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Le ministre Fast souligne les avantages d’un accord commercial entre le Canada et l’Union européenne pour les travailleurs et les entreprises du Québec

Selon le ministre, le programme de promotion du commerce du gouvernement Harper visant à favoriser la création d’emplois, la croissance et la prospérité profitera aux Québécois et aux autres Canadiens

Le 16 mars 2012 - Le ministre du Commerce international et ministre de la porte d’entrée de l’Asie-Pacifique, l’honorable Ed Fast, a rencontré aujourd’hui des dirigeants d’entreprise du Québec afin de mettre en valeur les avantages qu’un accord commercial avec l’Union européenne apportera à leur entreprise et à leurs employés. L’activité, organisée par le Forum sur le commerce Canada-Europe (FORCCE), s’est déroulée à Montréal.

« Un accord avec l’UE rapporterait beaucoup aux entreprises et aux travailleurs du Québec, a déclaré le ministre Fast. L’an dernier, les exportations québécoises de marchandises vers la France ont totalisé à elles seules 1,4 milliard de dollars, soit une hausse impressionnante de près de 27 p. 100. Les entreprises et les travailleurs dans les principales industries du Québec, y compris le poisson et les fruits de mer, les produits de l’érable, le porc, l’aluminium et les produits du bois, comptent sur cet accord pour accroître leur présence sur le lucratif marché de l’UE. De plus, les secteurs québécois possédant une expertise de calibre mondial, notamment l’ingénierie et l’infrastructure, bénéficieront énormément d’un accès préférentiel au marché public de l’UE, évalué à 2,3 billions de dollars. »

Avec plus de 500 millions de consommateurs et un PIB excédant 17 billions de dollars, l’UE est le deuxième partenaire commercial du Canada et la plus grande économie intégrée du monde. Les négociations commerciales en cours avec l’UE constituent la plus importante initiative commerciale du Canada depuis l’Accord de libre-échange nord-américain. Dans sa présentation à la table ronde, le ministre Fast a souligné aux chefs d’entreprise que le gouvernement avait toujours comme priorité absolue d’assurer la reprise économique du Canada et que dans ce contexte les négociations avec l’UE faisaient partie intégrante de son programme de promotion du commerce visant à favoriser la création d’emplois.

« Les avantages que procure le commerce aux entreprises canadiennes sont évidents, a ajouté le ministre Fast. Le commerce génère plus de 60 p. 100 du PIB annuel du Canada et un emploi sur cinq au pays en est tributaire. Un accord commercial avec l’Union européenne pourrait s’avérer nettement favorable au Canada, en augmentant de 20 p. 100 les échanges bilatéraux et en injectant annuellement 12 milliards de dollars dans son économie. Cela équivaudrait à une hausse de 1 000 $ du revenu moyen des familles canadiennes ou à près de 80 000 nouveaux emplois, qui profiteraient à toutes les régions, y compris le Québec. »

Le 28 février, à l’issue de leur réunion annuelle à Ottawa, les ministres des gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux responsables du commerce ont publié un communiqué conjoint pour manifester leur appui unanime à un accord commercial entre le Canada et l’UE, reconnaissant « qu’il n’existe actuellement aucune priorité plus grande pour le Canada que la négociation de cet accord ».

« Ces négociations ont été les plus ouvertes, les plus transparentes et les plus axées sur la collaboration de toute l’histoire du Canada, a souligné le ministre Fast. Durant tout le processus de négociation, les provinces ont joué un rôle actif et les municipalités ont été consultées régulièrement. C’est pourquoi toutes les provinces et tous les territoires appuient sans réserve un accord entre le Canada et l’UE, que l’on prévoit conclure cette année. »

En moins de six ans, le Canada a conclu de nouveaux accords de libre-échange avec neuf pays : la Colombie, la Jordanie, le Panama, le Pérou, les États membres de l’Association européenne de libre-échange (l’Islande, le Liechtenstein, la Norvège et la Suisse) et, plus récemment, le Honduras.

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Rudy Husny
Attaché de presse
Cabinet de l’honorable Ed Fast
Ministre du Commerce international et ministre de la porte d’entrée de l’Asie-Pacifique
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