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Le Marine Institute de l’Université Memorial crée un cercle vertueux en Indonésie et au-delà

Un groupe de personnes avec les bras dans les airs.

 

Avec plus de 17 000 îles et des millions d’habitants qui dépendent de l’océan pour gagner leur vie, l’Indonésie joue un rôle important en propulsant l’Université Memorial de Terre-Neuve-et-Labrador dans le peloton de tête de la recherche et de l’éducation océanographiques mondiales.

« Nous avons inscrit l’Indonésie sur notre liste de priorités il y a cinq ou six ans, et nous y avons fait du développement commercial relativement actif », déclare Bill Chislett, directeur de MI International, l’organisme-conseil du Marine Institute de l’Université Memorial.

Ces efforts ont porté leurs fruits sous la forme d’un éventail croissant de missions qui non seulement contribuent à générer des revenus, mais aussi à renforcer la réputation de l’institut dans le monde entier.

Un groupe de personnes avec les bras dans les airs.
Cyr Couturier et Mark Santos, spécialistes de l’aquaculture du Marine Institute, rencontrent des producteurs d’algues marines et des membres de coopératives à Bantaeng, en Sulawesi du Sud, dans le cadre du programme INVEST Co-op Indonesia.

Par exemple, l’institut, en partenariat avec la Fondation du développement coopératif du Canada et divers partenaires locaux, travaille avec des producteurs d’algues marines du Sulawesi du Sud, en Indonésie, pour promouvoir des méthodes de culture plus écologiques, notamment des dispositifs de flottaison moins dommageables pour l’environnement que les bouteilles en plastique que les agriculteurs ont l’habitude d’utiliser.

Par ailleurs, une initiative financée par le gouvernement indonésien a attiré 33 conférenciers de 13 institutions polytechniques au Marine Institute au cours des deux dernières années. Ils sont venus y améliorer leurs compétences en gestion de l’aquaculture, en transport maritime, en leadership pédagogique et en exécution de programmes. Les programmes, qui peuvent durer jusqu’à neuf semaines, comprennent des visites de sites de pêche locaux, de fermes d’aquaculture et d’autres activités maritimes dans diverses régions de Terre-Neuve-et-Labrador.

Au cours des trois dernières décennies, l’institut a participé à 250 projets dans une cinquantaine de pays. Outre l’Indonésie, ses principales cibles en Asie sont la Chine, les Philippines et le Vietnam. Parmi les autres marchés prioritaires figurent la Tanzanie et le Kenya en Afrique, ainsi que plusieurs pays insulaires des Caraïbes.

L’une des premières mesures prises par l’institut pour élargir ses horizons internationaux a été de communiquer avec le Service des délégués commerciaux (SDC) du Canada, avec lequel il est demeuré en contact étroit depuis.

« Ils ont joué un rôle important pour nous aider à obtenir des contrats », explique M. Chislett. « Les délégués commerciaux fournissent de l’information commerciale bien avant qu’un appel d’offres international ne soit lancé. Ils nous aident à trouver des entreprises partenaires locales afin de réduire nos coûts globaux de soumission et de promouvoir notre positionnement. En plus, ils nous aident avec les aspects linguistiques et culturels. »

M. Chislett précise qu’une présence internationale crée un cercle vertueux, et permet à l’institut d’attirer les chercheurs et les étudiants les meilleurs et les plus brillants, ce qui, à son tour, renforce sa réputation : « Les meilleures idées ne viennent pas toutes de St. John’s, évidemment. Il est important de mobiliser des partenaires, des étudiants et des institutions à l’étranger pour que nous puissions devenir le principal institut océanique au monde. »

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