Section IV : Renseignements supplémentaires (2018-2019)

Table des matières

Stratégie ministérielle de développement durable

1. Contexte de la Stratégie ministérielle de développement durable

La Stratégie fédérale de développement durable 2016-2019 (SFDD) :

Conformément aux objectifs de la Loi qui visent à rendre le processus décisionnel en matière d’environnement plus transparent et plus responsable envers le Parlement, Affaires mondiales Canada appuie la production de rapports sur la mise en œuvre de la SFDD et de sa Stratégie ministérielle de développement durable, ou l’équivalent, au moyen des activités décrites dans le présent tableau de renseignements supplémentaires.

2. Le développement durable au sein d’Affaires mondiales Canada

La Stratégie ministérielle de développement durable de 2017 à 2020 d’Affaires mondiales Canada décrit les actions prises par le Ministère afin d’atteindre les objectifs de la SFDD en ce qui concerne les mesures efficaces sur les changements climatiques et un gouvernement à faibles émissions de carbone. Ce tableau de renseignements supplémentaires présente les résultats disponibles associés aux actions ministérielles qui ont un lien avec ces objectifs. Le tableau de l’an dernier se trouve sur le site Web du Ministère. Cette année, Affaires mondiales Canada précise également la cible des objectifs de développement durable des Nations Unies que les actions ministérielles contribuent à atteindre.

3. Rendement du Ministère en fonction de l’objectif de la SFDD

Les tableaux suivants présentent des renseignements sur le rendement à la suite des actions prises par le Ministère à l’appui des objectifs de la SFDD énoncés à la section 2.

Objectif de la SFDD : Mesures efficaces sur les changements climatiques

Cible de la SFDDMesure de contribution de la SFDDActions spécifiques du Ministère qui appuient la cibleAppui à une cible des objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies*Points de départ, cibles et mesures de rendement pour les actions spécifiques du MinistèreRésultats atteints

D’ici 2030, réduire de 30 % les émissions mondiales totales de gaz à effet de serre du Canada par rapport aux niveaux de 2005.

Jouer un rôle de premier plan dans les initiatives et les accords internationaux sur les changements climatiques.

  • Collaborer avec Environnement et Changement climatique Canada pour jouer un rôle de chef de file et fournir des conseils stratégiques et juridiques à l’appui de la négociation et de la mise en œuvre d’ententes internationales en matière d’environnement et d’initiatives sur les changements climatiques, y compris la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et l’Accord de Paris.

13

Point de départ : S.O.

Cible : S.O.

Indicateur de rendement : Mesure dans laquelle des conseils juridiques de grande qualité et opportuns concernant les obligations juridiques internationales du Canada sont pris en compte et intégrés aux positions du gouvernement du Canada sur le droit de l’environnement dans les tribunes internationales.

Tout au long de l’année, Affaires mondiales Canada a fourni en temps opportun des conseils juridiques de grande qualité, conformément au droit international, dans le but d’éclairer l’élaboration de solides positions canadiennes pour les négociations internationales sur les changements climatiques, d’assurer la cohérence juridique des décisions internationales, et de veiller à ce que les priorités et les intérêts du Canada soient bien compris et préservés. Cela a comporté, notamment, les éléments suivants :

  • Agir à titre de conseiller juridique auprès de la délégation canadienne aux réunions de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et de l’Accord de Paris, y compris pour l’élaboration du programme de travail de l’Accord de Paris;
  • Agir à titre de négociateur principal pour le mécanisme de conformité en vertu de l’Accord de Paris;
  • Agir à titre de conseiller juridique auprès de la délégation canadienne au Protocole de Montréal relatif à des substances qui appauvrissent la couche d’ozone, concernant l’Accord de Kigali visant à éliminer progressivement les hydrofluorocarbones, un puissant gaz à effet de serre;
  • Fournir des conseils juridiques continus sur les aspects des changements climatiques des accords commerciaux internationaux;
  • Fournir des conseils juridiques continus sur un large éventail d’autres initiatives internationales de lutte contre les changements climatiques dans diverses autres organisations internationales (ONU, organismes des Nations Unies, G7, Francophonie, organisations régionales, etc.).
  • Faire progresser un programme commercial progressiste, y compris l’intégration de solides dispositions environnementales dans les accords commerciaux et le soutien des exportations de technologies propres.

13

Point de départ : S.O.

Cible : S.O.

Indicateur de rendement : Mesure dans laquelle les dispositions environnementales sont intégrées aux accords de libre-échange et à d’autres aspects du programme commercial du Canada.

  • · Le Canada cherche à négocier des chapitres ambitieux et exécutoires sur l’environnement dans ses accords de libre-échange, avec des engagements à maintenir des niveaux élevés de protection de l’environnement ainsi que de nouveaux éléments progressistes, y compris des engagements fermes sur des enjeux comme les changements climatiques.
  • Le Canada a négocié avec succès les chapitres sur le commerce et l’environnement de l’Accord économique et commercial global (AECG), de l’Accord de Partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP), de l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM) et de l’Accord de libre-échange Canada-Israël (ALECI) modernisé.
  • Le Canada a participé à des groupes de travail de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et à des événements spéciaux comme le Forum public de l’OMC et d’autres événements internationaux d’apprentissage sur le commerce et l’environnement. À noter que le Canada a été l’hôte conjoint d’un événement sur le climat avec l’Union européenne en tant que première activité de coopération liée à l’environnement dans le cadre de l’AECG.
  • Donner suite à l’engagement du Canada de fournir 2,65 milliards de dollars en financement climatique pour appuyer la transition des pays en développement vers des économies à faibles émissions de carbone et résilientes aux changements climatiques, conformément aux priorités de la Politique d’aide internationale féministe du Canada.

13

Point de départ : S.O.

Cible : S.O.

Indicateur de rendement : Mesure dans laquelle les accords avec les partenaires sont achevés afin de verser et de mettre en œuvre 2,65 milliards de dollars de financement climatique d’ici la fin de l’exercice 2020-2021. (Point de départ : 838 700 700 $ versés au 1er juin 2017)

  • En date d’avril 2019, Affaires mondiales Canada avait annoncé des projets totalisant une valeur de plus de 1,5 milliard de dollars.
  • Intégrer la durabilité de l’environnement dans l’aide canadienne au développement afin de s’assurer que les investissements internationaux canadiens n’entraînent pas d’effets négatifs importants sur l’environnement, conformément à la Loi canadienne sur l’évaluation environnementale et à la Directive du Cabinet sur l’évaluation environnementale des projets de politiques, de plans et de programmes.

13

Point de départ : S.O.

Cible : S.O.

Indicateur de rendement : Pourcentage des initiatives d’aide au développement d’Affaires mondiales Canada qui ont fait l’objet d’une analyse environnementale. (Point de départ : 100 %)

  • 100 % des initiatives d’aide au développement d’Affaires mondiales Canada ont fait l’objet d’une analyse environnementale.

Objectif de la SFDD : Un gouvernement à faibles émissions de carbone

Cible de la SFDDMesure de contribution de la SFDDActions spécifiques du Ministère qui appuient la cibleAppui à une cible des objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies*Points de départ, cibles et mesures de rendement pour les actions spécifiques du MinistèreRésultats atteints

Réduire les émissions de gaz à effet de serre des immeubles et des parcs automobiles du gouvernement fédéral de 40 % par rapport aux niveaux de 2005 d’ici à 2030, avec l’ambition d’atteindre cette cible d’ici 2025.

Améliorer l’efficacité énergétique de nos immeubles et de nos activités.

S.O.

S.O.

S.O.

S.O.

Moderniser notre parc de véhicules.

  • Acheter deux nouveaux véhicules à faibles émissions (hybrides ou entièrement électriques).

12.7

Point de départ : 42 % du parc de véhicules était hybride en janvier 2017.

Cible : S.O.

Indicateur de rendement : Pourcentage de véhicules à faibles émissions dans le parc national du Ministère.

  • 63 %

Soutenir la transition vers une économie à faibles émissions de carbone grâce aux pratiques d’achat écologiques.

  • Veiller à ce que la collectivité de l’approvisionnement d’Affaires mondiales Canada reçoive de la formation sur les achats écologiques et continue de promouvoir l’utilisation de produits écologiques.

12.7

Point de départ : 80 %

Cible : Promouvoir des pratiques d’achats publics qui sont durables, conformément aux politiques et aux priorités nationales.

Indicateur de rendement : Pourcentage de spécialistes de l’approvisionnement et de la gestion du matériel qui ont suivi le cours sur les achats écologiques (C215) de l’École de la fonction publique du Canada.

  • 80,7 % (42 sur 52) des spécialistes de l’approvisionnement et de la gestion du matériel ont suivi le cours sur les achats écologiques (C215) de l’École de la fonction publique du Canada.
  • Mettre en œuvre une stratégie mondiale de remplacement cyclique des imprimantes, qui intégrera les achats écologiques.

12.7

Point de départ : 2 273 038 pages en juin 2016.

Cible : Promouvoir des pratiques d’achats publics qui sont durables, conformément aux politiques et aux priorités nationales.

Indicateur de rendement : Réduction, en pourcentage, du nombre total de pages imprimées à l’administration centrale.

  • Au 31 mars 2019, le nombre de pages imprimées par utilisateur à l’administration centrale avait diminué de 12,5 % depuis le dernier exercice (2017-2018), et de 19,35 % depuis 2016-2017.
  • Nombre de pages imprimées par utilisateur par exercice :

2016-2017 - 3 468 pages par utilisateur (24 904 791 pages/7 182 utilisateurs);

2017-2018 - 3 197 pages par utilisateur (24 668 433 pages/7 715 utilisateurs);

2018-2019 - 2 797 pages par utilisateur (23 636 665 pages/8 452 utilisateurs).

  • Veiller à ce que les considérations environnementales soient intégrées aux politiques, aux processus et aux pratiques du Ministère, conformément aux cycles de mise à jour ministériels.

12.7

Point de départ : 80 %

Cible : Promouvoir des pratiques d’achats publics qui sont durables, conformément aux politiques et aux priorités nationales.

Indicateur de rendement : Pourcentage des politiques, des processus et des pratiques du Ministère qui ont été créés ou mis à jour au cours de l’exercice et qui ont intégré des considérations environnementales.

  • Résultat atteint au 31 mars 2019 - 100 %.
  • 100 % en 2016. Aucun changement n’a été apporté aux politiques, aux processus et aux pratiques du Ministère depuis 2016.
  • Mettre en œuvre une politique stratégique globale relative aux appareils, qui assurera la durabilité de la gestion des biens de TI, réduira les coûts de mise à jour continue et le dédoublement des appareils.

12.7

Point de départ : 1.21

Cible : Promouvoir des pratiques d’achats publics qui sont durables, conformément aux politiques et aux priorités nationales.

Indicateur de rendement : Nombre d’appareils par employé.

  • Au 31 mars 2019, le nombre d’appareils par employé était en baisse, soit 1,41 comparativement à 1,51 en 2016-2017.
  • Lorsque l’indicateur a été créé pour la première fois en 2016-2017, le Programme de remplacement cyclique n’avait pas encore été lancé et le chiffre de 1,25 avait été estimé de façon indicative. SID en est maintenant à la deuxième année du programme quinquennal et dispose de données plus précises et plus fiables pour faire rapport.

Faire la démonstration de technologies innovatrices*

S.O.

S.O.

S.O.

S.O.

Promouvoir des pratiques de transport durables.

  • Encourager et faciliter l’utilisation de pratiques de transport durables.

S.O.

Point de départ : S.O.

Cible : S.O.

Indicateur de rendement : Nombre de séances d’information ou de communications sur les transports qui comprennent des conseils sur les pratiques de transport durables.

S.O.

  • Poursuivre le fonctionnement du service de navette IntraBus qui transporte le personnel entre ses trois principaux bâtiments à l’administration centrale.

S.O.

Point de départ : S.O.

Cible : S.O.

Indicateur de rendement : Nombre moyen de passagers du service de navette par jour.

S.O.

Point de départ : 1 372 000 $ en 2013-2014

Cible : S.O.

Indicateur de rendement : Pourcentage de réduction du coût des services de taxi par rapport à la mise en place préalable du service de navette.

* Estimation des fonds consacrés aux déplacements en taxi avant la fusion et la mise en place du service de navette; le coût fournit une mesure du nombre total d’heures et de la distance.

  • Au cours des 4,667 dernières années, Affaires mondiales Canada a payé environ 3 852 183 $ en bons de taxi comparativement à 1 586 313,30 $ pour les navettes. (Les navettes coûtent 339 900 $ par année, soit une économie de 2 265 869,70 $.)
  • Collaborer avec Services partagés Canada pour accroître la bande passante du réseau dans les missions à l’étranger.

 

9C

Point de départ : Mise à niveau en cours dans 15 des sites les plus congestionnés.

Cible : S.O.

Indicateur de rendement : Nombre de missions où la bande passante a été mise à niveau (point de départ).

  • Lorsque l’indicateur a été créé en 2016-2017, le Programme de remplacement cyclique n’avait pas encore été lancé et le chiffre de 1,25 avait été estimé de façon indicative. SID en est maintenant à la deuxième année du programme quinquennal et dispose de données plus précises et plus fiables pour faire rapport.

Comprendre l’incidence des changements climatiques et renforcer la résilience

S.O.

S.O.

S.O.

S.O.

Améliorer la transparence et la reddition de comptes

S.O.

S.O.

S.O.

S.O.

Élaborer des politiques pour un gouvernement à faible émission de carbone

S.O.

S.O.

S.O.

S.O.

4. Rapport sur l’intégration du développement durable

Pendant le cycle d’établissement de rapports de 2018-2019, Affaires mondiales Canada a pris en considération les effets environnementaux de propositions assujetties à la Directive du Cabinet sur l’évaluation environnementale des projets de politiques, de plans et de programmes dans le cadre de ses processus décisionnels. Au cours du processus d’évaluation environnementale stratégique, on a constaté que toutes ces propositions ministérielles avaient des effets neutres à positifs sur la réalisation de progrès vers l’atteinte des objectifs et des cibles de la SFDD 2016-2019 et du Programme de développement durable à l’horizon 2030.

Des renseignements supplémentaires sur les résultats des évaluations environnementales stratégiques peuvent être consultés dans le site Web de la Stratégie ministérielle de développement durable et des Évaluations environnementales des négociations commerciales.

Renseignements sur les programmes de paiements de transfert de 5 millions de dollars ou plus

Agence internationale de l’énergie atomique

Nom du programme de paiements de transfert : Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA)

Date de mise en œuvre : 19 décembre 1989

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 17. Politique liée à la Paix et la sécurité

Description :

Le versement de la quote-part annuelle du Canada à l’AIEA est une obligation juridiquement exigible de tous les membres. Le paiement est effectué pour s’assurer que l’adhésion est en règle et pour maintenir l’influence et la crédibilité du Canada au sein d’un organisme international clé, dont il appuie les objectifs. L’AIEA est le centre mondial de la coopération dans le domaine nucléaire et elle s’efforce de promouvoir l’utilisation sûre, sécuritaire et protégée de la technologie nucléaire à des fins pacifiques, notamment en vérifiant que les États respectent leurs engagements d’utiliser l’énergie nucléaire uniquement à des fins pacifiques. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints

Résultats des audits achevés en 2018-2019 :  Les audits de l’AIEA ne sont pas rendus publics, il n’est donc pas possible d’en communiquer les conclusions.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 :  Les évaluations de l’AIEA ne sont pas rendues publiques, il n’est donc pas possible d’en communiquer les conclusions.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : S.O.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

14 475 115

15 666 577

15 299 401

15 700 610

15 700 610

401 209

Total du programme

14 475 115

15 666 577

15 299 401

15 700 610

15 700 610

401 209

Explications sur les écarts

Les budgets évalués des organisations internationales sont des résultats négociés, et le Canada est juridiquement lié par le résultat final de ces négociations. Les contributions à l’AIEA sont établies en partie en euros et en partie en dollars américains. Par conséquent, les fluctuations monétaires régulières modifient la valeur de ces contributions exprimées en dollars canadiens et entraînent des écarts entre les dépenses prévues et les dépenses réelles. Le Canada doit payer ses quotes-parts en entier et, selon les fluctuations monétaires, ces quotes-parts peuvent être supérieures ou inférieures aux montants prévus.

Aide au développement international

Nom du programme de paiements de transfert : Aide au développement international

Date de mise en œuvre : 2001-2002

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Subventions et contributions

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2012-2013

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programmes :

1. Coordination des politiques internationales

27. Aide humanitaire

28. Partenariats et innovation dans le développement

29. Aide internationale multilatérale

30. Stabilisation et opérations de paix

34. Aide internationale en Europe, dans l’Arctique, au Moyen-Orient et au Maghreb

35. Aide internationale dans les Amériques

36. Aide internationale en Asie-Pacifique

37. Aide internationale en Afrique subsaharienne

Description :Les activités d’aide au développement officielle (ADO) contribuent à la réduction de la pauvreté, tiennent compte des points de vue des populations pauvres et sont conformes aux normes internationales en matière de droits de la personne, conformément à la Loi sur la responsabilité en matière d’aide au développement officielle (la Loi). L’ADO peut également servir à atténuer les effets d’une catastrophe naturelle ou causée par l’homme ou d’une autre situation d’urgence survenant à l’extérieur du Canada. Affaires mondiales Canada est le ministère responsable de l’ADO du Canada. La majorité des activités d’aide internationale du Ministère respectent les exigences de la Loi. Toutefois, le programme de paiements de transfert d’Affaires mondiales Canada n’exclut pas les activités en dehors de la portée de la Loi. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints : En 2018-2019, Affaires mondiales Canada a continué d’appuyer l’engagement du Canada dans les pays en développement. Les projets de développement canadiens ont été axés sur l’atteinte de résultats dans le cadre de quatre sous-programmes thématiques : croissance économique durable; enfants et jeunes, y compris la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants; sécurité alimentaire; et assistance multisectorielle, développement social et engagement au développement. En 2018-2019, l’aide humanitaire du Canada a permis de réduire la souffrance et de sauver des vies au sein des populations qui vivent des crises humanitaires grâce à son dialogue sur les politiques, à ses activités de défense des droits et à ses programmes humanitaires, y compris son soutien institutionnel aux principaux partenaires humanitaires. Veuillez consulter la responsabilité essentielle 3 du Rapport sur les résultats ministériels pour obtenir de plus amples renseignements sur les programmes de développement international d’Affaires mondiales Canada et les résultats en matière de rendement.

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : Audit des contributions remboursables - septembre 2018

L’équipe d’audit a constaté que les orientations stratégiques du gouvernement étaient reflétées dans les ententes de contributions remboursables. Toutefois, le Ministère n’a pas défini de politique ni de stratégie de programmation à l’échelle de l’organisation pour gérer son portefeuille d’ententes de plus en plus important. Le Ministère a fait des progrès en ce qui concerne la clarification des rôles et des responsabilités en créant le Bureau de la finance innovatrice, qui appuie la programmation des contributions remboursables, ainsi que des feuilles de modalités définissant les rôles et les responsabilités respectifs. Dans certains domaines, cependant, les rôles et les responsabilités ne sont toujours pas définis officiellement, particulièrement après que les ententes ont été signées.

L’équipe d’audit a constaté que, sur le plan des initiatives, le Ministère a fait preuve de diligence raisonnable pour la gestion des risques associés aux contributions remboursables, conformément aux politiques gouvernementales applicables. Toutefois, le Ministère ne disposait pas d’un cadre de gestion du risque personnalisé pour son portefeuille de contributions remboursables. Cela est particulièrement important, compte tenu de l’annonce dans le budget de 2018 d’un financement concessionnel additionnel de 1,5 milliard de dollars sur cinq ans pour appuyer l’innovation dans l’aide internationale du Canada.

L’équipe d’audit a constaté qu’Affaires mondiales Canada exerce un contrôle sur les contributions remboursables par divers moyens en fonction du type d’entente de financement. Le Bureau de la finance innovatrice et les programmes ont élaboré des outils pour surveiller la mise en œuvre de ces ententes, comme le rendement et la situation financière. Le Ministère reçoit de l’information sur le rendement pour chaque entente. Toutefois, le format de présentation des résultats des projets ne facilite pas toujours l’examen des progrès par rapport aux indicateurs. Par ailleurs, l’équipe d’audit a constaté une amélioration dans les derniers rapports sur le rendement des bénéficiaires. Enfin, l’équipe d’audit a constaté que le Ministère n’a toujours pas de processus administratif officiel pour gérer les remboursements.

Suivi et surveillance des subventions et contributions - prévus pour 2019

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : L’évaluation de l’Initiative sur la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants a été approuvée en mai 2019.

Depuis 2010, le Canada joue un rôle de premier plan dans l’action mondiale visant à mettre fin aux décès évitables de mères, de nouveau-nés et d’enfants. L’Initiative canadienne sur la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants (SMNE)* est un engagement de 6,5 milliards de dollars sur 10 ans (de 2010-2011 à 2020) visant à améliorer la santé des femmes et des enfants dans les régions les plus vulnérables du monde. Cela représente une quantité importante de ressources d’aide internationale couvrant de nombreuses régions géographiques et de multiples secteurs fonctionnels.

Cette évaluation de l’Initiative sur la SMNE a permis de se pencher sur la pertinence, l’efficacité, la durabilité et l’efficience des programmes afin d’éclairer la prise de décisions et d’appuyer les améliorations apportées aux politiques et aux programmes. L’évaluation a porté sur un échantillon de 73 projets parmi un total de 987 projets associés à l’Initiative qui ont été financés par Affaires mondiales Canada de 2010-2011 à 2017-2018. L’échantillon représentait 43 % du financement total sur la SMNE au cours de la période d’évaluation.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : Veuillez vous reporter à la responsabilité essentielle 3 du Rapport sur les résultats ministériels 2017-2018.

Renseignements financiers (en dollars)

ProgrammeType de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

1. Coordination des politiques internationales

Total des subventions

0

0

0

0

0

0

Total des contributions

0

0

81 945

0

0

-81 945

Total du programme

0

0

81 945

0

0

-81 945

3. Politiques multilatérales

Total des subventions

0

0

0

0

0

0

Total des contributions

0

0

0

0

0

0

Total du programme

0

0

0

0

0

0

4. Droit international

Total des subventions

85 699

91 971

0

106 984

100 000

100 000

Total des contributions

0

0

0

0

0

0

Total du programme

85 699

91 971

0

106 984

100 000

100 000

27. Aide humanitaire

Total des subventions

709 551 679

761 475 737

609 679 828

985 545 477

827 954 058

218 274 230

Total des contributions

7 453 837

7 729 612

0

8 901 364

8 645 944

8 645 944

Total du programme

717 005 516

769 205 350

609 679 828

994 446 841

836 600 002

226 920 174

28. Partenariats et innovation dans le développement

Total des subventions

17 711 271

19 007 358

18 904 111

20 666 738

20 666 738

1 762 627

Total des contributions

263 667 308

273 422 403

218 782 226

305 836 135

305 836 135

87 053 909

Total du programme

281 378 579

292 429 762

237 686 337

326 502 873

326 502 873

88 816 536

29. Aide internationale multilatérale

Total des subventions

745 777 238

800 352 236

739 009 430

870 224 551

870 224 551

131 215 121

Total des contributions

203 419 978

210 946 058

224 533 081

235 953 332

235 953 332

11 420 251

Total du programme

949 197 217

1 011 298 294

963 542 511

1 106 177 883

1 106 177 883

142 635 372

30. Stabilisation et opérations de paix

Total des subventions

0

0

2 705 693

0

0

-2 705 693

Total des contributions

0

0

0

0

0

0

Total du programme

0

0

2 705 693

0

0

-2 705 693

32. Programme de réduction des menaces liées aux ADM

Total des subventions

6 698 404

7 188 585

0

8 362 033

7 816 162

7 816 162

Total des contributions

0

0

0

0

0

0

Total du programme

6 698 404

7 188 585

0

8 362 033

7 816 162

7 816 162

34. Aide internationale en Europe, dans l’Arctique, au Moyen-Orient et au Maghreb

Total des subventions

72 154 203

77 434 353

132 852 550

84 194 523

84 194 523

-48 658 027

Total des contributions

98 874 766

102 532 909

40 141 752

114 688 000

114 688 000

74 546 248

Total du programme

171 028 969

179 967 262

172 994 302

198 882 523

198 882 523

25 888 221

35. Aide internationale dans les Amériques

Total des subventions

91 108 052

97 775 219

175 822 282

106 311 187

106 311 187

-69 511 095

Total des contributions

107 863 436

111 854 139

121 487 320

125 114 245

125 114 245

3 626 925

Total du programme

198 971 487

209 629 358

297 309 602

231 425 432

231 425 432

-65 884 170

36. Aide internationale en Asie-Pacifique

Total des subventions

177 584 044

190 579 411

203 970 632

207 217 366

207 217 366

3 246 734

Total des contributions

84 235 369

87 351 888

71 548 104

97 707 296

97 707 296

26 159 192

Total du programme

261 819 413

277 931 298

275 518 736

304 924 662

304 924 662

29 405 926

37. Aide internationale en Afrique subsaharienne

Total des subventions

119 923 775

128 699 639

473 228 993

139 935 369

139 935 369

-333 293 624

Total des contributions

410 933 644

426 137 261

276 475 597

516 712 823

476 655 063

200 179 466

Total du programme

530 857 419

554 836 900

749 704 590

656 648 192

616 590 432

-133 114 158

Total des subventions

1 940 594 365

2 082 604 509

2 356 173 519

2 422 564 228

2 264 419 954

-91 753 565

Total des contributions

1 176 448 339

1 219 974 270

953 050 025

1 404 913 195

1 364 600 015

411 549 990

Total

3 117 042 704

3 302 578 779

3 309 223 544

3 827 477 423

3 629 019 969

319 796 425

Explications sur les écarts

Coordination des politiques internationales

  • Les dépenses réelles ont été inférieures de 0,1 million de dollars aux dépenses prévues. L’écart est attribuable à un transfert de ressources à d’autres programmes d’aide au développement international (ADI).

Droit international

  • Les dépenses réelles ont été supérieures de 0,1 million de dollars aux dépenses prévues. L’écart est attribuable au réalignement du financement dans les programmes d’ADI.

Aide humanitaire

  • Les dépenses réelles ont été supérieures de 226,9 millions de dollars aux dépenses prévues. L’écart est attribuable au financement reçu dans le cadre du Budget supplémentaire des dépenses de 2018-2019 pour appuyer la mise en œuvre de la Politique d’aide internationale féministe (PAIF) ainsi qu’au financement reçu pour appuyer l’engagement du Canada dans le cadre de la Convention relative à l’assistance alimentaire.

Partenariats et innovation en matière de développement

  • Les dépenses réelles ont été supérieures de 88,8 millions de dollars aux dépenses prévues. L’écart est attribuable au financement reçu dans le cadre du Budget supplémentaire des dépenses de 2018-2019 pour appuyer la mise en œuvre de la PAIF ainsi qu’au réalignement du financement d’autres programmes d’ADI.

Aide internationale multilatérale

  • Les dépenses réelles ont été supérieures de 142,6 millions de dollars aux dépenses prévues. L’écart est attribuable au financement reçu d’autres programmes d’ADI pour appuyer la mise en œuvre de la PAIF.

Opérations de paix et de stabilisation

  • Les dépenses réelles ont été inférieures de 2,7 millions de dollars aux dépenses prévues. L’écart est attribuable à un transfert de ressources à d’autres programmes d’ADI.

Réduction des menaces liées aux ADM

  • Les dépenses réelles ont été supérieures de 7,8 millions de dollars aux dépenses prévues. L’écart est attribuable au réalignement du financement dans les programmes d’ADI.

Aide internationale en Europe, au Moyen-Orient et au Maghreb

  • Les dépenses réelles ont été supérieures de 25,9 millions de dollars aux dépenses prévues. L’écart est attribuable au financement reçu pour appuyer la mise en œuvre de la PAIF ainsi qu’au réalignement du financement d’autres programmes d’ADI.

Aide internationale dans les Amériques

  • Les dépenses réelles ont été inférieures de 65,9 millions de dollars aux dépenses prévues. L’écart est attribuable au financement reçu pour fournir de l’aide humanitaire en réponse à une crise internationale majeure. Ces augmentations ont été contrebalancées par le réalignement à d’autres programmes d’ADI.

Aide internationale en Asie-Pacifique

  • Les dépenses réelles ont été supérieures de 29,4 millions de dollars aux dépenses prévues. L’écart est attribuable au financement reçu pour fournir de l’aide humanitaire en réponse à une crise internationale majeure.

Aide internationale en Afrique subsaharienne

  • Les dépenses réelles ont été inférieures de 133,1 millions de dollars aux dépenses prévues. L’écart est attribuable au financement reçu pour appuyer la mise en œuvre de la PAIF. Ces augmentations ont été contrebalancées par le réalignement à d’autres programmes d’ADI.

Cour pénale internationale

Nom du programme de paiements de transfert : Cour pénale internationale (CPI)

Date de mise en œuvre : 1er avril 2005

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2017-2018

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 4. Droit international

Description :

La CPI est la première cour pénale internationale permanente créée en vertu d’un traité pour aider à mettre fin à l’impunité des auteurs des crimes les plus graves touchant la communauté internationale. Les dépenses de la Cour sont financées principalement par les quotes-parts des États parties. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Deux autres affaires ont été portées devant la Cour. La Cour a également rendu diverses décisions sur des interrogatoires préliminaires, des procès et des appels, notamment l’acquittement de messieurs Gbagbo et Blé Goudé, une décision sur la demande du procureur de procéder à une enquête sur la situation en Afghanistan, et un jugement de la Chambre d’appel dans le renvoi de Jordan concernant l’immunité du chef d’État.

Le Bureau du procureur a ouvert des enquêtes préliminaires sur les crimes présumés commis contre la population rohingya au Myanmar et au Bangladesh, ainsi que sur les crimes présumés commis au Venezuela.

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : S.O.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : Le Canada participe activement à l’assemblée annuelle des États parties de la CPI et au Comité du budget et des finances. Le personnel de l’ambassade du Canada aux Pays-Bas est régulièrement en contact direct avec les représentants de la Cour et, de concert avec la Mission permanente du Canada auprès de l’Organisation des Nations Unies à New York, participe à des groupes de travail sur les questions de gouvernance et de finances qui touchent la Cour. Le Canada ainsi que les six autres pays qui contribuent le plus au budget de la CPI continuent de réclamer d’autres gains d’efficience sur le plan budgétaire.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfert

Dépenses réelles

2016-2017

Dépenses réelles

2017-2018

Dépenses prévues

2018-2019

Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019

Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019

Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

9 944 741

11 146 732

13 133 052

13 351 729

10 858 559

-2 274 493

Total du programme

9 944 741

11 146 732

13 133 052

13 351 729

10 858 559

-2 274 493

Explications sur les écarts

Le budget annuel de programme de la CPI est approuvé par l’Assemblée des États parties en décembre de l’année précédente. Aux fins de la planification financière, le Canada est tenu d’estimer le budget de programme de la CPI bien avant son adoption. Des événements imprévus, comme l’arrestation d’une personne faisant l’objet d’un mandat d’arrêt de longue date, peuvent entraîner une augmentation importante du budget de la Cour. Par conséquent, il y a toujours un écart entre la contribution prévue et la quote-part. Il peut aussi y avoir des fluctuations monétaires.

Fonds canadien d’initiatives locales

Nom du programme de paiements de transfert : Fonds canadien d’initiatives locales (FCIL)

Date de mise en œuvre : 1er avril 2012

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 27. Aide humanitaire

Programme 33. Fonds canadien d’initiatives locales

Description : Le FCIL est un programme de contributions offert par le biais des ambassades et des hauts-commissariats du Canada, qui appuie des projets à petite échelle et à forte incidence dans les pays en développement. Les objectifs du programme sont de contribuer à la réalisation des priorités thématiques du Canada en matière d’aide internationale, de contribuer à la défense des valeurs et des intérêts canadiens, et de renforcer les relations bilatérales du Canada avec les pays étrangers et leur société civile. Le programme offre également un financement à petite échelle aux organisations locales pour répondre aux catastrophes naturelles et aux situations d’urgence humanitaire. La contribution moyenne est de 26 000 $. Les projets sont en grande partie conçus et mis en œuvre par des organisations locales, ce qui les rend très adaptés aux besoins locaux.

Résultats atteints : Accroître l’accès et l’influence du personnel des missions canadiennes auprès des principaux décideurs locaux afin de faire connaître et de promouvoir les valeurs et les intérêts du Canada.

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : S.O.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : De par sa conception, le FCIL vise à répondre aux besoins locaux et à collaborer étroitement avec les bénéficiaires, dont bon nombre sont de petites organisations disposant de ressources modestes. Les demandeurs sont sollicités principalement dans le cadre d’appels de propositions généraux, qui indiquent clairement le nom d’une personne-ressource chargée de répondre aux demandes de renseignements. De nombreux hauts-commissariats et ambassades du Canada tiennent des séances d’information à l’intention des demandeurs intéressés. Une fois que les projets sont sélectionnés pour recevoir du financement, les bénéficiaires et le personnel de la mission communiquent fréquemment tout au long du processus de mise en œuvre et de production de rapports. Le personnel de la mission visite souvent les sites de projets pour surveiller ceux-ci. De plus, les bénéficiaires peuvent avoir l’occasion de participer à des ateliers ou à de la formation sur le partage d’expériences en groupe, y compris sur les rapports financiers et la tenue de dossiers.

 

Renseignements financiers (en dollars)

ProgrammeType de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Programme 27. Aide humanitaire

Total des subventions

0

0

19 400 000

19 400 000

0

-19 400 000

Total du programme

0

0

19 400 000

19 400 000

0

-19 400 000

Programme 33. Fonds canadien d’initiatives locales

Total des contributions

14 477 764

14 752 196

14 700 000

14 700 000

14 482 091

-217 909

Total du programme

14 477 764

14 752 196

14 700 000

14 700 000

14 482 091

-217 909

Total

14 477 764

14 752 196

34 100 000

34 100 000

14 482 091

19 617 909

Explications sur les écarts

Depuis 2012, le programme du FCIL possède l’autorisation permanente de débourser jusqu’à 20 millions de dollars en fonds du crédit 10 par exercice, avec un budget actuel de 14,7 millions de dollars. De plus, les fonds du Mécanisme de décaissement rapide des fonds du compte de crises sont inclus dans les dépenses prévues du FCIL. L’écart entre les dépenses prévues et les dépenses réelles est principalement attribuable à la partie inutilisée des fonds liés au Mécanisme de décaissement rapide des fonds du compte de crises (19,4 millions de dollars). Le reste de l’écart (217 909 $) est attribuable à des rajustements de fin d’exercice entourant des projets individuels du FCIL et à des fluctuations monétaires. Dans l’ensemble, 98,6 % des fonds du FCIL ont été dépensés.

Institutions financières internationales

Nom du programme de paiements de transfert : Institutions financières internationales (IFI)

Date de mise en œuvre : S.O.

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Autorisation législative (Paiements aux institutions financières internationales - paiements directs)

Exercice de mise en application des modalités : S.O.

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 29. Aide internationale multilatérale

Description :

Les institutions financières internationales comme les banques régionales de développement (y compris la Banque africaine de développement, la Banque asiatique de développement, la Banque de développement des Caraïbes et la Banque interaméricaine de développement, dont les relations avec celles-ci relèvent d’Affaires mondiales Canada) fournissent des services financiers et se concentrent sur les solutions de développement régionales et nationales. Le programme des IFI comprend également des autorisations pour les paiements en espèces versés aux fonds concessionnels du Fonds pour l’environnement mondial (FEM), du Fonds multilatéral pour la mise en œuvre du Protocole de Montréal (FMPM) et du Fonds international de développement agricole (FIDA). Les paiements aux IFI sont effectués conformément aux alinéas 3a), 3c) et à l’article 12 de la Loi d’aide au développement international (institutions financières). Il s’agit notamment de paiements directs aux institutions pour permettre aux IFI de financer leurs guichets de financement concessionnel pour l’aide aux pays en développement les plus pauvres et l’achat d’actions des institutions. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints

Résultats des audits achevés en 2018-2019 :

Les IFI effectuent régulièrement des vérifications de leurs programmes, qui sont communiquées à Affaires mondiales Canada en sa qualité d’actionnaire et de membre de l’organe directeur de ces institutions.

Aucune vérification n’était prévue pour le FEM ou le FMPM en 2018-2019.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : Les bénéficiaires des programmes des IFI sont pour la plupart des gouvernements de pays en développement qui doivent demander les programmes. Les banques régionales de développement travaillent en étroite collaboration avec les gouvernements pour s’assurer que leurs programmes correspondent aux priorités de développement de chaque gouvernement et que les bénéficiaires d’un projet sont consultés lors de sa conception. Toutes les IFI ont mis en place des politiques de protection environnementale et sociale pour réduire et atténuer les conséquences environnementales et sociales négatives des projets.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfert Dépenses réelles
2016‑2017
Dépenses réelles
2017‑2018
Dépenses prévues
2018‑2019
Autorisations totales pouvant être utilisées 2018‑2019 Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018‑2019 Écart (dépenses réelles en 2018‑2019 moins dépenses prévues en 2018‑2019)
Autres types de paiements de transfert240 772 641232 251 950232 491 748250 380 451250 380 45117 888 703
Total du programme 240 772 641232 251 950232 491 748250 380 451250 380 45117 888 703
Explications sur les écarts L’écart s’est produit parce que des décisions de financement ont été prises en vertu de la Loi sur les IFI pour augmenter les contributions au Fonds international de développement agricole, au Fonds multilatéral d’investissement et au Fonds multilatéral pour la mise en œuvre du Protocole de Montréal. Ces contributions accrues ont été financées par le Budget supplémentaire des dépenses B.

Opérations de maintien de la paix des Nations Unies

Nom du programme de paiements de transfert : Opérations de maintien de la paix des Nations Unies

Date de mise en œuvre : Le Canada est membre de l’ONU depuis sa fondation en 1945.

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 3. Politiques multilatérales

Description :

Les opérations de maintien de la paix des Nations Unies aident les pays déchirés par des conflits à créer les conditions d’une paix durable. Outre le maintien de la paix et de la sécurité, de plus en plus, les gardiens de la paix sont chargés de participer aux processus politiques, de réformer les systèmes judiciaires, de former les forces de l’ordre et les forces policières, de désarmer et de réintégrer les anciens combattants et de soutenir le retour des personnes déplacées à l’intérieur du pays et des réfugiés. Le versement de la quote-part du Canada aux opérations de maintien de la paix de l’ONU est une obligation juridiquement exigible de tous les membres. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : L’examen de vérification effectué par le Comité des commissaires aux comptes des Nations Unies a porté, entre autres, sur le siège de l’ONU, 14 missions actives sur le terrain, 32 missions terminées et les six comptes à fins déterminées, à savoir le Fonds de réserve pour les opérations de maintien de la paix, le compte de soutien aux opérations de maintien de la paix, la Base de soutien logistique des Nations Unies à Brindisi, en Italie, y compris le Global Service Centre, le fonds de recouvrement des coûts de maintien de la paix et le fonds d’avantages sociaux des employés. Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le rapport du Comité des commissaires aux comptes des Nations Unies A/73/5 (Vol. II).

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : S.O.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

259 066 333

248 147 108

269 928 306

276 230 008

244 720 832

-25 207 474

Total du programme

259 066 333

248 147 108

269 928 306

276 230 008

244 720 832

-25 207 474

Explications sur les écarts

Les évaluations budgétaires pour les opérations de maintien de la paix de l’ONU sont négociées par le cinquième comité de l’ONU; les États membres, y compris le Canada, sont juridiquement tenus de respecter le résultat de ces négociations. La création de nouvelles missions et les situations de crise imprévues peuvent modifier considérablement les budgets. Les fluctuations monétaires sont également un facteur.

Organisation de coopération et de développement économiques

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)

Date de mise en œuvre : 20 mars 1975

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012 (modifications)

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 2. Politique sur le commerce, l’investissement et l’économie internationale

Description :

La mission de l’OCDE est d’élaborer et de promouvoir des politiques et des normes fondées sur des données probantes qui amélioreront le bien-être économique et social de ses pays membres et de la population du monde entier. L’OCDE travaille principalement avec les gouvernements pour comprendre ce qui stimule le changement économique, social et environnemental, mesure la productivité et les flux mondiaux de commerce et d’investissement, analyse et compare les données pour prédire les tendances futures, et établit des normes internationales dans un large éventail de domaines, de l’agriculture à la fiscalité en passant par la sécurité des produits chimiques. La planification et la budgétisation biennales de l’OCDE sont régies par un cadre de gestion axé sur les extrants, mis en œuvre au moyen d’un programme de travail et d’un budget approuvé par les membres, en fonction de leurs priorités. Les résultats sont suivis par le Secrétariat et chacun des comités de l’OCDE, dont les membres évaluent la qualité et l’incidence des activités par le truchement du rapport sur l’exécution du programme, en vue d’améliorer le rendement. L’efficacité et l’efficience des comités sont également évaluées au moyen d’évaluations approfondies quinquennales. Les activités et les dépenses financières font l’objet d’une vérification externe annuelle et d’un rapport aux membres; des vérificateurs externes effectuent également des vérifications de gestion.

Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : Les vérifications financières sont effectuées chaque année par des vérificateurs externes, et les rapports sont examinés par les membres par le biais du Comité de vérification, du Comité du budget et du Conseil. Des vérifications de gestion sont réalisées chaque année par des vérificateurs internes et externes; les rapports sont examinés par le Comité de vérification et transmis par la suite aux membres. Les sommaires peuvent être consultés sur le site Web de l’OCDE. Pour de plus amples renseignements, voir OECD Internal Audit and Evaluation (en anglais).

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : Les évaluations des comités de l’OCDE sont réalisées annuellement, selon un cycle de cinq ans, par des évaluateurs internes, et les rapports sont examinés par les membres par l’intermédiaire du Comité d’évaluation et du Comité exécutif. Pour de plus amples renseignements, voir OECD Internal Audit and Evaluation (en anglais).

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : S.O.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

13 970 172

14 747 486

14 109 054

14 131 242

14 131 242

22 188

Total du programme

13 970 172

14 747 486

14 109 054

14 131 242

14 131 242

22 188

Explications sur les écarts

Les montants prévus sont fondés sur la quote-part de l’année précédente, augmentés légèrement pour tenir compte de l’inflation en France (l’OCDE est basée à Paris), et sont calculés en euros. La part du Canada dans le budget de l’OCDE change chaque année, car elle est fondée sur une formule qui tient compte du PIB moyen sur trois ans et des statistiques démographiques d’un pays. Des écarts surviennent également parce que le taux de change de l’euro fluctue et parce que la fin de l’exercice financier diffère de la date où doivent être versées les quotes-parts.

Organisation des États américains

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation des États américains (OEA)

Date de mise en œuvre : 31 mai 1990

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 7. Politique et diplomatie pour les Amériques

Description :

L’OEA a été créée dans le but d’établir un ordre de paix et de justice entre les États membres, de promouvoir leur solidarité, de renforcer leur collaboration et de défendre leur souveraineté, leur intégrité territoriale et leur indépendance. L’OEA est composée de 35 États membres (34 membres actifs) des Amériques et constitue la principale tribune politique, juridique et social-gouvernementale de l’hémisphère. En outre, elle a accordé le statut d’observateur permanent à 69 États ainsi qu’à l’Union européenne. Les quatre piliers de l’OEA cadrent bien avec les priorités du Canada dans les Amériques, soit la démocratie, les droits de la personne, la sécurité et le développement. Établie à Washington, l’OEA est une organisation multilatérale clé pour la défense des intérêts canadiens dans les Amériques. Plus qu’une simple tribune politique, l’OEA joue un rôle précieux dans l’élaboration de politiques et de normes communes pour l’hémisphère.

Résultats atteints

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : S.O.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : Le Canada maintient une mission permanente auprès de l’OEA, dirigée par un ambassadeur, et il compte un représentant permanent auprès de l’OEA, à Washington.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

11 535 398

10 138 174

11 158 891

10 838 195

10 838 195

-320 696

Total du programme

11 535 398

10 138 174

11 158 891

10 838 195

10 838 195

-320 696

Explications sur les écarts

L’écart est attribuable à l’évaluation de la quote-part du Canada pour l’année et aux taux de change du dollar américain au moment du paiement. L’évaluation de la quote-part du Canada s’est établie à 9,801 % du budget ordinaire de l’OEA pour les années civiles 2018 et 2019.

Organisation des Nations Unies

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation des Nations Unies (ONU)

Date de mise en œuvre : Le Canada est membre de l’ONU depuis sa fondation en 1945.

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 3. Politiques multilatérales

Description :

Le versement de la quote-part annuelle du Canada au budget ordinaire de l’ONU est une obligation juridiquement exigible de tous les membres. Par son adhésion, le gouvernement du Canada entend faire progresser les objectifs de sa politique étrangère liés à la paix, à la sécurité et au développement à l’échelle internationale, et disposer d’une tribune pour faire valoir ses points de vue au sein de la communauté internationale. Les quotes-parts permettent de financer les programmes élaborés par l’ONU pour atteindre les objectifs fixés par les Nations Unies, comme énoncés dans sa Charte. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints

Le programme et le budget de l’ONU, qui établissent les objectifs stratégiques et les résultats attendus du travail de l’organisation, sont approuvés tous les deux ans par l’Assemblée générale de l’ONU. Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Web de l’ONU.

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : Le Comité des commissaires aux comptes des Nations Unies (CCCNU) a été créé en 1946. Depuis plus de 70 ans, les responsables des institutions supérieures de contrôle des États membres de l’ONU fournissent des services de vérification indépendants, professionnels et de qualité. Les membres actuels du CCCNU sont l’Allemagne, l’Inde et le Chili. Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter les rapports du Comité des commissaires aux comptes des Nations Unies.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : S.O.

  

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles2016-2017Dépenses réelles2017-2018Dépenses prévues2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

100 964 605

91 383 841

103 266 134

106 987 840

104 435 841

1 169 707

Total du programme

100 964 605

91 383 841

103 266 134

106 987 840

104 435 841

1 169 707

Explications sur les écarts

Les évaluations budgétaires des organisations internationales sont négociées, et les États membres, y compris le Canada, sont juridiquement tenus de respecter le résultat de ces négociations. Les fluctuations monétaires sont également un facteur.

Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO)

Date de mise en œuvre : 1945

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 3. Politiques multilatérales

Description :

Le versement annuel d’une quote-part à la FAO est une obligation juridiquement contraignante de tous les membres. Par son adhésion, le gouvernement du Canada entend faire progresser les objectifs de sa politique étrangère liés au développement agricole et disposer d’une tribune pour faire valoir ses points de vue au sein de la communauté internationale. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Pour plus de détails, veuillez consulter le dernier Rapport sur l’exécution du programme de la FAO, qui informe les États membres sur les travaux réalisés et les résultats obtenus par l’organisation au cours de l’exercice biennal 2016-2017, y compris les rapports sur les indicateurs fondés sur les Objectifs de développement durable des progrès réalisés vers l’atteinte des objectifs stratégiques de l’organisation, conformément au Programme de 2030 et vers une action multilatérale plus responsable et transparente.

Résultats des audits achevés en 2018-2019 :  Le Directeur général de la FAO et le Comité financier ont présenté leur rapport annuel pour 2018. Les résultats peuvent être consultés ici.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : S.O.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

18 686 622

18 462 600

17 989 550

18 860 446

18 860 446

870 896

Total du programme

18 686 622

18 462 600

17 989 550

18 860 446

18 860 446

870 896

Explications sur les écarts

Les évaluations budgétaires des organisations internationales sont négociées, et les États membres, y compris le Canada, sont juridiquement tenus de respecter le résultat de ces négociations. Les fluctuations monétaires sont également un facteur.

Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO)

Date de mise en œuvre : Le Canada est membre de l’UNESCO depuis sa fondation en 1945.

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 3. Politiques multilatérales

Description :

Le versement de la quote-part annuelle du Canada à l’UNESCO est une obligation juridiquement exigible de tous les membres. Par son adhésion, le gouvernement du Canada vise à faire progresser les objectifs de sa politique étrangère liés à l’éducation, à la science et à la culture, et à disposer d’une tribune pour faire valoir ses points de vue au sein de la communauté internationale. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Le programme et le budget de l’UNESCO, qui définissent les objectifs stratégiques et les résultats attendus du travail accompli par l’organisation, sont approuvés tous les deux ans par la Conférence générale de l’UNESCO. Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Web de l’UNESCO.

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : L’UNESCO fait appel aux services d’un vérificateur externe et produit régulièrement des états financiers vérifiés. Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter les rapports de vérification et d’évaluation de l’UNESCO.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : S.O.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

11 591 061

12 272 274

12 217 318

11 733 299

11 733 299

-484 019

Total du programme

11 591 061

12 272 274

12 217 318

11 733 299

11 733 299

-484 019

Explications sur les écarts

Les évaluations budgétaires des organisations internationales sont négociées, et les États membres, y compris le Canada, sont juridiquement tenus de respecter le résultat de ces négociations. Les fluctuations monétaires sont également un facteur.

Organisation du Traité de l’Atlantique Nord - Administration civile

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN) - Administration civile

Date de mise en œuvre : 1er janvier 1989

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012 (modifications)

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 17. Politique liée à la Paix et la sécurité

Description :

La quote-part annuelle du Canada à l’OTAN fait partie des obligations juridiquement contraignantes contractées par les États membres, en vertu du Traité de l’Atlantique Nord de 1949. Cette contribution permet au Canada de poursuivre ses objectifs de politique étrangère par un soutien financier au budget administratif de l’OTAN, une organisation internationale essentielle aux intérêts de défense et de sécurité canadiens. La création de l’OTAN visait à promouvoir la stabilité de la région euro-atlantique ainsi qu’à protéger la liberté et la sécurité de ses habitants dans le respect des principes de la démocratie, de la liberté individuelle et du droit international. Les comptes de l’OTAN font l’objet d’une vérification annuelle par le Collège international des commissaires aux comptes (IBAN) de l’OTAN. De 2014 à 2018, grâce à une contribution nationale volontaire (CNV), le Canada a eu un représentant au sein de l’IBAN pour une période de quatre ans. Le Canada a commencé à verser une CNV différente à l’IBAN à compter d’août 2019. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert. En pratique, tout excédent est crédité à l’exercice suivant.

Résultats atteints :

Résultats des audits achevés en 2018-2019 :  S.O.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : S.O.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

24 914 558

25 615 622

25 246 573

25 669 381

24 883 679

-362 894

Total du programme

24 914 558

25 615 622

25 246 573

25 669 381

24 883 679

-362 894

Explications sur les écarts

La fluctuation des taux de change continue d’avoir une forte incidence sur les dépenses réelles, par opposition aux dépenses prévues. De plus, les dépenses réelles de 2017-2018 ont été plus élevées que prévu en raison des changements apportés au budget civil de l’OTAN.

Organisation du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires (OTICE)

Date de mise en œuvre : Février 1998

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : Décembre 2011 - prolongation indéfinie par le ministre des Affaires étrangères

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 17. Politique liée à la Paix et la sécurité

Description : Verser la quote-part du Canada à l’OTICE, qui est responsable de la mise en œuvre provisoire du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires.

Résultats atteints :

Résultats des audits achevés en 2018-2019 :  Les audits de l’OTICE sont transmis aux États signataires de l’OTICE, mais le grand public n’y a pas accès. Par conséquent, il n’y a aucun audit effectué en 2018-2019 qui peut être présenté pour l’OTICE.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : Les évaluations de l’OTICE sont transmises aux États signataires de l’OTICE, mais le grand public n’y a pas accès. Par conséquent, il n’y a aucune évaluation en 2018-2019 qui peut être présentée pour l’OTICE.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : S.O.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

4,531,823

4,398,798

4,728,974

5,077,204

5,077,204

348,230

Total du programme

4,531,823

4,398,798

4,728,974

5,077,204

5,077,204

348,230

Explications sur les écarts

Les fonds reçus dans le cadre de l’exercice du budget supplémentaire des dépenses (109 000 dollars) ainsi que la réaffectation interne entre les excédents de contributions de 239 000 dollars, pour couvrir les fluctuations des devises étrangères (dollars américains et euros).

Organisation internationale de la Francophonie

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation internationale de la Francophonie (OIF)

Date de mise en œuvre : 9 mars 1972

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 3. Politiques multilatérales

Description : Le versement de la quote-part annuelle du Canada à l’OIF est une obligation juridiquement exigible à titre de membre. Par son adhésion, le gouvernement du Canada vise à promouvoir les valeurs canadiennes (p. ex. la diversité culturelle et linguistique, la démocratie, les droits de la personne et la bonne gouvernance) et ses intérêts, à promouvoir les objectifs de sa politique étrangère liés à la paix, à la sécurité, au développement et à la prospérité à l’échelle internationale, et à renforcer les relations entre les 83 autres États et gouvernements de la Francophonie. L’OIF peut être tenue de rembourser le financement obtenu dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : S.O.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : Chaque année, l’administrateur de l’OIF présente à ses membres un examen de l’organisation et de ses activités de programmation. Les réalisations en matière de programmation pour 2018-2019 seront présentées à l’automne 2019 dans le cadre du rapport d’étape annuel de l’OIF sur sa programmation de 2015-2018.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

16 813 963

15 278 121

15 392 095

15 352 851

15 352 851

-39 244

Total du programme

16 813 963

15 278 121

15 392 095

15 352 851

15 352 851

-39 244

Explications sur les écarts

Les dépenses prévues pour 2018-2019 représentent le montant anticipé de la contribution statutaire à l’OIF pour les années 2018 et 2019. Les dépenses réelles représentent les versements effectués en 2018-2019, soit le deuxième et dernier versement de la contribution statutaire du Canada à l’OIF pour l’année 2018 et le premier versement de la contribution statutaire à l’OIF pour l’année 2019. Un autre facteur expliquant la différence entre les dépenses prévues et les dépenses réelles est la différence dans le taux de change entre le moment où le montant prévu en euros a été calculé en dollars canadiens et le moment où les paiements ont été effectués. Entre 2016 et 2019, les quotes-parts ont augmenté de 1,5 % par année.

Organisation internationale du travail

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation internationale du travail (OIT)

Date de mise en œuvre : Le Canada est membre de l’OIT depuis sa fondation en 1919.

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 3. Politiques multilatérales

Description :

Le versement de la quote-part annuelle du Canada à l’OIT, un organisme spécialisé des Nations Unies, est une obligation juridiquement exigible de tous les membres. Par son adhésion, le gouvernement du Canada entend faire progresser les objectifs de sa politique étrangère liés aux questions sociales et en matière de travail à l’échelle mondiale, et disposer d’une tribune pour faire valoir ses points de vue au sein de la communauté internationale. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints

Le programme et le budget de l’OIT, qui définissent les objectifs stratégiques et les résultats attendus du travail accompli par l’organisation, sont approuvés tous les deux ans par la Conférence internationale du travail. Pour plus de détails sur les résultats et les plans, veuillez consulter le programme et le budget 2020-2021 de l’OIT.

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : L’OIT fait appel aux services d’un vérificateur externe et produit régulièrement des états financiers vérifiés

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : S.O.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

14 835 877

14 398 848

14 378 224

14 000 477

14 000 477

-377 747

Total du programme

14 835 877

14 398 848

14 378 224

14 000 477

14 000 477

-377 747

Explications sur les écarts

Les évaluations budgétaires des organisations internationales sont négociées, et les États membres, y compris le Canada, sont juridiquement tenus de respecter le résultat de ces négociations. Les fluctuations monétaires sont également un facteur.

Organisation mondiale de la santé

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation mondiale de la santé (OMS)

Date de mise en œuvre : Le Canada est membre de l’OMS depuis sa fondation en 1948.

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 3. Politiques multilatérales

Description : Le versement de la quote-part annuelle du Canada à l’OMS est une obligation juridiquement exigible de tous les membres. Par son adhésion, le gouvernement du Canada entend faire progresser les objectifs de sa politique étrangère liés à la santé et disposer d’une tribune pour faire valoir ses points de vue au sein de la communauté internationale. Pour de plus amples renseignements, veuillez visiter le site Web de l’OMS. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints

Le programme général de travail de l’OMS définit le plan de travail de haut niveau de l’organisation pour une période de quatre ans. En 2018, la 71e Assemblée mondiale de la Santé a approuvé le 13e programme général de travail de l’OMS pour les années 2019 à 2023. En outre, l’OMS dispose de budgets de programme biennaux qui définissent les objectifs stratégiques et les résultats attendus du travail accompli par l’organisation et qui sont approuvés tous les deux ans par l’Assemblée mondiale de la Santé. Pour plus de détails sur les résultats et les plans, veuillez consulter le budget de programme de l’OMS.

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : L’OMS fait appel aux services d’un vérificateur externe et produit régulièrement des états financiers vérifiés.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : S.O.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

17 917 997

17 930 314

17 725 399

18 709 176

18 709 176

983 777

Total du programme

17 917 997

17 930 314

17 725 399

18 709 176

18 709 176

983 777

Explications sur les écarts

Les évaluations budgétaires des organisations internationales sont négociées, et les États membres, y compris le Canada, sont juridiquement tenus de respecter le résultat de ces négociations. Les fluctuations monétaires sont également un facteur.

Organisation mondiale du commerce

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation mondiale du commerce (OMC)

Date de mise en œuvre : 1er janvier 1995

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2009-2010

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 18. Politique et négociations commerciales, accords et différends

Description :

Pierre angulaire de la politique commerciale du Canada, l’OMC fournit un ensemble commun de règles, de droits et d’obligations pour les politiques commerciales de ses 164 États membres et une tribune où le Canada peut promouvoir ses intérêts commerciaux le plus largement possible. L’OMC donne au Canada l’occasion de créer des alliances, d’influencer les règles et d’obtenir des concessions sur des questions où le pays pourrait autrement avoir moins de poids. Des enjeux comme les subventions agricoles et les préoccupations réglementaires (p. ex. mesures sanitaires et phytosanitaires) sont traités plus efficacement de façon multilatérale. L’OMC dispose également d’un solide système de règlement des différends, auquel le Canada a régulièrement recours. Grâce au travail continu de ses nombreux comités, l’OMC fournit une tribune où le Canada peut soulever et résoudre un éventail d’irritants commerciaux et de problèmes d’accès aux marchés. Enfin, l’OMC est également une tribune active pour le suivi et la surveillance des politiques commerciales.

Les négociations à l’OMC sont en fait au point mort depuis 2008, les membres ne parvenant pas à s’entendre sur la question de savoir si les mandats du Programme de Doha pour le développement (PDD) demeurent une base pertinente et viable à partir de laquelle faire progresser les négociations multilatérales. Le Canada et d’autres pays aux vues similaires croient que les mandats du PDD ne sont plus viables et que l’OMC doit explorer de nouvelles façons de conclure les travaux sur les questions en suspens du Cycle de Doha, tout en examinant les enjeux qui ne sont pas explicitement mentionnés dans les mandats de Doha. De plus en plus, les membres de l’OMC s’entendent pour dire que l’Organisation doit être renforcée et modernisée. En tant que membre actif de l’Organisation et conformément à son leadership traditionnel en commercial multilatéral, le Canada a réuni un petit groupe de pays aux vues similaires (le « Groupe d’Ottawa ») dans le but d’aider à orienter les discussions vers des idées réalistes et pragmatiques pour sauvegarder et mettre à jour l’OMC.

Résultats atteints

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : Chaque année civile, l’OMC fait l’objet d’un audit par des vérificateurs externes. En sa qualité de membre de l’OMC, le Canada a accès à toutes les vérifications, à toutes les évaluations et à tous les examens de rendement qu’effectue l’OMC ou qui sont effectués en son nom. Dans son rapport de vérification de rendement publié le 7 juin 2019, le vérificateur externe a attesté que les états financiers de l’OMC reflétaient avec exactitude la situation financière de l’Organisation au 31 décembre 2018 et a émis une opinion sans réserve sur ces états.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : Les vérificateurs externes de l’OMC effectuent une vérification de rendement de l’Organisation, lequel s’appuie sur les normes établies par l’Organisation internationale des institutions supérieures de contrôle des finances publiques. Le rapport de la vérification de rendement de 2018 a été publié le 7 juin 2019.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : S.O.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

6 547 332

6 417 507

7 032 217

6 667 603

6 667 603

-364 614

Total du programme

6 547 332

6 417 507

7 032 217

6 667 603

6 667 603

-364 614

Explications sur les écarts

La contribution du Canada au budget de l’OMC est établie en fonction de sa part du commerce mondial et est calculée et payée en francs suisses. Les dépenses prévues s’appuient sur les meilleurs renseignements disponibles au moment de leur calcul. Les dépenses réelles représentent le montant exact de la contribution calculé à la fin de 2017 et converti en dollars canadiens au moment du paiement. L’écart s’explique par la fluctuation du taux de change entre la période où l’estimation a été préparée et celle où le paiement a été effectué.

Organisation panaméricaine de la santé

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation panaméricaine de la santé (OPS)

Date de mise en œuvre : Juillet 2008

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Quote-part

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2013-2014

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 7. Politique et diplomatie pour les Amériques

Description :

Objectif : Respecter l’obligation du Canada, en tant qu’État membre de l’OPS, de fournir du financement à l’Organisation pour faire progresser son travail de santé publique dans les Amériques. Le programme permet au Canada de protéger la santé des Canadiens en faisant progresser ses priorités mondiales et régionales en matière de santé et de politique étrangère et en contribuant à la sécurité de la région des Amériques.

Méthode(s) d’intervention : L’adhésion à l’OPS permet au Canada de : 1) protéger la santé des Canadiens; 2) faire avancer les priorités du Canada en matière de santé et d’aide internationale par une gestion efficace et en temps opportun des urgences médicales et des épidémies dans la région; 3) collaborer à l’élaboration de lignes directrices et à l’échange de renseignements sur la santé publique; 4) renforcer la capacité de la région des Amériques à observer les normes internationales par des analyses comparatives des politiques, la collaboration et le partage des pratiques exemplaires.

Contributions remboursables : non

Résultats atteints

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : S.O.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 :

En tant que membre de l’OPS, le Canada siège au Conseil d’orientation à titre de membre votant et peut ainsi influencer l’orientation du travail de l’Organisation et l’utilisation de ses budgets. À la suite du 56e Conseil d’orientation tenu en 2018, on a demandé au Canada de présider le 164e Comité exécutif pour un mandat allant de septembre 2018 à octobre 2019. Le Comité exécutif est composé de neuf États membres (élus pour des mandats de trois ans). En 2017, le Canada a amorcé un mandat de trois ans à titre de membre du Comité exécutif de l’OPS.

De plus, le Canada participe activement à un certain nombre de groupes de travail, y compris celui chargé de l’élaboration du Plan stratégique 2020-2025 de l’OPS.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

13 781 627

12 399 672

13 632 639

14 141 719

12 627 756

-1 004 883

Total du programme

13 781 627

12 399 672

13 632 639

14 141 719

12 627 756

-1 004 883

Explications sur les écarts

La quote-part annuelle du Canada à l’OPS est calculée en dollars américains et versée en dollars canadiens. Les écarts entre les dépenses prévues et les dépenses réelles sont attribuables aux fluctuations du taux de change.

Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe

Nom du programme de paiements de transfert : Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE)

Date de mise en œuvre : 1er janvier 1993

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2012-2013

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 17. Politique liée à la Paix et la sécurité

Description :

Le versement de la quote-part annuelle du Canada à l’OSCE est une obligation juridiquement exigible de tous les membres faisant partie de ce qui est devenu la plus grande organisation de sécurité régionale au monde, qui compte 57 États participants d’Amérique du Nord, d’Europe et d’Eurasie. La participation du Canada contribue à l’atteinte de ses objectifs de politique étrangère liés aux droits de la personne, aux libertés fondamentales, à la démocratisation, aux États fragiles, à la prévention des conflits, à la gestion des crises, à la médiation, au développement post-conflit et au contrôle des armements. À ces fins, il participe au financement des opérations de l’OSCE, aux réunions du Conseil permanent, aux groupes de travail, aux conférences stratégiques et aux ateliers d’experts, à la médiation sur le terrain, à l’amélioration sociale et aux programmes de renforcement des capacités mis en œuvre par le secrétariat de l’OSCE, les institutions autonomes et les missions sur le terrain.

Les contributions du Canada à l’OSCE comprennent également des paiements versés pour administrer et mettre en œuvre deux régimes de contrôle des armes classiques juridiquement contraignants auxquels le Canada est partie, soit le Traité sur le régime « Ciel ouvert » (dont le Canada est codépositaire, avec la Hongrie) et le Traité sur les forces conventionnelles en Europe, ainsi que l’accord politiquement contraignant du Document de Vienne. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : Le rapport et les états financiers font l’objet d’une vérification annuelle par des vérificateurs externes. Le mandat a été confié à la Cour de contrôle d’Espagne au cours des quatre dernières années, y compris en 2018. Elle a émis un avis d’audit sans réserve sur les états financiers pour l’exercice se terminant le 31 décembre 2018. La Cour des comptes de France a été nommée comme vérificateur externe pour les trois prochaines années. Le Bureau de la surveillance interne de l’OSCE effectue un certain nombre de vérifications et d’évaluations internes chaque année et présente un rapport sommaire aux États participants.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : Le bureau de suivi interne de l’OSCE effectue de nombreux audits internes et évaluations chaque année et fournit un rapport sommaire aux États participants. Le Canada n’a participé à aucune de ces évaluations en 2018-2019.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : S.O.

  

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

20 289 813

18 312 763

18 809 554

18 892 587

17 492 046

-1 317 508

Total du programme

20 289 813

18 312 763

18 809 554

18 892 587

17 492 046

-1 317 508

Explications sur les écarts

On s’attendait à ce que de nouvelles échelles de contribution soient approuvées pour 2018-2019, ce qui aurait signifié des augmentations pour le Canada. Les nouvelles échelles ont été bloquées par d’autres États, ce qui a mené à une reconduction des échelles précédentes. Cette situation, conjuguée aux fluctuations du taux de change, explique les écarts.

Programme CanExport

Nom du programme de paiements de transfert : Programme CanExport

Date de mise en œuvre : 11 décembre 2008

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Subventions et contributions

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2008-2009 (mises à jour : 2013-2014 : inclusion du Programme de marketing pour les zones franches [PM-ZF]; 2015-2016 : inclusion du programme CanExport; 2017-2018 : modification des modalités du programme et nouvelle désignation pour passer de Programme de soutien sur les marchés mondiaux à Programme de soutien au commerce et à l’investissement; 2018-2019 : financement supplémentaire [50 millions de dollars sur cinq ans] en réponse au Budget 2018 pour accroître la diversification du commerce international; 2019-2020 : financement supplémentaire [100 millions de dollars sur cinq ans] en réponse à l’Énoncé économique d’automne, modification des modalités du programme et nouvelle désignation pour passer de Programme de soutien au commerce et à l’investissement à Programme CanExport)

Lien au Répertoire des programmes du Ministère :

Programme 20. Développement du commerce international

Programme 21. Innovation et investissement international

Description :

Le programme CanExport harmonise quatre grands piliers régis par un mécanisme général, soit :

Le programme a pour objectif d’accroître la capacité du Canada de soutenir efficacement la concurrence dans l’économie mondiale. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Les rapports finaux de CanExport sur les projets achevés par les PME en 2018-2019 montrent qu’au moment de leur achèvement et comme résultat direct, 29 % des entreprises avaient obtenu divers degrés de succès, 18 % avaient atteint un résultat intermédiaire, tandis que 15 % avaient pu réaliser des ventes à l’exportation dans un nouveau marché totalisant 93 825 000 $.

Les résultats obtenus grâce aux activités financées par CanExport pour les piliers Associations et Investissements des communautés contribuent à renforcer la capacité du Canada de soutenir la concurrence dans l’économie mondiale. Selon les réponses au questionnaire, 100 % des communautés ont déclaré avoir amélioré leur capacité de bien servir les investisseurs éventuels, 92 % des associations ont déclaré qu’un plus grand nombre d’entreprises canadiennes participent au commerce international grâce aux projets financés, et 85 % des associations ont déclaré que les projets financés ont entraîné des ventes ou la conclusion de contrats à l’étranger. En outre, les réponses au questionnaire ont montré d’autres preuves du flot d’investissements étrangers directs et de la création ou de la conservation des emplois.

Les données cumulatives de CanExport sur le pilier Innovation obtenues par le truchement des rapports finaux des bénéficiaires sur les projets approuvés ou achevés en 2018-2019 montrent que 73 % des bénéficiaires sont beaucoup plus au fait des possibilités de R-D sur les marchés étrangers. Les bénéficiaires ont déclaré avoir rencontré un total de 1 095 contacts à l’étranger, ce qui a donné lieu à la concrétisation de 46 bonnes occasions, comme en témoigne la signature d’ententes de non-divulgation, de lettres d’intention, d’accords de divulgation confidentielle et de protocoles d’entente (54 % des projets achevés) et de 33 ententes de partenariat en recherche et développement d’une valeur de plus de 8,6 millions de dollars (39 % des projets achevés). Au cours de l’exercice 2018-2019, CanExport Innovation a approuvé un financement de 1,1 million de dollars, ce qui représente un rendement du capital investi d’environ 8 pour 1.

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : S.O.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : Aucun (A noter que les évaluations prévues pour 2018-2019 et 2019-2020 ont été reportées à l’exercice 2020-2021.)

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : Dans le cadre du programme CanExport, les bénéficiaires doivent remplir un questionnaire annuel. Ce mécanisme permet à ces derniers de fournir une rétroaction directe à la direction du programme. Même si le questionnaire ne porte pas sur les petites et moyennes entreprises associées à CanExport, les PME bénéficiaires soumettent des rapports finaux et des aperçus annuels afin de fournir des commentaires et des données sur les résultats associés à leurs projets individuels. Le programme CanExport vise également à recueillir les commentaires des demandeurs et des bénéficiaires par des activités proactives de mobilisation et par des communications continues liées à l’exécution du programme.

 

Renseignements financiers (en dollars)

ProgrammeType de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

20.

Développement du commerce international

Total des contributions

11 911 419

12 312 259

13 275 000

13 275 000

12 581 901

-693 099

Total du programme

11 911 419

12 312 259

13 275 000

13 275 000

12 581 901

-693 099

21.

Innovation et investissement international

Total des contributions

3 850 492

3 980 068

3 762 363

4 927 731

4 067 233

304 870

Total du programme

3 850 493

3 980 069

3 762 363

4 927 731

4 067 233

304 870

Total

15 761 912

16 292 328

17 037 363

18 202 731

16 649 134

-388 229

Explications sur les écarts

Les projets financés par les piliers de CanExport sont approuvés en fonction d’estimations; toutefois, dans certains cas, les dépenses réelles ont été moins élevées. De plus, les dépenses réelles pour 2018-2019 ont comporté des comptes à payer en fin d’exercice; par conséquent, les dépenses totales pour 2018-2019 peuvent être inférieures à celles indiquées dans le tableau ci-dessus.

Programme d’aide au renforcement des capacités antiterroristes

Nom du programme de paiements de transfert : Programme d’aide au renforcement des capacités antiterroristes (PARCA)

Date de mise en œuvre : Septembre 2005

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Subventions et contributions

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012 (modifications); 2015-2016 (modifications)

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 31. Programmes visant à renforcer les capacités de lutte contre la criminalité et le terrorisme

Description :

Le PARCA vise à réduire les menaces à la sécurité que représente le terrorisme pour les Canadiens et les populations touchées, en particulier les femmes et les filles, dans les pays où intervient le Canada. Le PARCA offre de la formation, de l’équipement, une infrastructure et de l’assistance technique pour améliorer la capacité des États bénéficiaires, des entités gouvernementales et des organisations internationales à prévenir les menaces posées par les activités terroristes et à y réagir.

Le PARCA concentre ses activités sur la lutte contre l’extrémisme violent et les combattants terroristes étrangers, la lutte contre le financement du terrorisme, la prévention de l’extrémisme violent et la sécurité des infrastructures essentielles.

Résultats atteints :

L’établissement de programmes dans les pays visés par le PARCA pose de nombreuses difficultés, et les résultats peuvent sembler limités et volatils. Cette situation tient au fait que ces pays sont non seulement exposés à des menaces terroristes, mais aussi confrontés à des conditions de fragilité généralisées. Ainsi, six des pays visés par les programmes du PARCA figurent parmi les 10 pays les plus à risque, tant sur l’Indice du terrorisme mondial que sur l’Indice de fragilité de l’État. La quantification des résultats des efforts de programmation spécifiques du PARCA peut s’avérer de faible valeur dans des contextes nationaux aussi imprévisibles.

Toutefois, la réalisation de projets individuels (dont plusieurs sont de nature classifiée) et la coopération avec des partenaires aux vues similaires ont permis d’obtenir les résultats suivants :

Résultats des audits achevés en 2018-2019 :  Quatre vérifications des bénéficiaires ont été effectuées en 2018-2019. Toutes les recommandations formulées ont été mises en œuvre, et les conclusions de l’audit ont révélé une comptabilisation plus précise du temps du projet et de l’admissibilité des coûts.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 :  Aucune évaluation du programme n’a été effectuée au cours de la période de référence, toutefois, une évaluation du programme ministériel est prévue en 2020.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : Les programmes du PARCA sont offerts par le biais des ministères et des organismes du gouvernement du Canada, de certaines institutions multilatérales, de gouvernements étrangers, d’organisations non gouvernementales et d’entités privées. Au cours de la période visée par le rapport, le PARCA s’est principalement attaché à encourager les autres ministères du gouvernement à joindre une analyse comparative entre les sexes à leurs propositions et aux programmes subséquents.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des subventions

7 920 579

8 642 123

13 970 000

31 043 141

9 197 273

-4 772 727

Total des contributions

40 158 070

27 077 571

8 518 065

48 272 336

48 272 336

39 754 271

Total du programme

48 078 649

35 719 694

22 488 065

79 315 477

57 469 609

34 981 544

Explications sur les écarts

L’augmentation des dépenses est principalement attribuable à un financement de 32 074 010 $ reçu en cours d’exercice pour les projets de l’Opération Impact de la Défense nationale et à l’obtention de fonds supplémentaires provenant d’une réaffectation interne des crédits de la Stratégie pour le Moyen-Orient.

Programme pour la stabilisation et les opérations de paix

Nom du programme de paiements de transfert : Programme pour la stabilisation et les opérations de paix (PSOP)

Date de mise en œuvre : 2016

Date d’échéance : Autorisations permanentes en matière de politiques et de financement reçues en 2018

Type de paiement de transfert : Subventions et contributions

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2018-2019

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 30. Stabilisation et opérations de paix

Description :

Le PSOP est la principale plateforme du gouvernement du Canada pour la prévention des conflits, la consolidation de la paix et la stabilisation. Il intervient dans des États fragiles et touchés par des conflits en mobilisant les ressources des institutions multilatérales, des organisations non gouvernementales, des partenaires de mise en œuvre et des pays aux vues similaires et en établissant des partenariats avec ceux-ci. En 2018, le PSOP est devenu un programme permanent du gouvernement du Canada, ce qui représente une étape importante dans la façon dont le gouvernement du Canada s’outille et se structure pour prévenir les conflits, répondre aux défis entourant la paix et la stabilité et appuyer une transformation de la manière dont le pouvoir politique, économique et social est négocié, partagé et utilisé par différents intervenants dans les États fragiles et touchés par des conflits.

Le PSOP a deux responsabilités principales :

Le Programme offre une aide visible et concrète aux États touchés par des conflits et des crises grâce à des programmes ciblés, au déploiement de civils et de policiers canadiens (en partenariat avec Sécurité publique Canada et la GRC) et à un soutien direct aux opérations de paix multilatérales et des Nations Unies et aux efforts de prévention des conflits, de médiation et de consolidation de la paix.

Résultats atteints

Les programmes du PSOP ont versé 162 millions de dollars pour promouvoir la paix et la stabilité dans les États fragiles et touchés par des conflits. Ces fonds ont été octroyés au moyen d’un financement ciblé dans des domaines d’intervention transversaux, notamment les opérations de paix, la prévention des conflits, la médiation et la consolidation de la paix, l’inclusion, la diversité, les droits de la personne et la protection des civils. Un financement ciblé a également été accordé pour les femmes, la paix et la sécurité. Les programmes ont inclus également des initiatives de stabilisation propres aux pays, mises en place en Afghanistan, en Cisjordanie/Gaza, en Colombie, en Haïti, en Irak, au Liban, au Mali/Sahel, au Myanmar, aux Philippines, en République démocratique du Congo, au Soudan du Sud, en Syrie et en Ukraine.

En 2018-2019, le PSOP a joué un rôle clé dans la contribution d’Affaires mondiales Canada à tous les efforts de la coalition mondiale pour vaincre Daech et en tant que point de convergence pour le Groupe de travail sur la stabilisation.

Affaires mondiales Canada, par le truchement du PSOP, a également pris l’initiative d’une réponse ministérielle à la crise au Yémen immédiatement après les accords conclus à Stockholm en décembre 2018. Puis, le Ministère a coordonné, avec les intervenants du gouvernement du Canada, l’élaboration d’un plan pour appuyer la paix et la stabilité au Yémen.

À la suite de la restructuration organisationnelle de 2018-2019, la responsabilité et le financement liés à la coordination pangouvernementale des interventions en cas de catastrophes naturelles ont été transférés du PSOP au Bureau d’assistance humanitaire internationale du Secteur des enjeux mondiaux et du développement. Par conséquent, le PSOP ne fait plus état des résultats relatifs à la coordination des interventions en cas de catastrophe naturelle.

Grâce au leadership du PSOP, le Canada a apporté une contribution notable aux opérations de maintien de la paix de l’ONU en 2018-2019. Le PSOP a mis de l’avant des approches novatrices pour relever les défis que pose la présence d’enfants soldats dans des contextes de maintien de la paix, pour accroître la participation significative des femmes en uniforme aux opérations de paix et pour fournir les capacités et la formation spécialisées dont l’ONU a besoin pour remplir son mandat. (Veuillez consulter les renseignements supplémentaires sur les deux initiatives phares du Canada - L’Initiative Elsie pour la participation des femmes aux opérations de paix et les Principes de Vancouver sur le maintien de la paix et la prévention du recrutement et de l’utilisation d’enfants soldats.)

En collaboration avec les partenaires de l’Arrangement sur la police civile canadienne (APCC), Affaires mondiales Canada a fait passer à 75 le nombre de policiers canadiens déployés dans le cadre d’opérations internationales de maintien de la paix et de stabilisation (39 hommes et 36 femmes; 48 % de femmes).

Affaires mondiales Canada a déployé 17 experts civils en 2018-2019 (9 hommes et 8 femmes; 48 % de femmes). Parmi les domaines de compétence des experts civils, soulignons la justice transitionnelle, la mise en œuvre de la dimension des droits de la personne des accords de paix, la réforme du secteur de la sécurité (y compris la défense et les services correctionnels) et le changement institutionnel.

En septembre 2018, le Canada a déposé au Parlement du Canada son premier rapport d’étape annuel sur le deuxième Plan national d’action du Canada consacré aux femmes, à la paix et à la sécurité (2017-2022). Ce rapport annuel a mesuré les progrès réalisés à l’égard des cinq objectifs du Plan d’action et a été accompagné de rapports d’étape propres à chaque ministère de manière à pouvoir évaluer les progrès réalisés à l’échelle du gouvernement du Canada dans la mise en œuvre du Plan d’action.

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : Le PSOP n’a pas exigé de vérification au cours de l’exercice 2018-2019.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : Aucune évaluation n’a été effectuée au cours de l’exercice 2018-2019. Conformément au plan d’évaluation quinquennal continu, une évaluation du PSOP sera effectuée en 2020-2021.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 :

En 2018-2019, le PSOP a reçu 79 demandes initiales de projet et approuvé 43 nouvelles initiatives.

Les agents de projet du PSOP ont mené 26 missions d’établissement de la portée et de suivi en Afrique (Burkina Faso, Cameroun, Mali, République centrafricaine, Sénégal et Soudan du Sud), dans les Amériques (Colombie et Haïti), en Asie (Myanmar, Philippines et Sri Lanka), en Europe de l’Est (Ukraine) et au Moyen-Orient (Cisjordanie/Gaza, Irak, Israël, Jordanie et Liban). Ces missions ont eu pour objectif de rencontrer les représentants du gouvernement et des organisations à l’échelle nationale et internationale pour discuter de projets potentiels, surveiller le rendement des projets en cours et examiner les facteurs d’instabilité.

Les missions ont comporté des consultations avec des intervenants de la société civile et des représentants des gouvernements et d’organisations multilatérales. Au total, 24 des 26 missions (92 %) ont inclus des réunions avec des associations de femmes et, dans la mesure du possible, de ministères responsables des questions féminines ainsi qu’une visite des bureaux locaux de l’ONU actifs dans le domaine des droits des femmes.

Aussi, deux missions d’établissement de la portée et de suivi, respectivement au Mali et en Ukraine, ont été menées expressément à l’appui de l’APCC et ont comporté des réunions avec les représentants des gouvernements et des organisations concernés à l’échelle nationale et internationale, y compris des associations de femmes. En plus de ces missions, des déplacements au siège de l’ONU à New York ont eu lieu et ont permis de rencontrer des représentants d’ONU Femmes et de la Division de police de l’ONU. Un voyage à Rome a également eu lieu pour assister à la réunion du sous-groupe de la formation policière pour l’Irak; ce voyage a donné lieu à des rencontres avec des représentants des membres de la coalition mondiale, de l’Union européenne et du Programme des Nations Unies pour le développement ainsi qu’avec d’autres intervenants clés de l’Irak.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des subventions

133 985 518

142 733 211

133 000 000

96 343 133

96 343 133

-36 656 867

Total des contributions

40 638 721

110 127 787

45 500 000

65 284 986

65 284 986

19 784 986

Total du programme

174 624 239

252 860 998

178 500 000

161 628 119

161 628 119

-16 871 881

Explications sur les écarts

Le PSOP a programmé et décaissé avec succès les fonds du paiement de transfert. Les dépenses ont été inférieures au montant prévu pour les subventions et supérieures aux prévisions pour les contributions en raison d’une réaffectation entre ces deux postes au cours de l’exercice afin de mieux répondre aux besoins sur le terrain. L’écart au chapitre des dépenses totales est en grande partie attribuable au fait que les fonds supplémentaires pour les programmes en Afghanistan n’ont pas été transférés au PSOP, contrairement à ce qui avait été prévu au départ, et ont été dépensés par le Secteur Asie-Pacifique du Ministère.

Programme visant à renforcer les capacités de lutte contre la criminalité

Nom du programme de paiements de transfert : Programme visant à renforcer les capacités de lutte contre la criminalité (PRCLC)

Date de mise en œuvre : 9 décembre 2009

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Subventions et contributions

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012 (modifications); 2015-2016 (modifications)

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 31 : Programmes visant à renforcer les capacités de lutte contre la criminalité et le terrorisme

Description : Le PRCLC a été créé en 2009 pour aider les principaux États bénéficiaires, leurs entités gouvernementales et les organisations internationales à renforcer leur capacité de prévenir les menaces que posent les activités criminelles internationales au Canada et dans la région, et d’y réagir. Bien que le Programme demeure axé principalement sur les Amériques, son mandat est maintenant de portée mondiale. Les activités du PRCLC s’articulent autour de sept priorités thématiques, soit la réforme du secteur de la sécurité, les drogues illicites, la corruption, la traite des êtres humains, le blanchiment d’argent et le produit du crime, la prévention de la criminalité (y compris la prévention de la cybercriminalité) et le passage clandestin des migrants. L’Enveloppe contre le passage de clandestins a été créée dans le cadre du PRCLC afin de s’attaquer à la menace que pose le passage de clandestins pour les intérêts canadiens. Les activités visent précisément à augmenter la capacité des autorités locales d’entraver, d’interdire et de décourager les entreprises de passage de clandestins à destination du Canada.

Résultats atteints : Grâce à divers projets individuels menés en collaboration avec des partenaires aux vues similaires, les programmes du PRCLC ont permis d’obtenir les résultats suivants :

* Les programmes du PRCLC visent à contrer l’insécurité et à faire progresser l’état de droit. Ils sont également fondés sur les menaces possibles pour le Canada de sorte qu’ils ont une portée en grande partie régionale, ce qui permet d’accroître leur incidence et de promouvoir la coopération régionale entre les pays.

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : Aucun

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : La prochaine évaluation aura lieu en 2020.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : Le Programme offre une programmation par le biais de ministères et d’organismes du gouvernement du Canada, de certaines institutions multilatérales, de certains gouvernements étrangers et d’organisations non gouvernementales.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des subventions

9 356 430

4 929 666

7 250 000

5 933 879

5 903 297

-1 346 703

Total des subventions

7 735 084

11 085 595

5 601 782

10 310 094

10 310 094

4 708 312

Total du programme

17 091 514

16 015 261

12 851 782

16 243 973

16 213 391

3 361 609

Explications sur les écarts

En tout, 96 % des fonds de l’enveloppe globale du PRCLC ont été affectés aux programmes. Il n’a pas été possible d’obtenir les mêmes résultats pour l’Enveloppe du passage de clandestins en raison de retards dans le processus de renouvellement, de l’incertitude entourant la disponibilité des fonds et de changements au sein de l’effectif. L’écart entre les dépenses prévues et les dépenses réelles s’explique en grande partie par la conversion de subventions, totalisant 2 829 736 $, en contributions. Les dépenses réelles ont également été plus élevées que prévu par suite de l’émission en 2018-2019 d’un paiement planifié pour 2019-2020.

Projets et activités de développement découlant des sommets de la Francophonie

Nom du programme de paiements de transfert : Projets et activités de développement découlant des sommets de la Francophonie

Date de mise en œuvre : 9 mars 1979

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2011-2012

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 29. Aide internationale multilatérale

Description : Ce programme finance des programmes et des activités de coopération entrepris par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Il offre également un soutien financier au gouvernement du Nouveau-Brunswick pour favoriser sa participation aux sommets, aux conférences ministérielles et à d’autres activités connexes de La Francophonie. Ce programme fait la promotion des intérêts canadiens et est conforme aux objectifs politiques et économiques du Canada pour La Francophonie. Les bénéficiaires peuvent être tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Le Canada maintient un engagement fort à l’égard de l’Organisation internationale de la Francophonie, une tribune importante qu’il met à profit pour mobiliser la communauté internationale autour d’enjeux prioritaires. Le Canada a activement contribué à l’élaboration de la programmation quadriennale 2019-2022 de l’OIF, laquelle a été adoptée au Sommet d’Erevan en octobre 2018 et a encouragé l’organisation à prendre en compte l’égalité entre les sexes dans la mise en œuvre de ses 18 programmes. Le Canada a aussi joué un rôle actif dans l’élaboration de la Stratégie de la Francophonie pour la promotion de l’égalité femmes-hommes, des droits et de l’autonomisation des femmes et des filles, déclaration adoptée également au Sommet d’Erevan. Le Canada a collaboré avec tous ses partenaires de manière à faire de ce thème une priorité transversale sous-tendant l’ensemble des actions des institutions de la Francophonie.

Par ailleurs, toujours au Sommet d’Erevan en 2018, le Canada a joué un rôle de chef de file dans l’élaboration et l’adoption de la première politique de consolidation de la transparence de l’OIF. Le Canada a ainsi plaidé en faveur du renforcement des mesures de gouvernance et de transparence afin de consolider davantage les pratiques de gouvernance administrative et financière de l’Organisation. En mars 2019, le leadership du Canada a été reconnu par la secrétaire générale et les membres de l’OIF avec la nomination de la Canadienne Catherine Cano, qui est devenue la première femme administratrice de l’histoire de l’OIF.

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : Aucun

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : Aucun

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : Chaque année, l’administrateur de l’OIF présente à ses membres un examen de l’organisation et de ses activités de programmation. Les réalisations en matière de programmation pour 2018-2019 seront présentées à l’automne 2019 dans le cadre du rapport d’étape 2018 sur la programmation de l’OIF.

  

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

7 829 949

8 202 500

8 000 000

8 297 000

8 297 000

297 000

Total du programme

7 829 949

8 202 500

8 000 000

8 297 000

8 297 000

297 000

Explications sur les écarts

Depuis l’exercice 2012-2013, ce programme fournit 7,5 millions de dollars en financement volontaire à l’OIF et à ses institutions et 0,8 million de dollars en soutien financier au gouvernement du Nouveau-Brunswick, pour un total de 8,3 millions de dollars. Comme le financement de ce programme est fixé à 8 millions de dollars, ce dernier reçoit 0,3 million de dollars par année en financement supplémentaire provenant d’autres fonds d’Affaires mondiales Canada.

En 2018-2019, il n’a pas été nécessaire de verser en entier ce financement supplémentaire de 0,3 million de dollars puisque l’OIF et ses institutions n’ont pas reçu du gouvernement la totalité de leur financement (elles ont obtenu 7 497 000 $, comparativement à une contribution volontaire prévue de 7,5 millions de dollars). La contribution volontaire que l’OIF et ses institutions reçoivent est fondée sur le taux de mise en œuvre de leurs programmes au cours de l’exercice. Pour ces raisons, les dépenses réelles pour 2018-2019 se sont élevées à 8 297 000 $ au lieu de 8,3 millions de dollars.

Secrétariat du Commonwealth

Nom du programme de paiements de transfert : Secrétariat du Commonwealth

Date de mise en œuvre : 28 septembre 1965

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Contribution

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2006-2007

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 3. Politiques multilatérales

Description : Le versement de la quote-part annuelle du Canada au budget régulier du Commonwealth est une obligation juridiquement exigible de tous les membres. L’adhésion du Canada a pour but de promouvoir les objectifs de politique étrangère du gouvernement du Canada en matière de paix, de sécurité et de développement dans le monde et, à cette fin, de renforcer les relations entre les 53 pays membres du Commonwealth. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les fonds obtenus dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : Aucune vérification n’a été effectuée ou n’est prévue par Affaires mondiales Canada. Le Conseil des gouverneurs du secrétariat du Commonwealth, composé de représentants des États membres, dont le Canada, reçoit chaque année un rapport de vérification externe et donne suite aux opinions qui s’y trouvent. Le Comité de vérification suit également le travail du secrétariat du Commonwealth et commande des vérifications internes, au besoin.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : Aucune évaluation n’a été effectuée par Affaires mondiales Canada. En 2018-2019, le secrétariat du Commonwealth a entrepris un examen à mi-parcours de son Plan stratégique 2017-2018 à 2020-2021, et les résultats sont à venir.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : La mobilisation se poursuit. Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le site du Commonwealth.  (https://thecommonwealth.org/)

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des contributions

4 531 823

4 398 798

4 728 974

5 077 204

5 077 204

348 230

Total du programme

4 531 823

4 398 798

4 728 974

5 077 204

5 077 204

348 230

Explications sur les écarts

Les écarts entre les montants prévus et les montants réels reflètent les fluctuations des taux de change, puisque les factures du Commonwealth sont émises en livres sterling. Le Comité de vérification suit également le travail du secrétariat du Commonwealth et commande des vérifications internes, au besoin.

Subventions et contributions en appui aux relations universitaires

Nom du programme de paiements de transfert : Subventions et contributions en appui aux relations universitaires

Date de mise en œuvre : 1er janvier 1989

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Subventions et contributions

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 2017-2018

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 20. Développement du commerce international

Description : Ces subventions et contributions servent à l’élargissement des programmes d’éducation internationale en vue de faire avancer plus efficacement les priorités du Ministère, dont contribuer à la compétitivité du Canada dans le secteur de l’éducation ainsi que promouvoir la démocratie, l’état de droit et les droits de la personne. Les bénéficiaires ne sont pas tenus de rembourser les subventions obtenues dans le cadre de ce programme de paiements de transfert.

Résultats atteints :

Sensibilisation accrue des futurs dirigeants, des décideurs et du grand public de l’étranger à l’égard du Canada, selon les données suivantes :

L’avantage du Canada sur le plan des connaissances, reconnu dans le monde entier, sert à renforcer les intérêts et la prospérité économique du Canada, selon les données suivantes :

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : Aucune vérification n’a été effectuée en 2018-2019.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : Une évaluation ministérielle de la Stratégie du Canada en matière d’éducation internationale (SEI) a été réalisée en février 2019. Cette évaluation a comporté un examen de la façon dont la Stratégie tire parti des programmes de bourses d’études par le biais de subventions et de contributions en appui aux relations avec les universités. L’évaluation a permis de tirer deux conclusions en ce qui concerne les bourses : a) bien que le Programme de bourses internationales soit un outil efficace pour appuyer les objectifs de la SEI en Amérique latine et dans les Caraïbes, il existe des lacunes dans l’offre de bourses d’études d’Affaires mondiales Canada; b) les programmes de bourses d’Affaires mondiales Canada contribuent également aux résultats des secteurs d’activité du Ministère et à la cohérence entre ceux-ci.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 :

Les activités suivantes ont eu lieu en 2018-2019 : promotion des programmes par 55 missions; collaborations hebdomadaires avec des organisations non gouvernementales; participation à quatre conférences et forums sur l’éducation, à une tournée d’étude et à une mission de collaboration à laquelle ont pris part des dirigeants d’établissements d’enseignement internationaux des Amériques en visite au Canada.

Communiqués sur les bourses internationales – fils RSS : 30

Bulletins des anciens publiés en 2018-2019 : 1

Statistiques publiées sur le site Web du Programme de bourses internationales :

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des subventions

1 045 341

1 558 600

2 530 000

1 820 761

1 820 761

-709 239

Total des contributions

6 131 578

5 827 147

4 587 627

6 278 066

6 278 066

1 690 439

Total du programme

7 176 919

7 385 747

7 117 627

8 098 827

8 098 827

981 200

Explications sur les écarts

L’écart entre les dépenses prévues et les dépenses réelles en 2018-2019 est lié à l’affectation de fonds supplémentaires provenant d’ailleurs au Ministère et fournis pour appuyer des activités de relations universitaires approuvées, mais non financées. La plus grande partie du financement a été fournie à l’origine sous forme de subventions, mais comme la majorité des activités s’apparentaient davantage à des contributions, certaines subventions ont été converties en contributions.

Subventions en remplacement des impôts sur les propriétés diplomatiques, consulaires et celles des organisations internationales au Canada

Nom du programme de paiements de transfert : Subventions en remplacement des impôts sur les propriétés diplomatiques, consulaires et celles des organisations internationales au Canada

Date de mise en œuvre : 18 janvier 1979

Date d’échéance : En cours

Type de paiement de transfert : Subventions

Type de crédit : Budget des dépenses

Exercice de mise en application des modalités : 1978-1979

Lien au Répertoire des programmes du Ministère : Programme 5. Services diplomatiques et protocole

Description : Le Décret sur les subventions aux propriétés diplomatiques, consulaires et à celles des organisations internationales (C.P. 1979-59, 18 janvier 1979), la Loi sur les subventions aux municipalités et les décrets et lois qui leur succèdent constituent le fondement législatif de ce programme. Le protocole d’entente connexe entre Affaires mondiales Canada, Services publics et Approvisionnement Canada et la Commission de la capitale nationale établit les responsabilités et les procédures régissant la prestation de services liés au paiement de subventions tenant lieu de taxes immobilières, de taxe sur la longueur de façade ou de taxe sur la superficie pour les propriétés diplomatiques et consulaires. Ces procédures visent à assurer une responsabilité fiscale et opérationnelle, tout en favorisant l’exécution efficiente des programmes.

Résultats atteints :

Le Canada a respecté ses obligations internationales, comme en font foi les résultats suivants :

Résultats des audits achevés en 2018-2019 : S.O.

Résultats des évaluations achevées en 2018-2019 : S.O.

Mobilisation des demandeurs et des bénéficiaires en 2018-2019 : S.O.

 

Renseignements financiers (en dollars)

Type de paiement de transfertDépenses réelles 2016-2017Dépenses réelles 2017-2018Dépenses prévues 2018-2019Autorisations totales pouvant être utilisées 2018-2019Dépenses réelles (autorisations utilisées) 2018-2019Écart (dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

Total des subventions

15 982 860

13 523 934

15 854 000

13 803 642

13 803 642

-2 050 358

Total du programme

15 982 860

13 523 934

15 854 000

13 803 642

13 803 642

-2 050 358

Explications sur les écarts

L’écart entre les dépenses prévues et les dépenses réelles est attribuable à des taxes foncières municipales moins élevées que prévu, et à des changements relatifs au volume des subventions et à l’admissibilité à celles-ci.

Analyse comparative entre les sexes plus

Structures de gouvernance :

Le mandat d’Affaires mondiales Canada est complexe et diversifié, puisque le Ministère gère les relations diplomatiques et consulaires du Canada, fait la promotion du commerce international du pays et dirige le développement international et l’aide humanitaire du Canada. À l’appui de ce mandat, Affaires mondiales Canada utilise un outil d’analyse du gouvernement du Canada appelé Analyse comparative entre les sexes plus (ou simplement ACS+). L’ACS+ est un outil d’analyse qui aide à évaluer les répercussions potentielles des politiques, des programmes ou des initiatives sur divers ensembles de personnes - femmes, hommes ou de genres divers. L’ajout du « + » dans ACS+ signifie que l’analyse ne se limite pas aux différences biologiques (sexe) ou socioculturelles (genre). L’identité individuelle est déterminée par une multitude de facteurs qui se recoupent. L’ACS+ tient également compte de nombreux autres facteurs identitaires tels que la race, l’origine ethnique, la religion, l’âge et les handicaps de nature physique ou mentale.

Dans ce contexte, Affaires mondiales Canada continue d’explorer les possibilités d’améliorer son leadership, sa capacité, sa formation et les outils nécessaires à la mise en œuvre de l’ACS+ dans l’ensemble de l’organisation. Le Ministère a adopté une approche décentralisée pour la pratique de l’ACS+ à l’égard de son effectif, qui compte plus de 10 000 employés. Plutôt que d’opter pour la création d’un centre de responsabilité intégré, le Ministère continue d’explorer une approche plus horizontale pour évaluer l’application de l’ACS+ dans les présentations au Cabinet, aux organismes centraux et aux ministres. En tant qu’experts en la matière, les responsables des propositions assument l’entière responsabilité des conclusions de leurs évaluations de l’ACS+. Même si le processus d’examen est essentiellement un processus d’autoévaluation, il existe des centres de ressources bien établis et spécialisés en ACS+ au Ministère, par exemple au Secteur des enjeux mondiaux et du développement. Affaires mondiales Canada s’affaire également à accroître les compétences en ACS+ des experts en la matière d’autres secteurs évoluant dans des domaines aussi variés que la paix, la sécurité, l’investissement et le commerce.

Depuis 2016, et conformément aux directives du Bureau du Conseil privé et du Secrétariat du Conseil du Trésor, le Ministère exige des évaluations ACS+ obligatoires pour tous les mémoires au Cabinet, les présentations au Conseil du Trésor et les propositions budgétaires. Plus récemment, l’ACS+ a également été appliquée aux instruments réglementaires. Avant que ces propositions puissent être considérées comme complètes, leurs responsables doivent présenter leurs évaluations ACS+ au Secrétariat des services intégrés pour obtenir la confirmation que les exigences obligatoires des organismes centraux ont été respectées. Les cabinets des ministres n’accepteront pas de propositions sans cette dernière vérification.

Voici certains des moyens utilisés par le Ministère pour rehausser l’image de l’ACS+ :

Ressources humaines :

Le Ministère compte plus de 17 équivalents temps plein (ETP) affectés au soutien de l’analyse comparative entre les sexes. À l’heure actuelle, 12 ETP se consacrent à l’élaboration de politiques et de programmes d’aide au développement, ce qui comprend la mise en œuvre de la politique en matière d’égalité entre les sexes du Ministère. Compte tenu de l’importance de l’application de l’ACS+ aux accords commerciaux, le Ministère affecte environ quatre ETP à l’examen de cette question; ce chiffre tient compte des portions d’ETP consacrées aux travaux liés à la politique commerciale et aux négociations. De six à 10 personnes supplémentaires jouent des rôles de soutien variés liés à l’ACS+ de sorte qu’une partie de leurs ETP est consacrée à la mise en application de l’ACS+, et ce, à titre de personnes-ressources pour les questions d’égalité entre les genres, de champions de l’ACS+, d’éducateurs et de gestionnaires dans l’ensemble du Ministère, notamment dans des domaines comme la paix et la sécurité, le commerce et l’investissement, et la supervision du processus de l’ACS+ des présentations au Cabinet et aux ministres.

Tant les spécialistes de l’ACS+ que les experts en la matière de l’ensemble du Ministère contribuent à l’ACS+ en participant à des comités internes et externes ainsi qu’à des organes de gouvernance :

Initiatives majeures - résultats obtenus :

Application de l’ACS+ à tous les travaux du G7 sous la présidence du Canada en 2018

Ces mesures ont donné des résultats concrets. Pendant qu’il assumait la présidence du G7 en 2018, le Canada a exercé son leadership et obtenu 3,8 milliards de dollars des partenaires du G7 afin d’appuyer une éducation de qualité pour les femmes et les filles en situation de crise et pour les États fragiles et touchés par des conflits. Le Canada a versé 400 millions de dollars à ce titre. Quelques mois plus tard, lors de l’Assemblée générale des Nations Unies, le Canada a recueilli 527 millions de dollars supplémentaires de la part de partenaires pour aider les pays en développement à donner à chaque enfant l’accès à une éducation de qualité et à une formation axée sur les compétences modernes. Ces engagements sans précédent reconnaissent que l’éducation est la clé de l’avancement de l’égalité entre les sexes et de la concrétisation d’un monde égalitaire et inclusif. Le Sommet des dirigeants du G7 s’est terminé par le communiqué de Charlevoix, et les sept déclarations d’engagement qu’il contient visent des résultats sexospécifiques; trois de ces déclarations (Déclaration de Charlevoix sur l’éducation de qualité pour les filles, les adolescentes et les femmes dans les pays en développement, Déclaration de l’engagement de Charlevoix pour mettre fin à la violence fondée sur le sexe et sur le genre, ainsi qu’aux abus et au harcèlement dans l’univers numérique, et Déclaration de Charlevoix en matière d’égalité et de croissance économique) sont des initiatives spécifiquement ciblées pour aborder les questions de genre. Dans son rapport de 2018, le Conseil consultatif sur l’égalité des sexes a indiqué que la question de l’égalité entre les sexes a été traitée ou explicitement abordée dans un nombre inégalé de documents et de rapports sur les résultats du G7, soit dans 81 % des documents comparativement à une moyenne de 46 % au cours des cinq années précédentes.

Renforcement de la capacité relative à l’ACS+ à Affaires mondiales Canada et à l’étranger

Amérique centrale

Des séances de formation sur l’ACS+ ont eu lieu au Guatémala et au Nicaragua afin d’accroître la capacité du personnel de la mission et des partenaires à intégrer l’ACS+ à l’élaboration des politiques et aux programmes.

L’ambassade canadienne au Chili a organisé une formation conjointe sur l’ACS+ pour les partenaires chiliens et le personnel de la mission du 8 au 10 janvier 2019.

Région des Caraïbes

52 partenaires et membres du personnel du Programme régional des Caraïbes ont tiré parti de la formation sur l’ACS+ à Kingston, en Jamaïque les 12 et 13 mars 2019.

En 2018-2019, Affaires mondiales Canada a fait davantage la promotion de la formation sur l’ACS+ dans les missions, notamment en :

Offrir une formation sur l’ACS+ dans le cadre de la formation préparatoire à l’affectation au personnel d’AMC en français et en anglais ainsi que des versions spécialisées pour les secteurs.

Intégration de l’ACS+ aux négociations sur le libre-échange

Affaires mondiales Canada a élaboré un nouveau cadre pour faire progresser l’application de l’ACS+ aux négociations commerciales. Avec l’appui d’autres ministères, Affaires mondiales Canada mène, pour la première fois, une analyse ACS+ qualitative et quantitative complète, chapitre par chapitre, sur les négociations d’un accord de libre-échange (ALE) Canada-Mercosur et vise à mettre régulièrement cette analyse à jour pendant la durée des négociations.

Le Ministère offre également une formation sur mesure sur l’ACS+ aux analystes des politiques commerciales et aux négociateurs principaux.

Nos travaux à ce jour ont eu les effets nets présentés ci-dessous.

L’ACS+ se révèle un outil d’innovation stratégique précieux qui aide le Ministère à mettre en œuvre l’approche inclusive du Canada en matière de commerce, laquelle vise à faire en sorte que les avantages et les possibilités découlant du commerce soient largement répartis, y compris parmi les groupes et les organisations traditionnellement sous-représentés dans le commerce, comme les femmes, les Autochtones et les PME. La direction responsable du commerce inclusif (y compris l’ACS+) a reçu le Prix du sous-ministre pour l’innovation 2018-2019, ce qui met en évidence l’engagement ferme de la politique commerciale à faire progresser l’égalité des genres et le renforcement du pouvoir des femmes, sans compter le désir d’obtenir des résultats concrets.

L’une des histoires de réussite d’Objectif 2020 pour 2018-2019 vient du leadership exercé par le Secteur relativement à l’analyse ACS+ de la politique commerciale. Cette histoire met en lumière des initiatives telles que le lancement d’un processus d’ACS+ évolutif pour les négociations en cours entre le Canada et le Mercosur sur le libre-échange. Il est largement reconnu que la réalisation de l’ACS+ dans le cadre des négociations en cours sur l’ALE avec le Mercosur constitue une avancée précieuse pour Affaires mondiales Canada et ses ministères partenaires au sein du gouvernement fédéral. L’application de l’ACS+ aux négociations de l’ALE avec le Mercosur a eu les conséquences désirées et a produit d’importants avantages : elle a aidé les fonctionnaires à déterminer les effets et les possibilités des dispositions de l’ALE sur les groupes de la population canadienne; elle les a aussi aidés à intégrer à la politique commerciale des dispositions nouvelles et novatrices qui tiennent compte des différences entre les sexes et qui sont inclusives par rapport aux effets et aux possibilités; et elle a efficacement éclairé la stratégie de négociation de l’ALE et enrichi les connaissances et les compétences des fonctionnaires en matière d’ACS+. De même, l’ACS+ a servi à mettre en évidence certaines lacunes en matière de données et de connaissances qu’il faudra combler à l’avenir pour améliorer la qualité de l’ACS+ à l’égard des chapitres de l’ALE (p. ex., effets indirects sur l’emploi selon l’industrie, le genre et d’autres caractéristiques intersectionnelles; effets sur les consommateurs). L’avantage global de l’application de l’ACS+ aux négociations de l’ALE tient au fait que cette analyse peut nous aider à élaborer et à conclure l’accord commercial qui, par rapport au genre, soit le plus sensible et le plus inclusif à ce jour, selon les résultats qui seront obtenus dans le cadre des négociations avec notre partenaire commercial que constitue le Mercosur.

Le Canada travaille également en étroite collaboration avec ses partenaires afin de respecter son engagement à produire des résultats concrets qui contribuent à faire progresser l’égalité des genres et le renforcement du pouvoir des femmes. Par exemple, sous l’égide du chapitre sur le commerce et le genre, le Canada et le Chili ont mis en œuvre des activités de coopération prévoyant l’échange de renseignements sur les programmes gouvernementaux, le partage de données et de recherches sur les femmes entrepreneures et leurs défis, et un enrichissement des connaissances relatives à l’incidence du commerce sur la participation des femmes dans l’économie et sur l’égalité des genres. Le Canada et le Chili ont participé à la première réunion du Comité sur le commerce et le genre, le 26 avril 2019, afin d’examiner les progrès et les réalisations à ce jour. Cette réunion s’est tenue en marge du chapitre sur le commerce et le genre de l’Accord de libre-échange Canada-Chili. Ces réalisations comprennent :

La mise en œuvre d’un plan de travail exhaustif sur le commerce et l’égalité des genres dans le cadre de l’Accord économique et commercial global (AECG) est en cours. Ce plan comprend des activités visant à mieux comprendre les effets du commerce par rapport au genre et à échanger de l’information sur les façons de réduire les obstacles à la participation des femmes au commerce international. La première réunion sur la recommandation du Comité mixte de l’AECG relative au commerce et au genre a eu lieu par vidéoconférence à Ottawa et à Bruxelles le 20 février 2019. La deuxième réunion, qui s’est tenue le 14 juin 2019, a porté sur le point 3 du Plan de travail Canada-UE pour la mise en œuvre de la recommandation du Comité mixte de l’AECG relative au commerce et au genre - « Échange d’information sur les politiques et les programmes qui soutiennent les femmes entrepreneures, autant du point de vue national qu’international ».

Capacité d’établissement de rapports et données :

  1. Programme : Aide consulaire et services administratifs aux Canadiens à l’étranger
    • Saisie des identificateurs personnels (nom, adresse, date de naissance, genre/sexe). Les champs de données ne sont pas toujours remplis. 
      • Une analyse des tendances par sexe/genre et âge.
      • Aucune production de rapport.
  2. Programme : Droit international
  3. Programme : Droit international
      • Nominations aux tribunaux de règlement des différends sur l’investissement pour les différends où le Canada est l’un des principaux plaideurs (janvier 2014 à présentement) :
      • 12 % de femmes
      • Impossible d’avoir accès au pourcentage de membres de minorités visibles.
  4. Programme : Droit international
    • Nominations aux tribunaux de règlement des différends en vertu du Chapitre 19 de l’ALENA pour les différends où le Canada est l’un des principaux plaideurs (janvier 2014 à présentement) :
      • 33 % de femmes
      • Impossible d’avoir accès au pourcentage de membres de minorités visibles.
  5. Programme : Droit international
    • Nomination aux tribunaux de règlement des différends en vertu du Chapitre 19 de l’ALENA pour les différends où le Canada est l’un des principaux plaideurs (janvier 2014 à présentement) :
      • 36 % de femmes
      • Impossible d’avoir accès au pourcentage de membres de minorités visibles.

Le Droit international n’a pas pu inclure les chiffres sur les minorités visibles puisque les panélistes n’indiquent pas systématiquement leur appartenance à une minorité visible, ainsi les données existantes sont faussées et inexactes.

Initiatives horizontales

Nom de l’initiative horizontale : Présidence canadienne du G7 en 2018

Ministère responsable : Affaires mondiales Canada

Ministères fédéraux partenaires : Sécurité publique Canada (SP), Gendarmerie royale du Canada (GRC), Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), Agence des services frontaliers du Canada (ASFC), Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC), Services partagés Canada (SPC), Santé Canada (SC), Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA), Agence de la santé publique du Canada (ASPC), Finances Canada (FIN), Défense nationale (MDN) et Forces armées canadiennes (FAC), Transports Canada (TC), Administration canadienne de la sûreté du transport aérien (ACSTA), et Innovation, Sciences et Développement économique Canada (ISDEC).

Partenaires non fédéraux et non gouvernementaux : Sans objet

Date de début de l’initiative horizontale : 1er avril 2017

Date de fin de l’initiative horizontale : 31 mars 2019

Description de l’initiative horizontale : Le Canada a assuré la présidence tournante du G7 du 1er janvier au 31 décembre 2018. Les 8 et 9 juin 2018, à La Malbaie, dans la région de Charlevoix, au Québec, le Canada a été l’hôte du Sommet des dirigeants du G7, une rencontre qui a visé à dégager un consensus sur les enjeux mondiaux les plus cruciaux de l’heure. Affaires mondiales Canada a dirigé l’organisation du Sommet, des réunions ministérielles ainsi que des réunions et des activités connexes, en collaboration avec de nombreux ministères et organismes, y compris la GRC, l’entité responsable des opérations de sécurité.

Structures de gouvernance :

La structure de gouvernance de la présidence canadienne du G7 a été dirigée par le sous-ministre pour le Sommet du G7 et représentant personnel du premier ministre, qui a assumé la responsabilité générale de la gestion de la présidence du G7 de 2018. Il a été appuyé par divers comités interministériels chargés de planifier et de coordonner l’ensemble des activités liées à la présidence du G7 - Sommet des dirigeants, réunions des ministres, et réunions et activités connexes. Parmi ces comités, mentionnons les suivants :

Des groupes de travail pangouvernementaux ont appuyé les efforts visant à réaliser des gains d’efficience dans des secteurs opérationnels particuliers, notamment l’hébergement, la sûreté et la sécurité, la technologie, le réseau de communications, la justice et l’approvisionnement.

Montant total des fonds fédéraux alloués (de la date de début à la date de fin) (en dollars) : 577 386 532$

Dépenses fédérales totales prévues à ce jour (en dollars) : 577 386 532$

Dépenses fédérales totales réelles à ce jour (en dollars) : 425 971 866 $

Date du dernier renouvellement de l’initiative horizontale : S.O

Total du financement fédéral affecté lors du dernier renouvellement, et source du financement (en dollars) : S.O.

Financement fédéral supplémentaire reçu après le dernier renouvellement (en dollars) : S.O.

Fonds provenant de partenaires non fédéraux et non gouvernementaux (en dollars) : S.O.

Exercice de l’achèvement prévu de la prochaine évaluation : Chaque ministère a dû procéder à une évaluation interne de la présidence canadienne du G7 en 2018. Ces évaluations ont été prises en considération dans l’examen interministériel du Cadre pour la gestion et le financement des sommets de nature internationale dirigés par le premier ministre (1996).

Résultat commun des ministères fédéraux partenaires : Les résultats communs de cette initiative horizontale sont les suivants :

Politique et organisation du Sommet

Sommet sûr et sécuritaire

Indicateurs de rendement : Politique et organisation du Sommet

Sommet sûr et sécuritaire

Cibles : Politique et organisation du Sommet

Sommet sûr et sécuritaire

  1. Aucun incident critique;
  2. Efficacité des mesures de sécurité (100 %) :
    1. Veiller à ce que des protocoles soient en place pour gérer tout incident majeur éventuel;
    2. Veiller à la mise en œuvre des protocoles établis en cas d’urgence.

Source de données et fréquence de la surveillance et de la production de rapports : Comme de nombreux partenaires fédéraux ont participé à la présidence du G7 et de multiples activités se sont déroulées sur une période de deux ans, les activités connexes de surveillance et de production de rapports se sont poursuivies tout au long des exercices 2017-2018 et 2018-2019. Chacun des ministères avait la responsabilité de surveiller ses résultats et d’en faire rapport conformément à ses exigences internes. Outre ces exigences, le Bureau de gestion des Sommets d’Affaires mondiales Canada a demandé que les autres ministères fournissent des rapports financiers mensuels sur leurs dépenses liées à la présidence du G7 en 2018 et engagées pendant les deux exercices au cours desquels des fonds ont été reçus. Les résultats ont ensuite été analysés dans une perspective plus large par Affaires mondiales Canada afin d’évaluer l’atteinte des indicateurs relatifs aux résultats communs.

Résultats : La présidence canadienne du G7 de 2018 - Sommet des dirigeants, réunions ministérielles et activités connexes - a été assurée avec succès et sans incident majeur. Des mesures et des protocoles appropriés ont été mis en œuvre à l’avance pour assurer la sécurité des activités et la préparation nécessaire pour faire face à toute éventualité tout au long de la présidence canadienne.

De manière générale, les participants - chefs d’État et de gouvernement, partenaires fédéraux, homologues du G7 et autres intervenants - se sont dits satisfaits des efforts d’élaboration de politiques et des résultats de la présidence canadienne du G7 de 2018. Au cours des diverses réunions tenues avant le Sommet des dirigeants, les participants ont eu l’occasion de commenter et d’élaborer les ententes et les politiques qui ont abouti à l’approbation du communiqué du Sommet du G7 de Charlevoix. 

Résultat attendu des partenaires non fédéraux et non gouvernementaux : S.O.

Nom du thème : S.O.

Faits saillants du rendement : La présidence canadienne du G7 en 2018 a été couronnée de succès sans qu’aucun incident critique ne compromette la sécurité des activités. Tout au long de l’année de la présidence, de nombreuses tribunes ont été créées afin de discuter en profondeur des thèmes de la présidence. Ces discussions ont mené à l’établissement de sept documents d’engagement et du communiqué du Sommet du G7 de Charlevoix, aussi connu sous le nom de communiqué des dirigeants du G7, qui a réaffirmé l’engagement des participants à relever certains des défis les plus pressants de la planète. En tant qu’hôte de l’édition 2018 de la présidence du G7, le Canada a pu établir le programme de l’année et saisir cette occasion pour montrer son leadership et se présenter comme un chef de file de la lutte contre les changements climatiques et les inégalités entre les genres sur la scène internationale.

Coordonnées de la personne-ressource : Benoit Bouvier, directeur, Services généraux

Bureau de gestion des Sommets
Affaires mondiales Canada
125, promenade Sussex
Ottawa (Ontario)  K1A 0G2

Tableau d’information sur la planification horizontale d’Affaires mondiales Canada 2018-2019

Résultats communsIndicateurs de rendementCiblesRésultats

Tous les participants (Canadiens et étrangers) sont satisfaits de l’organisation du Sommet, des autres réunions et activités du G7 ainsi que des efforts d’élaboration des politiques visant à promouvoir la sécurité et la prospérité mondiales et à promouvoir les intérêts et les valeurs du Canada.

  • Pourcentage de participants - premier ministre, partenaires fédéraux, autres intervenants - qui sont satisfaits de l’organisation du Sommet du G7 par le Canada et des autres rencontres et activités.
  • Aucun incident majeur ne s'est produit qui aurait nui à la tenue du Sommet ou fait échouer les préparatifs du Sommet du G7.

Aucun incident majeur.

  • Pourcentage de participants - premier ministre, partenaires fédéraux et autres intervenants – qui sont satisfaits des efforts d’élaboration de politiques pendant la présidence du G7 du Canada.
  • Taux de satisfaction de 80-100 % des membres du G7, des participants au Sommet, des partenaires fédéraux, des intervenants et des Canadiens à l’égard des efforts d’élaboration de politiques.

Taux de satisfaction de 95 %.

Le grand public, les chefs d’État et de gouvernement et les participants au Sommet du G7 de 2018 sont en sécurité.

  • Nombre de problèmes critiques rencontrés dans la mise en œuvre des mesures de sécurité prévues au Plan de sécurité.
  • Aucun incident critique.

Aucun problème critique.

  • Pourcentage de mesures de sécurité mises en place pour réagir à un incident et qui peuvent contrer ou atténuer ces incidents pendant la tenue du Sommet.
  • Efficacité des mesures de sécurité (100 %)
    • Veiller à ce que des protocoles soient en place pour gérer tout incident majeur éventuel;
    • Veiller à la mise en œuvre des protocoles établis en cas d’urgence.

Mise en œuvre de 100 % des mesures de sécurité.

 

Information sur le rendement

Les renseignements financiers se trouvant dans les tableaux ci-dessous n’incluent pas les fonds ministériels existants. Seulement les nouveaux fonds alloués par le biais de la présentation au Conseil du Trésor, présidence canadienne du G7 en 2018, sont inclus.

Ministère fédéralLien au Répertoire des programmes du MinistèreActivités de l’initiative horizontaleAffectations totales fédérales (de la date de début à la date de fin)
(en dollars)
Dépenses prévues en 2018-2019 (en dollars)Dépenses réelles en 2018-2019 (en dollars)Résultats attendus en 2018-2019Indicateurs de rendement en 2018-2019Cibles pour 2018-2019Date d’atteinte de la cibleRésultats réels en 2018-2019

Affaires mondiales Canada

1.2 Diplomatie, défense des intérêts et accords internationaux

Affaires mondiales Canada - Activité 1 : Appuyer le premier ministre dans le développement du cadre stratégique relatif à la tenue du Sommet et de la présidence du G7 du Canada de 2018

5 258 345

2 765 724

1 424 555

La mobilisation des acteurs internationaux et l’exercice d’une influence sur ceux-ci favorisent l'adoption de mesures allant dans le sens des intérêts et des valeurs du Canada.

Mesure dans laquelle les positions canadiennes sont reflétées dans les documents du Sommet du G7.

80 %

31 mars 2019

80 %

1.2.2 Sommets et promotion des intérêts et diplomatie multilatérales

Affaires mondiales Canada - Activité 2 : Planification, coordination et mise en œuvre des mesures logistiques et des activités du G7

94 611 285

62 498 213

54 331 393

Coordination efficace et réalisation efficiente des activités et des efforts logistiques du Canada relativement au G7.

Mesure dans laquelle les représentants et les décideurs étrangers ont été sensibilisés grâce à des réunions, des consultations, des négociations, des activités et des visites lors du Sommet des dirigeants et des rencontres ministérielles et autres activités connexes.

80 %

31 mars 2019

80 %

Sécurité publique Canada (SP)

1.1.1 Leadership en sécurité nationale - Secteur des affaires du portefeuille et des communications

SP - Activité 3 : Appui à une réunion ministérielle possible (relative à la lutte contre le terrorisme ou à la sécurité)

26 923

166 142

153 444

Coordination efficace de la discussion organisée par les ministres de l’Intérieur ou de la Sécurité publique et de la version définitive des documents publics.

Pourcentage des partenaires et des intervenants qui sont satisfaits de la coordination fournie par le Secteur.

100 %

23-24 avril 2018

Il n’y a pas eu de sondage officiel. Cela aurait été difficilement réalisable vu les nombreux partenaires canadiens et étrangers différents ayant collaboré aux divers aspects de l’activité. Néanmoins, les pays partenaires du G7 sont très reconnaissants envers le Canada pour son rôle de consultation et de coordination quant à l’élaboration et la communication de l’ordre du jour et des extrants. Affaires mondiales et Sécurité publique Canada ont entretenu une collaboration fructueuse à l’échelon des hauts dirigeants. De même, des organismes du portefeuille de Sécurité publique Canada ont participé comme intervenants, jusqu’à l’échelon des administrateurs généraux. 

Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC)

1.1 Approvisionnements

SPAC - Activité 1 : Approvisionnements

709 891

191 967

156 777

Approvisionnements ouverts qui offrent la meilleure valeur pour les Canadiens et qui sont fournis efficacement à la satisfaction du gouvernement.

Marchés d’approvisionnement très complexes traités dans les 100 jours ouvrables suivant la date de l’invitation de la demande de propositions originale.

80 %

31 juillet 2018

100 %

1.2 Gestion des locaux et services immobiliers

SPAC - Activité 2 : Gestion des locaux et services immobiliers

30 776 317

15 401 940

12 784 414

Les organisations fédérales reçoivent des services immobiliers adaptés et efficients.

Pourcentage de tous les projets immobiliers dépassant le million de dollars qui respectent les délais, le budget et les objectifs (moyenne des indicateurs de rendement respectant les délais, le budget et les objectifs).

95 %

31 mars 2019

100 %

1.6 Services et gestion linguistiques

SPAC - Activité 3 : Services et gestion linguistiques

2 515 120

1 727 469

1 759 681

Le gouvernement du Canada bénéficie de services linguistiques multilingues efficaces et de qualité fournis en temps opportun à l’appui des activités et des communications relatives à la présidence du G7 pendant toute l’année.

Pourcentage de clients qui présentent une demande de services linguistiques respectant les normes de service définies qui sont satisfaits des services fournis par le Bureau de la traduction.

85 %

31 octobre 2018

100 %

Finances Canada

1.1 Cadre des politiques économique et fiscale

1.1.6 Sous-programme : Finances et échanges internationaux

Le sous-programme offre une analyse, de la recherche et des avis au ministre des Finances et aux employés du gouvernement afin qu’ils soient en mesure de prendre des décisions éclairées au regard du programme stratégique du gouvernement du Canada en matière de finances et d’échanges internationaux. Le sous-programme gère également la participation du ministère des Finances Canada aux groupes internationaux de coordination économique, comme le G7.

3 989 900

1 983 926

1 869 620

Les ministres et les cadres supérieurs du gouvernement ont accès à des analyses, des recherches et des conseils fondés sur des faits probants à propos des questions qui influent sur le programme stratégique du gouvernement du Canada en matière de finances et d’échanges internationaux.

Pourcentage de délais convenus relativement aux documents d’information qui sont respectés.

 

90 % favorables

 

31 mars 2019

 

Toutes les échéances établies pour les documents d’information nécessaires pour appuyer le ministre et le Ministère aux rencontres du G7 en 2018-19 ont été respectées.

La Direction d’audit interne du ministère des Finances Canada a mené un examen de la façon dont le Ministère a géré les activités des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales du G7 de 2018. Les résultats de l’examen sont favorables et positifs et, compte tenu des résultats exceptionnels découlant de l’étape de la planification, la Direction d’audit interne a conclu qu’il n’était pas nécessaire de procéder à un nouvel engagement d’audit externe.


Aucune lacune ou préoccupation importante n’a été relevée en ce qui concerne :
-Les prévisions budgétaires et la planification;

-L’élaboration de politiques;

-La logistique;

-Le contrôle des finances et les rapports financiers.

Services partagés Canada (SPC)

1.3 Télécommunications

Les sous-programmes 1.3.1, 1.3.2, 1.3.3.3 et 1.3.5 offrent des services de télécommunication, de voix et de données au gouvernement du Canada afin qu’il soit en mesure d’offrir ses programmes et d’atteindre ses priorités.

41 415 083

17 700 000

26 069 382

Les participants de ministères qui appuient le Sommet disposent d’un accès solide et fiable aux services de voix et de données pour remplir leur mandat.

Temps de disponibilité des communications pendant l’événement.

100 %

31 mars 2019

Toutes les télécommunications n’ont fait l’objet d’aucune coupure ni de temps d’arrêt. Cela atteint l’objectif de SPC d’avoir une disponibilité de 100 %.

Sécurité publique Canada (SP)

1.3.2.2 GRC et services de police

SP - Activité 1 : Mise en œuvre du cadre - estimation des coûts internes

1 581 318

787 338

502 559

Assurer une compréhension commune ainsi que la coopération de la province de Québec et des autres administrations et du gouvernement fédéral au moyen d’une mobilisation précoce et soutenue.

Écart entre le montant de remboursement recommandé par la vérification et la demande finale présentée par l’administration.

Maximum de 10 %.

31 mars, 2019

Le gouvernement du Québec 2018-2019 - Le résultat sera disponible lorsqu’une décision définitive sur la demande sera prise.
Commission de services policiers de Toronto - 3 %
Municipalité de Whistler - 0 %
Police régionale d’Halifax - 1 %

Efficacité de la gestion du cadre

Le ratio des dépenses d’appuis administratifs du cadre versus le remboursement des coûts aux administrations locales.

Maximum de 3 %.

31 mars, 2019

Les résultats seront disponibles lorsque tous les remboursements auront été effectués.

1.3.2.2 GRC et services de police

SP - Activité 1 : Mise en œuvre du cadre - subventions et contributions (remboursement)

94 608 010

69 789 392
** Ce montant n’inclut pas les montants de SP et de SPAC.

61 238 735
* Assujetti à une vérification.
** Ce montant n’inclut pas les montants de SP et de SPAC.

Prestation en temps opportun d’aide financière pour la province de Québec et les autres administrations.

Émission du dernier paiement conformément à l’accord de contribution.

Dans les 30 jours suivant l’approbation du ministre de SP (ou de son représentant autorisé) du rapport de vérification.

31 mars, 2019

Le gouvernement du Québec - Le résultat sera disponible lorsque le remboursement sera effectué.
Commission de services policiers de Toronto - 27 jours
Municipalité de Whistler - 27 jours
Police régionale d’Halifax - 14 jours

Coopération des administrations relativement à la prestation de services de police et de sécurité.

Pourcentage des administrations qui coopèrent avec la GRC pour la prestation des services de police et de sécurité.

Collaboration de 100 % des administrations.

31 mars, 2019

100 %

1.4.2 Protection civile

SP - Activité 2 : Planification de la sécurité et programme d’exercices de planification de la sécurité

2 123 371

802 751

544 551

L’état de préparation opérationnel est atteint au moyen de la mobilisation et de la coordination efficaces des partenaires fédéraux dans l’élaboration et la mise en œuvre d’un plan pangouvernemental sur la sécurité du gouvernement, ainsi que de leur participation active au programme d’exercices de sécurité.

a) Pourcentage des partenaires fédéraux ayant participé à l’élaboration du plan.

a) 90 %

Mai 2018

100 %

b) Pourcentage des objectifs évalués dans le programme d’exercices de sécurité Sentinelle I et Sentinelle II.

b) 90 %

Mai 2018

100 %

Gendarmerie royale du Canada (GRC)

1.1.2.4 Service de protection

GRC - Activité 1 : Planification de l’activité

22 482 717

6 918 824

27 594 453

Coordination et collaboration efficaces auprès des clients et des partenaires de la sécurité relativement au G7.

Nombre d’occurrences où la GRC a omis d’informer ses partenaires ou de leur communiquer des renseignements à la suite d’un incident.

Aucune occurrence.

Juin 2018

Aucune occurrence.

GRC - Activité 2 : Opérations en lien avec l’événement (mobilisation)

233 238 272

122 430 765

112 070 505

Les opérations de sécurité liées au déroulement du G7 sont exécutées efficacement.

Pourcentage d’incidents déclarés où une violation du protocole s’est produite.

0 %

Juin 2018

0 %

GRC - Activité 3 : Démobilisation

3 252 877

3 252 877

(14 343 569)Note de bas de page 1

Déroulement sûr et sécuritaire de l’événement.

Nombre d’incidents qui ont perturbé le bon déroulement de l’événement.

Aucun incident.

Juin 2018

Aucun incident.

Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS)

* Le SCRS fera rapport à l’interne sur ses résultats attendus grâce au mécanisme approprié.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Agence des services frontaliers du Canada (ASFC)

1.3 Détermination de l’admissibilité

Gestion des événements majeurs et planification horizontale

411 636

192 159

112 356

L’équipe du G7 participe à toutes les activités de planification et de mise en commun de l’information.

Pourcentage des engagements respectés de l’équipe de l’ASFC dédiée au G7 relativement à la planification et à la mise en commun de l’information.

100 %

31 mars 2018

Intégration et engagement de tous les partenaires à 100 %.

1.1.3 Évaluation des risques, filtrage de sécurité, collecte et analyse de renseignements

Intégration du renseignement et accréditation

171 408

171 408

95 576

Les personnes, les marchandises et les moyens de transport à risque élevé qui constituent une menace à la sécurité du G7 et aux Canadiens sont ciblés, examinés et interceptés le plus tôt possible.

a) Pourcentage des demandes d’accréditation traitées.

a) 100 %

Année fiscale 2018-2019

100 % des demandes d’accréditation traitées

b) Pourcentage des cas supplémentaires traités de filtrages de sécurité nationale.

b) 100 %

31 mars, 2019

100 % des cas supplémentaires de filtrages de sécurité nationale ont été traités

1.1 Détermination de l’admissibilité

Logistique temporaire propre à l’emplacement et exécution opérationnelle de l’événement

500 713

500 713

310 501

Le passage des voyageurs admissibles en provenance des pays du G7 (dignitaires, invités, équipes de soutien) est facilité; leur contrôle se fait aux emplacements satellites opérationnels selon les lois établies.

Pourcentage de voyageurs en provenance des pays du G7 dont les déplacements sont facilités et qui sont admis au Canada.

100 %

31 mars, 2019

100 % des passages des voyageurs admissibles en provenance des pays du G7 (dignitaires, invités, équipes de soutien) ont été facilités; leurs contrôles se sont faits aux emplacements satellites opérationnels selon les lois établies.

Défense nationale (MDN)/ Forces armées canadiennes (FAC)

3.0 Production d’éléments prête à l’action par la Défense

MDN - Activité 1 : Soutien à la planification opérationnelle relative à la sûreté et à la sécurité et programme d’exercices de sécurité

9 689 000

0

0

La sécurité du Sommet des dirigeants du G7 est assurée par une formation spécialisée des membres des FAC conformément aux plans opérationnels et aux exercices élaborés en préparation du Sommet du G7. Les éléments de la force de la Défense sont prêts, notamment à remplir leurs rôles au chapitre de la posture de la force et de la disponibilité opérationnelle requises.

Pourcentage des ressources dédiées des FAC déclarées opérationnelles avant la tenue du G7.

100 %

1er juin 2018

Les FAC ont atteint leur cible, avec 100 % du personnel et des unités formés en date du 1er juin 2018.

2.2.1 Opérations de contre-terrorisme, de réponse aux événements terroristes et de gestion des conséquences

MDN - Activité 2 : Appuyer les mesures antiterroristes visant à assurer la sécurité du Sommet du G7.

0

0

0

Le Sommet du G7 n’est perturbé par aucun incident terroriste.

Nombre d’incidents de nature terroriste qui ont perturbé le bon déroulement du Sommet et de ses évènements

Aucune occurrence.

1er juin 2018

Les forces d’opérations spéciales maintiennent cette capacité dans leur financement de base. Le Sommet du G7 a été affecté par aucun incident terroriste.

2.2.2 Opérations d’assistance lors d’événements majeurs du Canada

MDN - Activité 3 : Diriger une opération d’envergure au pays afin d’appuyer un événement majeur spécial de sécurité du Canada

25 625 000

25 625 000

14 374 372

Les capacités, les opérations et les services du MDN et des FAC permettent d’assurer la sûreté et la sécurité du Sommet du G7 de 2018.

Pourcentage des ressources du MDN et des FAC fournies afin d’assurer la mission de sécurité entourant le Sommet du G7 de 2018 par rapport à celles demandées.

100 %

1er juin 2018

Le personnel et les unités des FAC ont été déployés comme convenu et ont été opérationnels pour les dates cibles. Les capacités, les opérations et les services du MDN et des FAC ont contribué à assurer la sûreté et la sécurité du Sommet du G7 de 2018.

Santé Canada (SC)

Programme 1.2 Services de santé spécialisés

SC - Activité 1 : Programme des personnes jouissant d’une protection internationale (PPI)

5 424 258

3 726 345

2 987 194

Répondre aux besoins urgents et non urgents en matière de santé des PPI, ainsi qu’aux demandes des organismes partenaires.

Pourcentage du nombre requis de protocoles d’entente (PE) qui assurent l’obtention de biens et de services du gouvernement du Québec et signés en date de mai 2018.

Moins de 5 % des patients ont besoin d’un diagnostic ou d’un traitement plus poussé de la part des fournisseurs de services locaux ou provinciaux

Mai 2018

100 % - toutes les ententes ont été signées avant la fin de mai 2018.

Le pourcentage des besoins urgents et non urgents en matière de santé des PPI sont comblés dans des délais qui correspondent à la norme médicale établie.

100 % des PE requis sont signés d’ici mai 2018

Juin 2018

100 % - toutes les demandes en matière de santé pour les PPI ont été satisfaites.

Pourcentage de patients du sommet du G7 nécessitant un diagnostic ou un traitement plus approfondi de la part des services médicaux locaux/provinciaux, dans le but de réduire le fardeau des systèmes de santé locaux et provinciaux.

100% de besoins urgents et non urgents en matière de santé des PPI, ainsi que des demandes des organismes partenaires sont rencontrés

 

Juin 2018

1,4 % – Seulement 1 patient sur 70 a été transféré à l’extérieur, aux fournisseurs de services médicaux provinciaux.

Programme 1.2 Services de santé spécialisés

SC - Activité 2 : Services d’aide aux employés

488 200

142 124

127 902

Veiller à ce qu’une équipe de préparation et d’intervention en cas d’urgence psychosociale (PSERT) soit disponible en tout temps pour fournir un soutien psychosocial aux employés fédéraux participant au Sommet en cas d’urgence.

18 membres du PSERT sont formés et prêts à fournir des soutiens quelques jours avant le sommet.

100 % des membres du PSERT sont formés et prêts en mai 2018.

Mars 2018

S.O.

Programme 1.2 Services de santé spécialisés

SC - Activité 3 : Programme de santé au travail de la fonction publique (PSTFP)

S.O.

S.O.

S.O.

Les organisations gouvernemental reçoivent des conseils et les orientations dont elles ont besoin afin de les appuyer relativement à leur obligation de régler les problèmes de santé et de sécurité au travail.

Le PSTFP offre des conseils et des orientations en matière de santé et de sécurité au travail en réponse aux demandes des organisations fédérales, et ce, en respectant les normes de service.

1

S.O.

La conseillère médicale principale et un hygiéniste du travail du PSTFP ont été formés pour l’événement et en disponibilité pendant toute la durée du Sommet du G7, mais n’ont reçu aucune demande.

Programme 2.6 Radioprotection

SC - Activité 4 : Bureau de la radioprotection

1 713 837

500 117

230 764

L’Équipe nationale d’intervention CBRNE de la GRC reçoit les biens scientifiques et techniques, ainsi que l’expertise connexe, afin d’appuyer la surveillance de la sécurité radiologique et les mesures d’intervention en cas de menaces radiologiques lors du Sommet du G7.

La surveillance radiologique ainsi que l’analyse et les conseils scientifiques sont fournis à l’Équipe nationale d’intervention CBRNE de la GRC, au besoin, durant le Sommet. Au besoin, des conseils scientifiques de même qu'en matière de surveillance des radiations sont donnés à l'équipe nationale des incidents CBRNE de la GRC pendant le Sommet.

 

100 % des détecteurs et des laboratoires mobiles disponibles sont installés d’ici juin 2018, en prévision du Sommet.

 

100 % des alarmes et des anomalies sont évaluées. Toutes les demandes d’analyses scientifiques et de conseils de la GRC sont fournies lors du Sommet, en juin 2018.

Juin 2018

Une surveillance radiologique ainsi que des analyses et des conseils scientifiques ont été fournis à l’Équipe nationale d’intervention CBRNE de la GRC pendant le Sommet. 100 % des alarmes et des anomalies ont été évaluées et toutes les demandes d’analyse scientifique et de conseils de la GRC ont été traitées.

Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA)

1.1 : Programme de salubrité des aliments; 1.2 : Programme de santé des animaux et de prévention des zoonoses; 1.3 : Programme des ressources végétales

DRF : Suivi et application de la législation sur la sécurité sanitaire des aliments, la santé des plantes, la santé animale et la protection des consommateurs

ACIA - Activité 1 : Aéroports et frontières - surveillance et inspection

69 372

52 901

52 901

Soutien offert à l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) relativement aux activités de surveillance et d’inspection dans les aéroports et aux frontières afin d’empêcher l’entrée au Canada de matières agricoles (produits d’origine animale ou végétale) ou d’aliments susceptibles de constituer une menace, délibérée ou accidentelle, aux dignitaires ou à la population du Canada. Le soutien de l’ACIA contribuera à faciliter le processus de recherche de l’ASFC, tout en assurant une surveillance attentive des risques.

a) Pourcentage de voyageurs du G7 identifiés par l’ASFC comme transportant potentiellement des matériaux agricoles ou de la nourriture, et dont le voyage a été facilité et ont obtenu accès au Canada

100 %

31 mars 2019

L’ASFC n’a identifié aucun cas potentiel au personnel de l’ACIA en service.

b) Pourcentage d’heures de fonctionnement des points désignés d’admission des délégations au Sommet.

100 %

31 mars 2019

L’ASFC a ultérieurement indiqué à l’ACIA qu’une présence sur place n’était pas requise. L’ACIA a fourni du personnel sur appel pour toutes les heures de fonctionnement des points désignés d’admission.

1.1 : Programme de salubrité des aliments

DRF : Suivi et implantation de la législation sur la sécurité sanitaire des aliments, la santé des plantes, la santé animale et la protection des consommateurs

ACIA - Activité 2 : Présence accrue dans les usines de transformation des aliments assujetties aux inspections par le gouvernement fédéral

110 460

82 234

84 234

Tous les produits alimentaires fournis dans le cadre du Sommet par des établissements agréés par le gouvernement fédéral satisfont aux normes et aux exigences de l’ACIA.

Pourcentage des résultats d’inspections fournis à Santé Canada par rapport aux établissements ciblés.

100 %

31 mars 2019

L’ACIA a fourni des constats d’inspection pour tous les établissements cernés par Santé Canada.

Agence de la santé publique du Canada (ASPC)

1.3.1 Mesures et interventions d’urgence

Mesures et interventions d’urgence

974 076

387 656

308 291

L’état de préparation opérationnelle du Centre des opérations du portefeuille de la santé (COPS).

Pourcentage des employés assignés et formés dans le Centre des opérations du portefeuille de la santé  

100 %

31 mars 2019

Objectif atteint à 100 %
24 employés de l’ASPC ont reçu de la formation sur la gestion des incidents du COPS.

Les employés ont participé à l’exercice Sentinelle II avec le soutien d’un mentor. À la fin de la formation, les employés étaient considérés comme étant formés et prêts à remplir leur rôle.

L’objectif a été atteint pour 100 % des employés désignés et formés.

Formation sur les services de quarantaine et le Programme du public voyageur pour aborder les risques/protocoles spécifiques du G7.

Pourcentage d’employés formés pour reconnaître les risques du G7 et leur capacité de reconnaître des voyageurs malades aux points d’entrés.

80 %

31 mars 2019

L’objectif a été atteint pour 100 % des employés formés pour détecter les risques liés au G7 et acquérir la capacité de reconnaître les voyageurs malades au point d’entrée.

L’équipe du G7 participe à toutes les activités de planification et de mise en commun de l’information.  Augmentation des contre-mesures médicales (CMM).

Pourcentage des contre-mesures médicales disponibles contre la population à couvrir

 

80 %

31 mars 2019

Objectif atteint à 100 %
Les acquisitions prévues de CMM ont été faites. Les CMM ont été déployées sans problème aux partenaires du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec et au Programme des personnes jouissant d’une protection internationale de Santé Canada.

Renseignement et surveillance.

Pourcentage des rapports distribués qui ont contribué au renseignement.

98 % (capacité du personnel)

31 mars 2019

Objectif atteint à 100 %
-Six rapports avant le Sommet du G7;
-9 rapports durant le Sommet du G7;
-Un rapport après le Sommet du G7.

Laboratoire national de microbiologie

1 002 720

670 469

668 014

a) Ressources scientifiques et techniques de l’Équipe d’intervention d’urgence microbiologique (EIUM) en appui à l’Équipe nationale d’intervention CBRNE de la GRC afin de s’attaquer à des menaces biologiques posées pendant le Sommet du G7.

a) Pourcentage des échantillons reçus et analysés.

Triage à 100% de tous les échantillons de sécurité fournis par la GRC pour l’analyse des menaces biologiques.

31 mars 2019

Déploiement d’actifs scientifiques à l’Équipe nationale d’intervention nationale CBRNE de la GRC pendant le Sommet; surveillance des particules aérosols sur les sites fournie; 333 échantillons reçus et évalués pendant la période de déploiement au moyen du camion-laboratoire mobile.

b) Établir un laboratoire de biologie mobile sur le site du G7 pour appuyer l’Équipe nationale d’intervention CBRNE.

b) Installation, en amont, du laboratoire mobile sur le site du Sommet en juin 2018 à l’appui de l’Équipe nationale d’intervention CBRNE.

b) Triage de tous les échantillons de sécurité fournis par la GRC pour l’analyse des menaces biologiques.

31 mars 2019

a) Soutien en tout temps de la surveillance des particules aérosols biologiques avec l’aide d’un entrepreneur (Dycor);
b) Formation croisée du personnel de laboratoire d’autres divisions pour appuyer l’EIUM;
c) Deux exercices ont été tenus avant l’événement pour appuyer la formation croisée, les activités de préparation et le concept des activités pour les essais;
d) La qualité de l’équipement mobile a été évaluée avant l’événement - achat de nombreuses pièces d’équipement pour permettre un criblage à haut débit. 7940 tests PCR ont été réalisés pendant la période de déploiement.

Régional

419 581

294 456

180 968

Approche coordonnée avec les autorités provinciales.

Pourcentage des autorités de la santé qui sont au courant des ressources disponibles de l'ASPC

80 % des autorités du PT ont été communiquées aux autorités provinciales pour les rôles et les responsabilités et finalisées d’ici mai 2018.

31 mars 2019

Objectif atteint pour 100 % des autorités provinciales consultées lors de l’élaboration du concept des activités.

Transports Canada (TC)

3.1 Sécurité aérienne

Fournir des conseils et superviser la gestion de l’espace aérien concerné; établir des zones d’aviation restreintes; participer à des groupes de travail; concevoir et superviser la mise en œuvre des mesures de sécurité spécifiques au Sommet; communiquer des mesures aux parties prenantes concernées de l’industrie.
Mener des activités de surveillance et d’application de la loi pendant le Sommet.

30 980

17 085

2 245

Aucun vol non autorisé et aucun drone dans les zones d’espace aérien restreint.

Nombre d’incursions dans la zone d’espace aérien réglementée; nombre d’incidents touchant l’aviation civile.

Aucune incursion et aucun incident.

8-9 juin 2018

La Direction de la sécurité aérienne de Transports Canada a participé au Groupe technique d’aviation fédéral et a établi des espaces aériens restreints (trois CYR, dont deux en vertu de l’article 5.1 de la Loi sur l’aéronautique et une zone de contrôle militaire temporaire de classe C). Par ailleurs, deux incursions issues de l’aviation générale ont eu lieu et ont fait l’objet d’une enquête, dont l’une a entraîné une mesure d’application de la loi.


Aussi, six incursions de drone ont été signalées, dont une a entraîné l’immobilisation temporaire d’un hélicoptère au sol. Les renseignements obtenus se sont avérés insuffisants pour autoriser un suivi réglementaire.

La Direction de la sécurité aérienne a également fourni une expertise technique à Santé Canada pour la mise en place et le fonctionnement d’une capacité d’évacuation médicale.

4. Communications (sous Services internes)

Conseils et soutien en matière de communications pour les enjeux liés à TC

Services de traduction pour les produits de communications


Fil de nouvelles du Canada -produits de communications

Services de transcription

Heures supplémentaires pour du soutien sur appel et sur place

Hébergement des fournisseurs de soutien sur place

99 462

67 457

0

Les activités de communications réussies n’entraîneront aucune activité de drone ou aucun incident maritime dans la région. La communauté locale sera consciente des effets sur sa vie habituelle, p. ex. fermetures de routes, NOTAM (avis aux aviateurs).

Documents publics disponibles dans les deux langues officielles.

Capacité de répondre aux besoins de communications impromptus en temps opportun.

Soutien aux communications sur place pour le cabinet du ministre.

Nombre de médias assurant une couverture médiatique sur le Sommet dans les deux langues officielles; nombre d’articles médiatiques publiés dans les médias anglais et français.

Nombre de médias couvrant, dans les deux langues, la rencontre ministérielle sur les transports.

Nombre de gazouillis, de gazouillis partagés et d’impressions sur le contenu du Sommet.

Au moins 10 médias anglophones et francophones couvriront le Sommet; au moins cinq reportages (total) par jour seront présentés dans les médias anglophones et francophones pendant le Sommet.

Au moins cinq médias anglophones et francophones couvriront la réunion ministérielle sur les transports.

Dans les mois précédant le Sommet, TC publiera et partagera un minimum de huit messages par mois sur Tweeter liés au Sommet (d’Affaires mondiales Canada ou d’autres partenaires). Grâce aux efforts de promotion croisée de TC, l’objectif cible pour les impressions est de 200 000 par mois.

En juin 2018, TC publiera et partagera un minimum de 12 messages par mois liés au Sommet (d’Affaires mondiales Canada ou d’autres partenaires). Grâce aux efforts de promotion croisée de TC, l’objectif visé pour les impressions est de 300 000 pour juin 2018.

En tout, 60 personnes partageront les gazouillis de TC liés au Sommet en juin 2018.

TC enverra un minimum de quatre messages à l’occasion de la réunion ministérielle sur les transports.


8-9 juin 2018

La Direction des communications de Transports Canada a examiné des produits destinés aux intervenants de l’industrie et aux membres du public. Des gazouillis et des messages ont été diffusés sur les médias sociaux afin de communiquer les restrictions relatives au transport aérien et maritime avant la tenue du Sommet.

.

3.6 Sécurité aérienne

Inspection des sites, participation au groupe de travail, présence pendant l’événement, surveillance des divers sites pendant l’événement (aéroports).

32 312

20 545

19 934

Les opérations aériennes sécurisées et les aéroports sont prêts à réagir rapidement à toute menace ou à tout incident de sécurité.

Résolution réussie des incidents.
Les intervenants de l’aviation sont en mesure de mettre en œuvre des mesures de sécurité améliorées dans les deux heures.

Toutes les inspections de site achevées à temps; conformité aux règlements sur la sécurité aérienne maintenue en tout temps pendant le Sommet.

8-9 juin 2018

La Direction de la sécurité aérienne de Transports Canada a travaillé en collaboration avec les administrations aéroportuaires de Bagotville et de Québec afin d’élaborer des plans d’urgence pour le Sommet. Des exercices de simulation ont été menés avec les administrations aéroportuaires et les partenaires de sécurité afin de valider les plans. Des inspecteurs ont été déployés aux deux aéroports afin d’assurer la conformité réglementaire. Un incident relatif à une photographie suspecte a eu lieu. L’incident a fait l’objet d’une enquête et a été jugé non menaçant.

3.1 Sécurité aérienne

Vols de surveillance effectués principalement pour surveiller la zone d’exclusion maritime.

285 600

285 508

15 225

Surveillance aérienne en appui aux opérations du Groupe intégré de sécurité du Sommet du G7.

Nombre d’heures de vol.
Vols effectués.

Quatre heures de vol par jour.

8-9 juin 2018

En tout, quatre vols nationaux de surveillance aérienne ont été effectués les 8 et 9 juin 2018, totalisant 25,1 heures de vol. Aussi, 155 navires ont fait l’objet d’une inspection visuelle. Plusieurs de ces navires ont été ajoutés à l’image d’ensemble de la situation maritime du G7. Aucun incident n’a été rapporté.

3.2 Sûreté et programme maritimes

3.7 Sécurité maritime

Inspection des sites, évaluations de la sécurité, planification de l’événement, coordination, reconnaissance, planification d’urgence, présence pendant l’événement, exercices, application de la loi et surveillance.

74 630

26 334

83 956

Activités maritimes sûres et sécuritaires, qui n’ont pas de répercussion sur le Sommet.


Les parties prenantes de l’industrie maritime sont capables de mettre en place rapidement des mesures de sécurité renforcées ou d’urgence.

Nombre d’incursions dans la zone de sécurité maritime.


Nombre d’incidents maritimes qui ont une répercussion sur le Sommet du G7.


Temps de réaction pour la mise en place de mesures de sécurité renforcées ou d’urgence par les intervenants maritimes durant le Sommet du G7

Conformité à la réglementation.

Collaboration intégrale avec les partenaires du gouvernement du Canada et de l’industrie.

8-9 juin 2018

La Direction de la sécurité et de la sûreté maritimes de Transports Canada a participé au Groupe technique maritime fédéral et a travaillé en collaboration avec les agents de sécurité des installations portuaires de Québec, de Saguenay, de Gros-Cacouna, de Trois-Rivières, ainsi qu’avec la Corporation de gestion de la Voie maritime du Saint-Laurent, afin d’examiner les plans visant à mettre en œuvre les niveaux MARSEC avant le Sommet. Une évaluation de la sûreté de l’installation maritime de Pointe-au-Pic a été effectuée avant le Sommet. Deux inspecteurs de la sûreté maritime ont été déployés à bord du NGCC Pierre Radisson afin de fournir une expertise réglementaire et assurer la conformité.

Un inspecteur de la sécurité maritime de Transports Canada a effectué une inspection de sûreté d’un navire de croisière et d’un terminal pour navires de croisière dans le port de Québec au cours du Sommet. Aussi, deux inspecteurs de la sûreté maritime ont été déployés à l’installation maritime de Cap-à-l’Aigle afin d’assurer la conformité réglementaire des navires traversant la zone d’interdiction maritime ou passant à proximité de celle-ci. Un gestionnaire de sûreté maritime et un inspecteur ont été déployés à la cellule maritime du G7 afin d’aider à mettre au point et à maintenir l’image d’ensemble de la situation maritime du G7.
Aucune incursion ou incident maritime n’est survenu pendant le Sommet.

3.9 Sûreté et sécurité intermodales

Surface intermodale, sécurité et préparatifs d’urgence

Secteur du renseignement et de l’évaluation de sûreté

Préparatifs d’urgence

Surveillance des réseaux d’information classifiée afin de déceler toute menace éventuelle au réseau de transport pouvant toucher le Sommet du G7.

Consolidation des efforts de surveillance et de gestion des programmes et des services de sécurité courants à l’appui des programmes de sécurité des modes de transport. Ces services comprennent ce qui suit : évaluation du renseignement de sécurité, formation d’appui aux programmes et préparatifs d’urgence. Ils comprennent également le Secrétariat des événements spéciaux, qui fournit des services de coordination ministérielle pour le Sommet du G7 de 2018.

588 317

328 039

188 495

Mise à contribution de l’information portant expressément sur les transports dans le cadre de l’évaluation des menaces, au besoin.

Analyse des menaces liées aux transports et communication avec les intervenants concernés pour la prise de mesures d’atténuation appropriées.

Contribution à la préparation et à la communication de l’information sur les menaces touchant les modes de transport; aide à l’organisation et au déroulement de la formation supplémentaire nécessaire pour les employés concernés de TC (par exemple SCI); planification et coordination de la participation du Ministère aux exercices et aux activités du Sommet.

Nombre de réponses aux demandes d’information.

Nombre de menaces analysées.

Nombre de produits préparés ou distribués sur les menaces.

Distribué

Distribué

 

8-9 juin 2018

Le Secteur du renseignement et de l’évaluation de sûreté de Transports Canada et le Centre des opérations de la sûreté maritime (Est) ont tous deux déployé un analyste du renseignement pour participer au Groupe mixte du renseignement. Tous les plans opérationnels ont été suivis. Aussi, trois demandes de renseignements ont été formulées dans les jours précédant le Sommet et pendant l’événement. Tous les produits sur les menaces ont été distribués à l’interne et aux intervenants, le cas échéant, avant et pendant le Sommet. Les analystes du renseignement ont également contribué à l’analyse des menaces possibles à la sécurité du G7 et ont fourni un soutien à l’image d’ensemble de la situation maritime.

Le Secrétariat des événements spéciaux de Transports Canada a dirigé les efforts de planification au sein du Ministère et s’est assuré que ses plans étaient coordonnés à l’échelle interministérielle par l’intermédiaire de plusieurs groupes de travail, notamment le Groupe mixte du renseignement, le Groupe de sûreté et de sécurité, le Groupe technique d’aviation fédéral et le Groupe technique maritime fédéral. Le Secrétariat des événements spéciaux a également participé à l’exercice Sentinelle II et a organisé des séances d’information internes pour le personnel déployé au Centre de commandement intégré du Sommet du G7, au Centre de coordination fédéral et au Centre de commandement unifié. De même, le Centre d’intervention régional de Transports Canada a été en fonction pendant le Sommet.

 

3.5 Transport de marchandises dangereuses

3.3 Sécurité ferroviaire

Participation à des groupes de travail, formulation de conseils sur les stratégies d’atténuation des risques, activités de surveillance durant le Sommet.

Collaboration avec le ministère des Transports du Québec en vue de mener des activités de surveillance avant et pendant le Sommet; formulation de conseils sur les activités liées au Sommet concernant le réseau ferroviaire.

13 440

15 944

35 001

En collaboration avec le ministère des Transports du Québec : transport sécuritaire des marchandises dangereuses à proximité du Sommet.

En collaboration avec le ministère des Transports du Québec : activités ferroviaires sécuritaires pendant le Sommet.

Pas d'incidents

Aucun incident.

8-9 juin 2018

En tout, six inspecteurs du transport de marchandises dangereuses ont été déployés à trois endroits pour soutenir la Société de l’assurance automobile Québec - Contrôle routier pendant la conduite des inspections de sécurité routière dans les jours précédant le Sommet et pendant l’événement. Aussi, deux spécialistes de mesures correctrices ont été déployés dans la région du Sommet et ont partagé des locaux avec des représentants du ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Changements climatiques du Québec afin d’assurer la conformité réglementaire en cas d’incident lié au transport de marchandises dangereuses. Aucun incident n’est survenu.

Les directions de la sécurité ferroviaire et de la sûreté du transport terrestre et intermodal de Transports Canada ont travaillé en collaboration avec les intervenants des industries afin d’élaborer un plan d’urgence ainsi que de mettre en place un exercice de simulation en vue du Sommet du G7. Pendant le Sommet, deux inspecteurs de la sécurité ferroviaire ont été déployés dans la région de la ville de Québec pour assurer la conformité réglementaire. Aucun incident n’est survenu.

Administration canadienne de la sûreté du transport aérien (ACSTA)

Contrôle de pré-embarquement

Capacité supplémentaire de contrôle de pré-embarquement pour les vols quittant l’aéroport international Jean-Lesage (YQB), à Québec, et l’aéroport de Saguenay-Bagotville (YBG) à la suite du Sommet.

101 321

101 321

49 036

Contrôle des passagers quittant à bord de vols commerciaux aux aéroports YQB et YBG.

Contrôle des passagers quittant à bord de vols commerciaux aux aéroports YQB et YBG.

Contrôle de 100 % des passagers, conformément aux procédures normalisées de fonctionnement de l’ACSTA.

31 mars 2019

L’ACSTA a réalisé 100 % des contrôles de pré-embarquement des passagers, conformément à ses procédures opérationnelles normalisées.

Innovation, Sciences et Développement économique Canada (ISDE)

Gestion et réglementation du spectre

Efforts pour s’assurer que la zone d’activité du Sommet soit exempte de perturbation radioélectrique et que l’attribution de fréquences à tous les utilisateurs soit très bien coordonnée.

151 811

151 811

87 783

Collaboration efficace avec les forces de sécurité pour veiller à ce que le Sommet soit exempt de perturbation radioélectrique.

Nombre de plaintes de perturbation.

Aucune plainte.

31 mars 2019

ISDE a résolu sept cas de perturbation non évitable.

Réponse aux comités parlementaires et aux audits externes

Réponse aux comités parlementaires

Comité permanent des comptes publics de la Chambre des communes (PACP) - Cinquantième rapport : « Les services consulaires aux Canadiens et aux Canadiennes à l’étranger - Affaires mondiales Canada, des Rapports du printemps 2018 du vérificateur général du Canada ». Le 5 juin 2018, le Comité permanent a tenu une audience sur cette vérification. Le Comité a produit un rapport et l’a adopté le 19 septembre 2018. Le rapport a été déposé à la Chambre des communes le 1er octobre 2018. Affaires mondiales Canada a fourni une réponse du gouvernement, qui a été présentée à la Chambre des communes le 16 janvier 2019.

Comité permanent des comptes publics de la Chambre des communes (PACP) - Soixante-quatrième rapport : « La sécurité matérielle des missions diplomatiques canadiennes à l’étranger - Affaires mondiales Canada, des Rapports de l’automne 2018 du vérificateur général du Canada ». Le 26 février 2019, le Comité permanent a tenu une audience sur cette vérification. Le Comité a produit un rapport et l’a adopté le 19 mars 2019. Le rapport a été déposé à la Chambre des communes le 9 avril 2019. Affaires mondiales Canada a fourni une réponse du gouvernement, qui a été présentée à la Chambre des communes le 12 juin 2019.

Comité sénatorial permanent des affaires étrangères et du commerce international - Une audience sur le Rapport 4, La sécurité matérielle des missions diplomatiques canadiennes à l’étranger - Affaires mondiales Canada, des Rapports de l’automne 2018 du vérificateur général du Canada, a eu lieu le 20 février 2019. Veuillez vous reporter au témoignage du gouvernement devant le Sénat du Canada.

Réponse aux vérifications menées par le Bureau du vérificateur général du Canada (y compris les vérifications menées par le commissaire à l’environnement et au développement durable)

Rapports de l’automne 2018 du vérificateur général du Canada : Rapport 4 - La sécurité matérielle des missions diplomatiques canadiennes à l’étranger - Affaires mondiales Canada

Rapports de l’automne 2018 de la commissaire à l’environnement et au développement durable : Rapport 3 - Progrès réalisés par les ministères et organismes dans la mise en œuvre des stratégies de développement durable

Réponse aux vérifications effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada ou le Commissariat aux langues officielles

S.O.

Financement pluriannuel initial - Centre pour l’innovation dans la gouvernance internationale

Nom du bénéficiaire : Centre pour l’innovation dans la gouvernance internationale (CIGI)(en anglais)

Date de début : 30 janvier 2003

Date de fin : En cours

Résultat stratégique : Programme international du Canada - Le programme international est modelé pour faire avancer la sécurité, la prospérité, les intérêts et les valeurs du Canada.

Lien au Répertoire des programmes : Programme 1 : Coordination des politiques internationales

Description : Le CIGI appuie les recherches de pointe menées dans le monde sur la gouvernance mondiale, en particulier la gouvernance économique et financière mondiale, la sécurité internationale et le droit international. Il contribue à la poursuite de l’intérêt du Canada envers l’instauration d’un système mondial stable et bien gouverné en réunissant des universitaires, des experts en politiques et des chercheurs du monde entier pour formuler des recommandations stratégiques sur les changements internationaux urgents. En 2003, le gouvernement du Canada a versé au Centre une contribution de 30 millions de dollars, somme qui a été égalée par l’organisme et subséquemment augmentée par la participation d’autres donateurs publics et privés en vue d’établir un fonds de dotation. Le Centre continue d’être financé par le produit de cette dotation.

Résultats des vérifications faites par le bénéficiaire au cours de l’année de déclaration et plan pour l’avenir : Le CIGI publie chaque année un rapport annuel (en anglais) et un rapport sur ses états financiers.

Résultats des évaluations faites par le bénéficiaire au cours de l’année de déclaration et plan pour l’avenir : Conformément à l’entente de financement conclue avec le gouvernement du Canada, le CIGI se soumet tous les cinq ans à une évaluation indépendante par une tierce partie. La dernière évaluation a eu lieu en 2018, et la prochaine est prévue pour 2023.

L’évaluation de 2018 a porté sur le rendement global du Centre par rapport à l’atteinte des résultats attendus. Elle s’est appuyée sur six normes d’évaluation, à savoir la pertinence, l’efficacité, les incidences, la planification, la gestion et l’efficience, de même que l’analyse comparative. L’exercice a fait appel à des méthodes mixtes pour recueillir et regrouper des données provenant de différentes sources, à l’aide de techniques quantitatives et qualitatives. Cette approche a permis d’établir des constatations solides et fondées sur des données probantes, ce qui a mené à des conclusions et à des recommandations pertinentes et validées.

Pertinence : Les objectifs, les stratégies et les programmes du CIGI sont clairement conformes à l’entente de financement conclue avec le gouvernement fédéral. Les objectifs énoncés dans l’accord de financement fédéral sont : (1) d’appuyer la recherche de calibre mondial dans le domaine de la gouvernance mondiale, particulièrement dans le domaine de la gouvernance économique et financière mondiale; (2) de promouvoir l’intérêt du Canada envers un système économique mondial stable et bien gouverné afin d’améliorer le niveau et la qualité de vie de sa population. De façon plus précise, l’objet du financement comprend six objectifs qui sont liés aux objectifs, aux stratégies et aux activités du CIGI.

Efficacité : Le CIGI utilise son pouvoir de mobilisation pour atteindre ses objectifs immédiats en cocréant des produits de recherche pertinents que ses intervenants nationaux et internationaux utilisent de manière constante. Le nom du Centre apparaît régulièrement et de plus en plus fréquemment dans les principaux organes de presse internationaux du monde entier, et le groupe de réflexion est très présent dans les médias canadiens et est régulièrement mentionné dans tous les grands médias.

Incidences : L’évaluation de tout changement à long terme, durable et transformateur exige des données longitudinales substantielles. Les données disponibles à ce jour indiquent que le CIGI fait des progrès vers l’atteinte des résultats visés, mais il n’est pas encore possible de déterminer ses réalisations définitives. Les entrevues menées auprès des informateurs principaux indiquent que les efforts du CIGI à l’égard des initiatives multilatérales, comme les programmes du G20, la gouvernance d’Internet ou le Conseil mondial pour les réfugiés, ont été les plus visibles et les plus susceptibles de produire des effets.

Planification : L’évaluation a permis de constater que le CIGI a mis en œuvre les recommandations formulées dans la dernière évaluation indépendante dont il a fait l’objet en 2013, plus particulièrement celles liées à l’élaboration de ses stratégies d’innovation, de communication et d’utilisation de l’infrastructure.

Gestion et efficacité : Les activités du CIGI reçoivent un financement suffisant et sont réalisées dans les limites du budget. Le Centre prend des mesures importantes pour favoriser une culture d’évaluation à des fins d’apprentissage et de responsabilisation, et a créé à cette fin une unité d’évaluation et de planification en 2012. Il applique, autant centralement que dans ses programmes et projets, les principes de gestion axée sur les résultats. Un modèle logique organisationnel a été adopté, et des données sur le rendement sont maintenant recueillies auprès de tous les secteurs de l’organisation afin de suivre les progrès d’ensemble. Ces données sont accessibles au moyen d’un tableau de bord central.

Le nouveau conseil d’administration fusionné est efficace et fonctionne conformément à son mandat de gouvernance. Il assure la supervision du Centre et la mise en œuvre appropriée de l’entente de financement. Pour enrichir son caractère, le CIGI devrait envisager de diversifier davantage la composition de ses membres et de mieux équilibrer la proportion d’hommes et de femmes.

Analyse comparative : Le CIGI se compare très favorablement aux groupes de réflexion analogues. De manière générale, les classements externes (Global Go To Think Tank Index Report, Transparify) placent le CIGI au deuxième ou troisième rang par rapport aux autres institutions canadiennes et lui donnent une cote assez favorable parmi les institutions internationales. Ces classements fournissent une validation externe favorable du travail du Centre. L’examen des données de base de groupes de réflexion comparables au Canada (Institut Fraser, Institut C.D. Howe et Fondation Asie-Pacifique du Canada) montre que le CIGI, malgré sa création relativement récente, est un groupe de réflexion de premier plan au Canada.

Résumé des résultats obtenus par le bénéficiaire : Les objectifs, les stratégies et les programmes du CIGI restent conformes à l’entente de financement conclue avec le gouvernement fédéral. Ses travaux dans les domaines de l’économie mondiale, de la sécurité et des politiques internationales et du droit international sont jugés d’une grande pertinence dans le contexte national et international actuel. Le CIGI a compris qu’en cette ère de mondialisation, les enjeux nationaux et internationaux sont de plus en plus étroitement liés et les lacunes en matière de gouvernance doivent être abordées sous cet angle.

Le Centre est parvenu à atteindre ses objectifs immédiats et intermédiaires en cocréant des produits de recherche (extrants) pertinents que ses intervenants nationaux et internationaux utilisent de manière constante.

Par exemple, cette année, le CIGI a présenté des documents de recherche stratégique pertinents et organisé des événements de haut niveau sur des sujets prioritaires comme le renforcement du pouvoir économique des femmes, la gouvernance des données à l’ère numérique, la renégociation de l’ALENA ou encore la Chine et l’économie mondiale.

Au fil du temps, le CIGI s’est révélé une institution de valeur, respectée par ses pairs et apte à mener des recherches et des analyses de calibre mondial, à influencer les décideurs et à innover pour combler les lacunes en matière de gouvernance.

Renseignements financiers (en dollars)

Dépenses réelles
2016-2017
Dépenses réelles
2017-2018
Dépenses prévues
2018-2019
Autorisations totales
pouvant être utilisées
2018-2019
Dépenses réelles
(autorisations utilisées)
2018-2019
Écart
(dépenses réelles en 2018-2019 moins dépenses prévues en 2018-2019)

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Explications sur les écarts

S.O.

 
 
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