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux

Description : Le CIGI appuie la recherche de pointe dans le domaine de la gouvernance mondiale, et plus particulièrement en matière de gouvernance économique et financière mondiale, de sécurité internationale et de droit international. Le CIGI contribue à l’avancement des intérêts du Canada en ce qui a trait à la présence d’un système mondial stable et bien géré, et ce, en réunissant des universitaires, des experts en politique et des chercheurs du monde entier en vue de formuler des recommandations sur des questions pressantes touchant les développements internationales. En 2003, le gouvernement du Canada a versé 30 millions de dollars au CIGI, lequel a contribué autant. Ce financement a par la suite été bonifié par d’autres donateurs des secteurs publics et privés afin de constituer un fonds de dotation. Le CIGI continue d’être financé par le produit de ce fonds.

Commentaires sur les écarts : S.O.

Résultats importants de l’audit effectué par le bénéficiaire au cours de l’exercice visé par le rapport, et plan futur : Le CIGI a publié le rapport annuel de 2017 (en anglais) sur ses activités, qui intègre des états financiers. Le rapport annuel de 2018 sera publié après l’année civile.

Résultats importants de l’évaluation effectuée par le bénéficiaire au cours de l’exercice visé par le rapport, et plan futur : Conformément à l’entente de financement conclue en 2003 avec Affaires mondiales Canada, le CIGI a récemment mené à bien la troisième évaluation indépendante pour mesurer son rendement global quant à l’atteinte des résultats attendus.

L’évaluation s’articule autour de six normes d’évaluation : pertinence, efficacité, incidence, planification, gestion et efficience et analyse comparative. L’évaluation a employé un ensemble de méthodes pour recueillir et croiser les données de diverses sources au moyen de techniques quantitatives et qualitatives. Cette approche a permis de dégager des constatations rigoureuses fondées sur des données probantes qui, à leur tour, ont permis de tirer des conclusions éclairées et validées, et de formuler des recommandations.

Pertinence : Les objectifs, les stratégies et les programmes du CIGI cadrent clairement avec l’entente de financement conclue avec le gouvernement fédéral. Les objectifs énoncés dans l’entente de financement fédérale sont les suivants : 1) appuyer la recherche de calibre mondial dans le domaine de la gouvernance internationale, en particulier de la gouvernance financière et économique mondiale; 2) contribuer à l’avancement des intérêts du Canada en ce qui a trait à la présence d’un système économique mondial stable et bien géré de façon à améliorer le niveau de vie et la qualité de vie de sa population. Plus précisément, le financement est assorti de six objectifs qui sont liés aux objectifs, aux stratégies et aux activités du CIGI.

Efficacité : Le CIGI utilise son pouvoir de mobilisation pour atteindre ses résultats immédiats en co-construisant des produits de recherche pertinents qui sont régulièrement utilisés par ses parties prenantes nationales et internationales. Le CIGI est régulièrement et de plus en plus souvent mentionné dans les principaux médias internationaux du monde entier, et le groupe de réflexion est très présent dans les médias canadiens, avec des mentions régulières dans tous les principaux médias.

Incidence : L’évaluation des changements transformationnels et durables à long terme doit s’appuyer sur une base de données longitudinales substantielle. Les données probantes recueillies jusqu’ici indiquent que le CIGI fait des progrès en vue d’atteindre ses résultats finaux, mais que leur atteinte définitive n’est pas encore discernable. Les entrevues d’informateurs clés indiquent que les efforts du CIGI à l’égard des acteurs multilatéraux, comme les programmes sur le G20, la gouvernance d’Internet ou le Conseil mondial pour les réfugiés, ont été les plus visibles et ont eu le plus grand potentiel en termes d’incidence.

Planification : L’évaluation a permis de constater que le CIGI a mis en œuvre les recommandations de la dernière évaluation indépendante réalisée en 2013, notamment celles relatives à l’élaboration de ses stratégies d’innovation, de communication et d’utilisation des infrastructures.

Gestion et efficience : Les activités du CIGI sont suffisamment financées et ont été mises en œuvre dans les limites du budget. Le CIGI a pris des mesures importantes pour favoriser une culture de l’évaluation à des fins d’apprentissage et de responsabilisation, en créant en 2012 une unité d’évaluation et de planification. Le CIGI a appliqué les principes de la gestion axée sur les résultats de façon centralisée et dans le cadre de programmes et de projets. Un modèle logique organisationnel a été adopté, et des données sur le rendement sont maintenant recueillies auprès de tous les ministères pour suivre les progrès dans l’ensemble de l’organisation et sont accessibles au moyen d’un tableau de bord central.

Le nouveau conseil d’administration fusionné est efficace et fonctionne conformément à son mandat de gouvernance, supervisant le CIGI et la bonne mise en œuvre de l’entente de financement. Le conseil gagnerait en évoluant vers une composition plus équilibrée en matière de représentation des sexes et de diversité.

Analyse comparative : Le CIGI se compare très favorablement aux groupes de réflexion de référence. Les classements externes (Global Go To Think Tank Index Report, Transparify) classent généralement le CIGI aux deux ou trois premiers rangs lorsqu’on le compare à d’autres institutions canadiennes, et souvent très favorablement lorsqu’on le compare à l’échelle internationale. Ces classements fournissent une validation externe positive du travail du CIGI. L’examen des données de base des groupes de réflexion de référence au Canada (Institut Fraser, Institut C.D. Howe et Fondation Asie-Pacifique) montre que le CIGI, bien que relativement jeune, est un groupe de réflexion de premier plan au Canada.

Sommaire des résultats atteints par le bénéficiaire : Les objectifs, les stratégies et les programmes du CIGI demeurent conformes à l’entente de financement avec le gouvernement fédéral. Le travail du CIGI dans les domaines de l’économie, de la politique et de la sécurité mondiales ainsi que du droit international est considéré comme très pertinent dans le contexte national et international actuel. Le CIGI a compris que, dans le contexte de la mondialisation, les questions nationales et internationales sont de plus en plus étroitement liées et que les lacunes en matière de gouvernance doivent être abordées sous cet angle.

Le CIGI a réussi à atteindre ses résultats immédiats et intermédiaires en co-construisant des produits de recherche (extrants) pertinents qui sont régulièrement utilisés par ses parties prenantes nationales et internationales.

Le CIGI a apporté d’importantes améliorations à ses approches de communication en augmentant ses capacités de communication externe. La communication interne a été définie par les intervenants comme un aspect de l’organisation qui pourrait être renforcé. Le CIGI est une organisation efficace capable d’obtenir des résultats en respectant les budgets et les calendriers établis. Il a pris au sérieux le suivi, l’évaluation et l’apprentissage et s’est employé à instaurer une culture de suivi et d’évaluation des résultats.

Le CIGI est devenue une institution précieuse et respectée par ses pairs, qui mène des recherches et des analyses de pointe à l’échelle mondiale, influence les décideurs et innove pour combler les lacunes en matière de gouvernance.

Renseignements sur le rendement (en dollars)
Dépenses réelles 2015-2016Dépenses réelles 2016-2017Dépenses prévues 2017-2018Autorisations totales pouvant être utilisées 2017-2018Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2017-2018Écart (dépenses réelles en 2017-2018 moins dépenses prévues en 2017-2018)
000000

Frais

Frais - Accès à l’information

Nom des frais : Frais associés au traitement des demandes présentées en vertu de la Loi sur l’accès à l’information

Pouvoir d’établissement des frais : Article 11 de la Loi sur l’accès à l’information et article 7 du Règlement sur l’accès à l’information

Année de mise en œuvre : 1983

Dernière année de modification : 2016

Norme de rendement : Fournir une réponse dans les 30 jours suivant la réception de la demande; le délai peut être prorogé aux termes de l’article 9 de la Loi sur l’accès à l’information.

Résultats de rendement : Les échéances imposées par la loi ont été respectées 78 % du temps, alors que 43 % des demandes ont été traitées dans une période de 30 jours.

Autres renseignements : Le coût total estimatif est fondé sur un effectif pouvant compter jusqu’à 64 employés à temps plein.

Renseignements financiers (en dollars)
Revenus 2016-2017Revenus 2017-2018Coût 2017-2018Remises 2017-2018
6 2257 0607 142 219S.O.

Frais pour licences d’importation et d’exportation

Nom des frais : Droits s’appliquant à la délivrance de certificats et de licences d’exportation et d’importation - autres produits et services

Pouvoir d’établissement des frais : Loi sur les licences d’exportation et d’importation

Arrêté sur le prix des licences et des certificats en matière d’importation et d’exportation

Année de mise en œuvre : 1995

Dernière année de modification : 1995

Norme de rendement : Délivrer des licences d’importation et d’exportation non stratégiques et non acheminées dans les 15 minutes suivant la réception de la demande; dans les quatre heures de travail suivant la réception de la demande, lorsqu’aucun renseignement ou document additionnel n’est requis, traiter les demandes de licence qui sont automatiquement réacheminées à des agents du Ministère ou qui ont été marquées par le demandeur pour un examen par un agent du Ministère; dans les trois jours ouvrables suivant la réception de la demande, traiter les demandes de permis pour les billots de la Colombie-Britannique, qui sont automatiquement redirigées (acheminées) vers des agents du Ministère; dans les cinq jours ouvrables suivant la réception de la demande, traiter les demandes de permis d’armes à feu, qui sont automatiquement redirigées (acheminées) vers des agents du Ministère; traiter les demandes de licences d’exportation de marchandises et de technologies militaires et stratégiques soumises à un contrôle, qui sont présentées par des exportateurs admissibles ayant produit toutes les pièces justificatives requises, dans un délai de 10 jours ouvrables lorsqu’il n’est pas nécessaire de mener des consultations à l’extérieur de la direction générale, et dans un délai de 40 jours ouvrables si des consultations sont nécessaires.

Résultats de rendement : Les normes de service ont été respectées dans 95 % des cas.

Autres renseignements : S.O.

Renseignements financiers (en dollars)
Revenus 2016-2017Revenus 2017-2018Coût 2017-2018Remises 2017-2018
3 116 6902 924 5827 135 321168 007

Droits à payer pour les services consulaires 

Catégorie de frais : Droits à payer pour les services consulaires

Pouvoir d’établissement des frais : Règlement sur les droits à payer pour les services consulaires au titre de la Loi sur le ministère des Affaires étrangères, du Commerce et du Développement

Année de mise en œuvre : 1995

Dernière année de modification : 1995

Norme de rendement : Les services consulaires sont offerts aux Canadiens 24 heures sur 24, sept jours sur sept, dans environ 260 points de service partout dans le monde. En dehors des heures normales de bureau, les appels sont transférés au Centre de surveillance et d’intervention d’urgence à Ottawa. Les situations d’urgence sont traitées immédiatement.

Les services consulaires fournis aux Canadiens sont décrits en détail dans la Charte des services consulaires canadiens et évalués en fonction de normes de service écrites (établies en 1995) et d’indicateurs qualitatifs et quantitatifs. Les normes de service sont disponibles à l’adresse suivante Services consulaires : Normes de service ainsi que dans les missions à l’étranger, où elles sont affichées ou remises à quiconque souhaite en prendre connaissance.

Les services consulaires sont regroupés sous les catégories de normes de service suivantes :

  1. Protection et assistance
  2. Contact avec les prisonniers
  3. Passeports et citoyenneté
  4. Information – Demandes provenant du Canada/pays tiers
  5. Information – Demandes locales
  6. Services juridiques et notariaux

Les employés consulaires font tout en leur pouvoir pour trouver des solutions à des problèmes précis et pour fournir le service demandé. Cependant, dans de nombreux cas, la marge de manœuvre du Ministère et le succès de ses démarches sont conditionnés par les lois et les règlements en vigueur dans les autres pays, de même que par la qualité et le niveau de la coopération offerte par les personnes ou les organisations externes au gouvernement du Canada.

Les normes de service font actuellement l’objet d’un examen.

Résultats de rendement : Au total des 3 680 Canadiens qui ont rempli le Formulaire de rétroaction des clients en 2017-2018, 91 % ont déclaré qu’ils étaient satisfaits ou très satisfaits des services reçus. Le Ministère a également produit des rapports sur le rendement en fonction des normes liées aux services de passeports, de citoyenneté, d’arrestation et de détention. Les informations recueillies pour l’exercice 2017-2018 sont présentées ci-dessous.

Les missions du Canada à l’étranger sont actuellement demandées à contacter les personnes arrêtées ou détenues dans les 24 heures et à assurer des contacts réguliers avec les Canadiens détenus à long terme. La fréquence des contacts dépend des conditions locales : une fois tous les trois mois (p. ex. dans une grande partie de l’Amérique latine, de l’Afrique et de l’Asie), une fois tous les six mois (p. ex. dans une grande partie de l’Europe de l’Ouest) ou une fois tous les 12 mois (p. ex aux États-Unis, où environ les deux tiers de ces détenus se trouvent). Ces normes servent de lignes directrices pour nos agents consulaires et peuvent être modifiées au besoin selon les besoins et les conditions. Au 31 mars 2018, plus de 85 % des cas de détenus respectaient la norme régionale.

Les missions doivent rendre compte de leur capacité de recevoir, d’étudier et d’acheminer des demandes de citoyenneté au Canada à l’intérieur de la norme de service de 10 jours. En 2017-2018, leur taux de succès était de 88 %. Enfin, la capacité des missions de respecter la norme de service de 20 jours pour la délivrance régulière de passeports est surveillée. Cette année, elles ont respecté cette norme de service dans 86 % des demandes.

Autres renseignements : S.O.

Renseignements financiers (en dollars)
Revenus 2016-2017Revenus 2017-2018Coût* 2017-2018Remises 2017-2018
104 710 773102 375 280122 456 630Sans objet  

* Le montant inclut les coûts directs et indirects, lorsque ces coûts sont identifiables et importants.

Une remise est un remboursement partiel ou total de frais préalablement payés. En vertu de la Loi sur les frais de service, les ministères sont tenus d’élaborer des politiques qui déterminent quand les frais seront remis aux utilisateurs si les normes de service ne sont pas respectées. L’obligation pour les ministères de remettre les frais devrait entrer en vigueur le 31 mars 2020. Cette date d’entrée en vigueur donne aux ministères le temps d’élaborer des politiques en matière de remises et d’adapter les systèmes de suivi des normes de service et de remise des frais. Au cours de l’exercice 2017 à 2018, certains ministères peuvent avoir émis des remises, conformément à l’autorité de leurs lois habilitantes ou de leurs règlements, par opposition à l’autorité accordée par la Loi sur les frais de service. Les remises présentées ci-dessus sont celles émises en vertu de lois ou de règlements habilitants.

Frais en vertu du pouvoir du Ministère Montants des frais pour 2017-2018 et 2019-2020 et pour un exercice subséquent, selon le cas (en dollars)
Nom des fraisMontant des frais 2017-2018Montant rajusté des frais* 2019-2020Montant des frais futur et exercice financier
Frais pour les services consulaires25 $25 $ (en attente d’examen)Sans objet

* Le « montant rajusté des frais » correspond au nouveau montant des frais en 2019-2020, rajusté soit par le taux de l’indice des prix à la consommation, soit par un taux prédéterminé, conformément au pouvoir législatif ou réglementaire.

Le « montant des frais futur et exercice financier » est le nouveau montant des frais, au cours d’un exercice financier subséquent autre que 2019-2020, rajusté selon un taux prédéterminé, conformément au pouvoir législatif ou réglementaire.

Droits à payer pour les services consulaires spécialisés

Catégorie de frais : Droits à payer pour les services consulaires spécialisés

Pouvoir d’établissement des frais : Règlement sur le prix des services consulaires spécialisés au titre de l’alinéa 19(1)a) de la Loi sur la gestion des finances publiques

Année de mise en œuvre : S.O.

Dernière année de modification : 2010

Norme de rendement : Les services consulaires spécialisés sont regroupés sous les catégories de normes de services suivantes :

  1. Protection et assistance
  2. Services juridiques et notariaux

La liste complète des normes de service est disponible à l’adresse suivante Services consulaires : Normes de service et dans toutes les missions canadiennes à l’étranger. Les clients sont invités à faire part de leurs commentaires s’ils n’ont pas reçu le niveau de service auquel ils s’attendaient ou encore, à formuler leurs suggestions.

Les normes de service pour les services consulaires spécialisés font actuellement l’objet d’un examen.

Résultats de rendement : Au total, 259 clients ont reçu des services juridiques et notariaux, et le niveau de satisfaction global pour ces services a été de 90 %.

Autres renseignements : S.O.

Renseignements financiers (en dollars)
Revenus 2016-2017Revenus 2016-2017Coût 2016-2017Remises 2016-2017
2 348 0422 230 5993 925 049Sans objet
Frais en vertu du pouvoir du Ministère Montants des frais pour 2017-2018 et 2019-2020 et pour un exercice subséquent, selon le cas (en dollars)
Nom des fraisMontant des frais 2017-2018Montant rajusté des frais* 2019-2020Montant des frais futur et exercice financier
Droits à payer pour les services consulaires spécialisésVoir lienVoir lien (en attente d’examen)Sans objet

Montant total pour toutes les catégories de frais

Total des revenus, coûts et remises (en dollars)
Revenus totaux 2016–17Revenus totaux 2017–18Coûts totaux 2017–18Remises totales 2017–18 
110 181 730107 537 521140 659 219168 007
Note: Les montants totaux représentent la somme des revenus, des coûts et des remises déclarés pour toutes les catégories dans les tableaux d’ «informations financières ».
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